Lintelligence artificielle est sur toutes les lĂšvres en ce moment. C’est l’expression de l’heure, mĂȘme si elle date de plus de soixante ans.Utilisant parfois les termes « machine learning », « deep learning » ou « algorithmes » comme des synonymes, le tapage mĂ©diatique actuel autour de l’IA aurait toutes les raisons de rendre sceptique. Une belle dentition est aujourd’hui primordiale pour les Canadiens. Un peu comme la blancheur des dents, l’esthĂ©tique est Ă©galement perçue comme un symbole de santĂ©, de charme et de rĂ©ussite. Pourquoi faire la pose d’une couronne dentaire ? Un exemple souvent utilisĂ© pour faire comprendre Ă  quoi ressemble une dent dĂ©vitalisĂ©e est celui d’une branche morte dans un arbre ; la branche semble en apparance encore solide, mais elle est vidĂ©e de son essence la sĂšve et elle peut se briser Ă  tout moment, crĂ©ant ainsi plus de dommages au reste de l’arbre. La pose de la couronne permet de prĂ©server la dent, mais aussi de protĂ©ger la structure dentaire de la mĂąchoire. Une dent dĂ©vitalisĂ©e qui n’est pas protĂ©gĂ©e par une couronne se brisera par petits bouts jusqu’à ce que le dentiste soit obligĂ© de l’enlever complĂštement. Les couronnes dentaires permettent aussi de limiter les problĂšmes qu’elle peut apporter aux autres dents en santĂ©. En effet, une dent malade, si elle n’est pas protĂ©gĂ©e par une couronne dentaire, risque d’endommager les autres dents, un peu comme une grippe qui se propage. Une inquiĂ©tude principale lors d’une visite chez le dentiste est le coĂ»t. En effet, seuls 39% des QuĂ©bĂ©cois de plus de 45 ans ont une assurance qui couvre les frais dentaires. Pour la mĂȘme catĂ©gorie d’ñge, le chiffre s’élĂšve Ă  61% dans le reste du pays. Cependant, la pose de couronne dentaire est essentielle Ă  votre santĂ© buccodentaire et elle peut vous Ă©viter bien des coĂ»ts en rĂ©paration, extraction ou implant dans le futur. Ce sont plus de quarante millions de Nord-AmĂ©ricains qui doivent remplacer une ou des dents, ce qui reprĂ©sente un adulte sur trois. En 2005, un sondage a Ă©tĂ© effectuĂ© afin de dĂ©terminer la frĂ©quence des traitements rendus par mois par les dentistes gĂ©nĂ©ralistes et leurs hygiĂ©nistes par mois. L’étude dĂ©note un total de six traitements de couronnes par mois, pour un total de 72 par annĂ©e chez les dentistes. Quand rĂ©aliser une couronne dentaire ? Il est fortement recommandĂ© de visiter le dentiste au moins deux fois par annĂ©e pour un nettoyage et une consultation. Le dentiste vous dira si vous avez des dents abĂźmĂ©es qui nĂ©cessitent la pose d’une couronne dentaire lors de cette rencontre. Il n’y a pas d’ñge minimum pour la pose d’une couronne dentaire, simplement qu’une dent soit suffisamment endommagĂ©e par la carie, l’usure ou cassĂ©e. Selon l’Association canadienne dentaire, la premiĂšre visite chez un dentiste pour un enfant devrait survenir dans les six mois aprĂšs l’apparition de la premiĂšre dent ou encore Ă  l’ñge d’un an. Il est rare qu’une carie soit dĂ©veloppĂ©e Ă  cet Ăąge, mais le dentiste peut dĂ©celer d’autres problĂšmes dentaires. Lorsque vous cassez votre dent ou que sa structure naturelle est abĂźmĂ©e Ă  la suite d’une carie par exemple, votre dentiste vous proposera de vous fabriquer une couronne dentaire. La couronne dentaire est une dent artificielle prothĂšse creuse qui couvre la dent abĂźmĂ©e et qui protĂšge contre les dommages extĂ©rieurs. Elle agit comme une coquille et reprĂ©sente la partie visible de la dent. La couronne dentaire peut ĂȘtre fabriquĂ©e dans le cas oĂč la dent est cassĂ©e, abĂźmĂ©e, dĂ©colorĂ©e, usĂ©e ou fragile. Les types de couronnes dentaires Il y a quatre types de couronnes la couronne mĂ©tallique, en composite, en porcelaine ou la couronne cĂ©ramo-mĂ©tallique. 1- La couronne mĂ©tallique est celle qui dure le plus longtemps, car elle ne se casse pas. Elle est faite en or, mais son apparence non naturelle peut ĂȘtre gĂȘnante. C’est sĂ»rement celle qui est le moins utilisĂ©e. 2- La couronne en composite tend Ă  s’user plus rapidement Ă  cause de la mastication et du brossage des dents. Elle se tache plus vite, mais le composite a une apparence naturelle, ce qui est souvent un aspect important pour beaucoup de personnes. 3- La couronne en porcelaine est celle ayant un aspect le plus naturel, donc qui ressemble le plus aux autres dents. Certaines exigences doivent ĂȘtre respectĂ©es afin de l’utiliser sur les dents postĂ©rieures pour Ă©viter qu’elle ne s’use ou ne se brise trop rapidement. 4- La couronne cĂ©ramo-mĂ©tallique est composĂ©e d’une couche de mĂ©tal recouverte d’une couche de porcelaine. Elle a aussi un aspect naturel ce qui lui donne un bel avantage. Chaque type de couronne a ses avantages et inconvĂ©nients; le dentiste est le mieux placĂ© pour bien vous conseiller Ă  ce sujet. Simple ou sur pivot? La couronne dentaire simple encercle la dent pour la protĂ©ger, comme une coquille. Cependant, quand la dent est trop abĂźmĂ©e, on procĂšde avec une couronne sur-pivot. AprĂšs un traitement prĂ©liminaire, le dentiste pose une piĂšce intermĂ©diaire inlay-core qui est fixĂ© dans la racine de la dent. On installe ensuite la couronne sur l’intermĂ©diaire inlay-core. Comment installe-t-on une couronne dentaire ? D’abord, le dentiste administre une anesthĂ©sie locale. Il taille par la suite une partie de la dent pour laisser de la place Ă  la couronne au moyen d’un fraisage. Pu
Lintelligence artificielle : C’est la rĂ©plique (ou tentative) de l’intelligence humaine par des ordinateurs. Ainsi, lorsque nous parlons d’intelligence artificielle, nous mĂ©langeons parfois l’IdĂ©e et l'outil. Le Big data : C’est l’ensemble des donnĂ©es produites dĂšs que nous utilisons des interfaces numĂ©riques, stockĂ©es par

quelle est la diffĂ©rence entre le marbre naturel et le marbre artificiel ? la pierre de marbre naturelle est destinĂ©e Ă  ĂȘtre l'un des meilleurs matĂ©riaux de construction Ă  usage architectural , avec son marbre Ă©lĂ©gant texture et variĂ©tĂ©s, tandis que le marbre artificiel, copiĂ© Ă  partir de couleurs de marbre naturel, est encore meilleur que le nat marbre d'oural sous certains aspects. donc, les marchands de pierres sont parfois perplexes entre les marbres naturels et artificiels. voici quelques-uns des facteurs de diffĂ©renciation qui vous aident Ă  faire le bon choix entre les deux types de marbres. 1. choix de motifs de couleurs le marbre naturel a des couleurs diffĂ©rentes en fonction de la prĂ©sence d'impuretĂ©s dans le calcaire. le marbre artificiel, au contraire, est conçu et fabriquĂ© pour avoir des couleurs et des motifs polyvalents avec des techniques de production et des pigments de couleur variĂ©s, qui amĂ©liorent diversitĂ© de sĂ©lection. cependant, le marbre artificiel ne peut'pas rivaliser avec le marbre naturel en termes de couleur, texture, grain, et brillance. 2. entretien le marbre naturel est une pierre luxueuse, nĂ©cessaire avec un coĂ»t d'entretien Ă©levĂ©. c'est une pierre dure mais faible et peut s'estomper ou s'Ă©cailler aprĂšs un certain temps. donc, il est souvent recommandĂ© de l'avoir cirĂ© tous les six mois. les propriĂ©taires de marbre naturel doivent Ă©viter de renverser de l'huile, des substances acides, ou des nettoyants non compatibles avec le marbre car il peut facilement endommager la surface de la pierre. tandis que le marbre artificiel, sur th D'autre part, est une substance non poreuse qui nĂ©cessite moins d'entretien et d'entretien. les matiĂšres premiĂšres de la rĂ©sine et le processus de crĂ©ation du marbre artificiel le rendent rĂ©sistant aux taches d'huile,. mĂȘme les nettoyants ordinaires sont compatibles avec marbres artificiels. 3. poids par rapport au marbre naturel,, les marbres artificiels sont comparativement plus minces et plus lĂ©gers, permettant ainsi une portabilitĂ© facile. son poids lĂ©ger facilite l'installation et amĂ©liore les Ă©conomies de coĂ»ts. 4. homogĂ©nĂ©itĂ© chaque marbre naturel est diffĂ©rent en raison de ses impuretĂ©s et de son processus naturel de formation, et les chances de trouver une paire exacte sont rares. cependant, les marbres artificiels sont homogĂšnes dans un mĂȘme bloc et mĂȘme dans le mĂȘme temps de production, et les acheteurs peuvent trouver une plĂ©thore d'Ă©chantillons similaires pour la mise en Ɠuvre. en plus, les marbres artificiels ont une uniformitĂ© double face, donc la mise en Ɠuvre dĂ©pend de la prĂ©fĂ©rence de l'acheteur. 5. rĂ©sistance Ă  la chaleur le marbre naturel est formĂ© par l'activitĂ© gĂ©ographique, subissant une chaleur et une pression immenses, tandis que les marbres artificiels manquent de rĂ©sistance Ă  la chaleur. le mĂ©lange pour crĂ©er du marbre artificiel comprend de la colle, qui risque de fondre ou de brĂ»ler Ă  haute tempĂ©rature. 6. prix le marbre naturel est cher car c'est une pierre premium dont la taille, l'extraction, et la disponibilitĂ© la rendent coĂ»teuse. au contraire, le marbre artificiel est moins cher car il peut ĂȘtre facilement créé dans une carriĂšre avec un mĂ©lange de peu d'Ă©lĂ©ments et solidifiĂ© dans un moule. 7. mise en place Ă©tant une pierre dure, le marbre naturel nĂ©cessite une main-d'Ɠuvre qualifiĂ©e pour l'installation, ou bien cela conduit au gondolage, Ă  la fissuration, Ă  la dĂ©coloration, et Ă  l'Ă©clatement des veines du marbre. cependant, Ă  la coupe, l'installation, et l'ajustement du marbre artificiel se font sans tracas car ils sont moins fragiles.

Etparfois mÃÂȘme, lorsque le ballon va pour rentrer dans la cage, au dernier moment il ralentit, s'arrÃÂȘte et repart en arriÚre. Pourquoi ? solution. Les manettes. Un électricien vient d'installer dans une usine, 2 grosses manettes cÎte à cÎte. Chaque manette peut ÃÂȘtre en position basse ou en position haute. Ces manettes devront ÃÂȘtre utilisées de la maniÚre
PubliĂ© le 27 juillet 2021 La conquĂȘte spatiale est-elle Ă©cologique ? Quel est son impact sur la planĂšte ? Faut-il continuer l’exploration spatiale du point de vue environnemental ? La recherche spatiale peut-elle contribuer Ă  la transition Ă©cologique ? Tentons de comprendre toutes ces questions, plus que jamais d’actualitĂ© ! À l’heure oĂč milliardaires et gouvernements se relancent dans la course Ă  l’espace, si on prenait le temps de s’interroger sur les liens entre la conquĂȘte spatiale et l’écologie ? La conquĂȘte spatiale pollue-t-elle beaucoup ? Faut-il arrĂȘter d’investir dans le secteur pour rĂ©duire nos impacts environnementaux ? Ou au contraire, l’exploration spatiale est-elle la clef pour la transition durable globale ? La recherche spatiale est-elle utile du point de vue Ă©cologique ? VoilĂ  des questions qui sont rarement abordĂ©es lorsque l’on parle de l’espace, et pourtant, elles sont importantes. Alors qu’en est-il ? Faisons le point. L’impact environnemental de la conquĂȘte spatiale Pour dire les choses clairement, l’exploration spatiale, qu’elle soit le fait de milliardaires ou d’astronautes plus classiques, gĂ©nĂšre des pollutions importantes. Pour un seul vol d’une dizaine de minutes, ce sont pas loin de 80 tonnes d’équivalents CO2 qui sont Ă©mises dans l’atmosphĂšre. C’est plus de 6 fois la quantitĂ© de CO2 Ă©mises par un Français sur une annĂ©e entiĂšre, ou autant qu’un Indien pendant 40 ans. À ces Ă©missions directes, il faudrait rajouter toutes les Ă©missions indirectes construction des fusĂ©es, des infrastructures, production des carburants
 et toutes les ressources nĂ©cessaires, ainsi que les impacts environnementaux associĂ©s. Et bien-sĂ»r, tout ça sur des processus qui prennent parfois des annĂ©es. Des annĂ©es de travail et d’impacts environnementaux pour un seul vol spatial. Alors bien-sĂ»r, les vols spatiaux, on en fait pas tous les jours. Et ça ne concerne pas beaucoup de monde. De ce fait, la pollution liĂ©e Ă  l’industrie spatiale reste pour l’instant trĂšs limitĂ©e comparĂ©e aux pollutions gĂ©nĂ©rĂ©es par le trafic automobile, la production Ă©nergĂ©tique ou mĂȘme la production agricole, qui concernent, elles, tout le monde, toute l’annĂ©e. L’industrie spatiale ne reprĂ©sente donc pas une part importante des Ă©missions et des pollutions globales. Questionner l’utilitĂ© de la conquĂȘte spatiale NĂ©anmoins, on peut s’interroger dans un contexte oĂč l’on doit limiter nos Ă©missions de gaz Ă  effet de serre et notre empreinte sur la nature en gĂ©nĂ©ral, faut-il continuer Ă  dĂ©velopper cette industrie polluante ? La rĂ©ponse Ă  cette question n’est pas forcĂ©ment simple. En effet, par principe, toutes les activitĂ©s humaines provoquent des impacts environnementaux, toutes les industries sont polluantes. S’il fallait arrĂȘter toutes les industries polluantes, c’est la sociĂ©tĂ© et le systĂšme Ă©conomique tout entier qu’il faudrait arrĂȘter. Alors, pourquoi se poser la question spĂ©cifiquement pour l’industrie spatiale ? Ce dĂ©bat cristallise en fait la problĂ©matique de l’équilibre entre l’utilitĂ© sociale d’une activitĂ© et les impacts environnementaux qu’elle gĂ©nĂšre. Dans une sociĂ©tĂ© contrainte par la pression Ă©cologique et par des ressources limitĂ©es, il n’est plus possible de tout faire ». Il faut faire des choix quels sont les impacts environnementaux que l’on estime justifiĂ©s parce qu’ils permettent par exemple aux individus de vivre et quels sont ceux que l’on estime non-justifiĂ©s parce qu’ils ne contribuent pas forcĂ©ment Ă  l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. Pour l’industrie spatiale, cette question se pose sĂ©rieusement les impacts gĂ©nĂ©rĂ©s par le secteur valent-ils le coup ? RĂ©pondre Ă  cette question implique de savoir, au fond, Ă  quoi sert l’industrie spatiale. Les multiples faces de l’économie spatiale S’il s’agit, comme l’envisagent les milliardaires-astronautes qui se multiplient ces derniers mois, de dĂ©velopper le tourisme spatial, alors le secteur aura vraisemblablement une utilitĂ© sociale trĂšs limitĂ©e, en plus d’ĂȘtre trĂšs inĂ©galitaire. Des entreprises comme Virgin Galactic prĂ©voient de proposer d’ici quelques annĂ©es 400 vols touristiques spatiaux par an. Des vols accessibles uniquement aux citoyens les plus privilĂ©giĂ©s, mais qui contrairement au tourisme classique, ne produiront pas ou peu de richesse susceptible d’ĂȘtre partagĂ©e par des communautĂ©s locales. Dans ce contexte, soutenir le dĂ©veloppement d’une industrie du vol de tourisme spatial semble profondĂ©ment contradictoire avec les ambitions affichĂ©es par ailleurs en matiĂšre Ă©cologique. Alors mĂȘme que l’on tente aujourd’hui de rĂ©duire les vols en avion, comment pourrait-on justifier de dĂ©velopper des vols spatiaux, pourtant nettement plus polluants et rĂ©servĂ©s Ă  une population encore plus restreinte ? Sur le plan Ă©thique, comme sur le plan environnemental et sur le plan social, l’argument semble difficile Ă  tenir. Mais l’industrie spatiale, ce n’est pas seulement les perspectives du tourisme spatial. En thĂ©orie, l’exploration spatiale pourrait permettre de trouver de nouvelles ressources, utiles pour la Terre, et peut-ĂȘtre mĂȘme pour la transition Ă©cologique. Potentiellement, l’industrie spatiale reprĂ©sente des pistes pour la recherche et l’innovation. De nouveaux procĂ©dĂ©s pourraient ĂȘtre dĂ©couverts grĂące aux dĂ©veloppement techniques des sociĂ©tĂ©s impliquĂ©es dans l’industrie spatiale, des procĂ©dĂ©s qui pourraient, qui sait, servir la transformation durable de nos systĂšmes Ă©conomiques. On pourrait peut-ĂȘtre mĂȘme, grĂące Ă  l’exploration spatiale, trouver de nouveaux lieux habitables pour l’Homme. En thĂ©orie. Ce sont en tout cas certains des arguments de ceux qui dĂ©fendent l’intĂ©rĂȘt de l’exploration spatiale, mais qu’en est-il en pratique ? Exploration spatiale, Ă©volutions technologique Si on regarde l’histoire de l’industrie spatiale, on voit bien qu’elle est parfois liĂ©e Ă  certains progrĂšs scientifiques ou techniques. Le GPS, par exemple, ains que toutes les applications utiles qui en dĂ©coulent, ne seraient rien sans les technologies de l’espace. Un certain nombre de technologies en lien avec la transition Ă©cologique dĂ©pendent aussi des technologies spatiales c’est le cas par exemple de nombreuses techniques utilisĂ©es pour surveiller et mesurer les indicateurs environnementaux tempĂ©rature, CO2
. On constate en faisant l’analyse des retombĂ©es de l’économie spatiale, que les secteurs de l’observation terrestre, de la gestion environnementale et de la climatologie ont bĂ©nĂ©ficiĂ© des retombĂ©es notamment techniques de l’économie spatiale. D’une certaine maniĂšre, des technologies comme les panneaux solaires ont aussi bĂ©nĂ©ficiĂ© des efforts de recherche mis en oeuvre par les agences spatiales . Certes, les panneaux solaires ont existĂ© indĂ©pendamment de l’industrie spatiale, mais certaines innovations ont pu ĂȘtre dĂ©veloppĂ©es en partie grĂące aux financements Ă©manant de secteur de l’exploration spatiale. Mais alors, en pratique, l’industrie spatiale peut-elle aujourd’hui encore tenir ses promesses de catalyseur de progrĂšs et de transition durable ? C’est possible. Et les acteurs du secteurs sont les premiers Ă  mettre en avant le lien entre l’exploration spatiale et la recherche scientifique. On peut imaginer que demain, l’économie spatiale permette des avancĂ©es en matiĂšre d’énergie propre, de recherche en matiĂšre de santĂ©, ou de protection de la biodiversitĂ©. Pourtant, l’analyse du secteur aujourd’hui et des projections pour les prochaines annĂ©es incite vraisemblablement Ă  adopter une position trĂšs nuancĂ©e sur ce sujet. Certes aujourd’hui, une partie des financements liĂ©s Ă  l’exploration spatiale servent des industries liĂ©es au progrĂšs social ou Ă©cologique. Par exemple, sur les plus de 6 milliards de budget de l’Agence Spatiale EuropĂ©enne, environ 22% financent l’observation terrestre, qui sert en partie Ă  mieux comprendre les Ă©volutions climatiques ou les cycles du carbone. Mais la grande majoritĂ© de l’argent investi dans les programmes spatiaux internationaux alimente des usages dont l’utilitĂ© collective est plus discutable. La conquĂȘte spatiale au service de l’écologie ? Pas sĂ»r Selon le Science and Technology Policy Institute, prĂšs d’un quart du financement spatial va vers des applications militaires. 40% du budget du secteur alimente les industries des tĂ©lĂ©communications et la galaxie des objets connectĂ©s » par satellites, des tĂ©lĂ©visions aux tĂ©lĂ©phones en passant par les radios. Une part significative alimente le secteur de la navigation par satellites
 pour le secteur automobile. Globalement, il est donc plutĂŽt faux de dire qu’aujourd’hui, l’économie spatiale sert principalement des industries d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, la transition Ă©cologique ou la recherche scientifique fondamentale sur nos grands enjeux collectifs comme la santĂ©. Les quelques centaines de milliards d’euros qui constituent actuellement l’économie spatiale servent plus la dĂ©fense, la tĂ©lĂ©vision par satellite et les GPS de nos voitures que l’observation du climat ou les smart-grids Ă©nergĂ©tiques. Et dans l’avenir alors ? Une chose est sĂ»re, l’industrie spatiale est amenĂ©e Ă  se dĂ©velopper. Elle affiche dĂ©jĂ  une croissance deux fois supĂ©rieure Ă  la celle de l’ensemble de l’économie, et pourrait atteindre, selon les estimations d’un Ă  plusieurs milliers de milliards d’euros d’ici 2050. Mais les projections ne vont pas forcĂ©ment dans le sens d’une rĂ©orientation du secteur vers des objectifs de dĂ©veloppement durable. Selon les donnĂ©es d’Euroconsult, dans les 10 prochaines annĂ©es, le secteur devrait surtout continuer Ă  se dĂ©velopper dans deux domaines. D’abord, le perfectionnement des systĂšmes de transports spatiaux, Ă  savoir le dĂ©veloppement de systĂšmes de lancement et de fusĂ©es plus perfectionnĂ©es, rĂ©utilisables. Objectif dĂ©velopper en masse l’infrastructure de satellites en orbite terrestre basse, en particulier pour les tĂ©lĂ©communications, mais aussi pourquoi pas, le tourisme et le transport. Ensuite, l’économie spatiale devrait se tourner vers la Lune et l’orbite haute 40% des missions planifiĂ©es pour la prochaine dĂ©cennie visent l’exploration lunaire. Dans ces deux secteurs, on imagine pas forcĂ©ment Ă  priori de grande rĂ©volution dans le domaine de la transition durable. PrĂ©voir le dĂ©veloppement de l’économie de l’espace Dans le secteur du transport spatial, les projections s’orientent vers la massification du dĂ©ploiement de satellites de communication, afin de gĂ©nĂ©raliser de nouveaux rĂ©seaux de communication Ă  haut-dĂ©bit pour les zones qui ne pourront ĂȘtre raccordĂ©es Ă  la fibre ou aux rĂ©seaux mobiles terrestre. En soi, le dĂ©veloppement de ces technologies de communication n’est ni durable » ni non durable ». Tout dĂ©pend de l’usage. S’il s’agit de permettre de raccorder aux rĂ©seaux des populations isolĂ©es, ou de faciliter la recherche de pointe dans des zones Ă©loignĂ©es, pour Ă©ventuellement mieux les protĂ©ger, alors un intĂ©rĂȘt en matiĂšre de dĂ©veloppement durable peut ĂȘtre trouvĂ©. Au contraire, s’il s’agit de vouloir Ă©tendre toujours plus loin les connexions Ă  haut dĂ©bit, dans l’idĂ©e que l’on puisse regarder des clips en HD au sommet de l’Himalaya, quitte Ă  engager dans le mĂȘme mouvement de nouvelles destructions de zones naturelles et de biodiversitĂ©, alors l’intĂ©rĂȘt est plus discutable. C’est la mĂȘme chose dans le domaine de l’exploration spatiale et lunaire. Si l’objectif est de construire d’ici la fin du siĂšcle de vĂ©ritables parcs d’attraction touristiques dans l’espace ou sur la Lune, l’équation Ă©cologique n’est pas exactement la mĂȘme que s’il s’agit de dĂ©velopper la production spatiale d’énergie solaire, relativement bas carbone. Tout dĂ©pend de l’objectif que servira l’exploration spatiale. Et le problĂšme est bien lĂ . Aujourd’hui, le dĂ©veloppement de la New Space Economy » est principalement menĂ© par des organisations privĂ©es de Virgin Galactic Ă  Starlink en passant par Blue Origin dont les objectifs ne sont pas toujours transparents, mais en tout cas peu probablement philanthropes. Difficile de prĂ©voir exactement comment Ă©voluera l’économie spatiale, mais dans la communication de ces acteurs privĂ©s, c’est bien la commercialisation massive de l’espace et de ses ressource que l’on lit entre les lignes tourisme spatial, exploitation miniĂšre de masse, tĂ©lĂ©communications et big data, surveillance. On imagine bien que l’objectif premier de ces investissements massifs dans l’industrie spatiale, c’est le dĂ©veloppement de nouveaux marchĂ©s, de nouveaux besoins, et pas le respect des limites planĂ©taires ou la protection de la biodiversitĂ©. Bien au contraire, le dĂ©veloppement de ces marchĂ©s devrait engendrer une pression toujours plus forte sur les ressources et les espaces naturels et toujours plus de pollutions. Pour construire des lanceurs, des fusĂ©es et des satellites ou trouver les ressources Ă©nergĂ©tiques pour les envoyer dans l’espace, ce sont forcĂ©ment des ressources terrestres qu’il faudra utiliser. Par dĂ©finition, Ă  court et moyen terme l’exploration de l’espace se fera donc forcĂ©ment aux dĂ©pens de la prĂ©servation de ce qu’il reste Ă  protĂ©ger sur Terre. À minima, cela incite donc Ă  penser que si l’on veut une industrie spatiale soutenable, il faudra la rĂ©glementer fortement pour orienter ses dĂ©veloppements vers des objectifs d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, limiter l’exploitation irraisonnĂ©e des ressources spatiales, et Ă©viter une catastrophe Ă©cologique, dans l’espace et sur Terre. Mais quand on voit Ă  quel point il est difficile de rĂ©glementer l’exploitation du peu de zones sauvages que comptent encore la Terre, on se dit que ce n’est pas gagnĂ© pour le monde spatial qui juridiquement, n’est le territoire d’aucun gouvernement. Espace, recherche scientifique et transition durable Reste Ă  savoir si l’économie spatiale peut avoir des effets collatĂ©raux positifs non prĂ©vus ? Comme certains le soulignent parfois par analogie, la Formule 1, malgrĂ© une utilitĂ© sociale discutable, a tout de mĂȘme permis, grĂące Ă  des investissements Ă©levĂ©s, des avancĂ©es majeures en matiĂšre de performance des moteurs automobiles. AvancĂ©es qui permettent aujourd’hui de gĂ©nĂ©raliser des moteurs plus Ă©conomes en Ă©nergie et moins Ă©metteurs de CO2 et de particules fines. L’industrie spatiale peut-elle accoucher, mĂȘme par accident, de telles innovations positives ? VoilĂ  une question Ă  laquelle il est bien difficile de rĂ©pondre, car on ne peut le prĂ©voir. C’est le principe mĂȘme de ce que l’on appelle la sĂ©rendipitĂ© en sciences parfois, l’exploration ou la recherche permettent de faire des dĂ©couvertes inattendues, qui se rĂ©vĂšlent utiles sur le plan social ou scientifique. Il est toujours possible que les fonds massifs investis dans l’exploration spatiale amĂšnent un jour Ă  trouver de nouvelles formes d’énergie plus propres, via l’exploitation de gisements d’hydrogĂšne ou d’autres matĂ©riaux dans l’espace, ou qu’ils permettent le dĂ©veloppement de traitements mĂ©dicaux de pointe, grĂące au travail en micro-gravitĂ© ou bien d’autres choses encore. C’est possible, en thĂ©orie. Mais en pratique, l’argument de la sĂ©rendipitĂ© ou de la dĂ©couverte par accident est difficile Ă  dĂ©fendre dans le cadre d’une analyse Ă©cologique de l’exploration spatiale. En effet, la crise Ă©cologique restreint fortement les ressources dont nous disposons collectivement. Nous avons peu de temps, peu d’énergie, peu de ressources, qu’il faut rĂ©partir entre nos diffĂ©rents besoins alimentation, mobilitĂ©, habitat
 Dans ce contexte, difficile de dĂ©fendre l’idĂ©e investir des milliers de milliards d’euros, des millions de tonnes de matĂ©riaux et des dizaines de GWh d’énergie dans des projets spatiaux, en espĂ©rant qu’un jour, peut-ĂȘtre, ils aboutiront Ă  des dĂ©couvertes scientifiques d’intĂ©rĂȘt. D’une part, parce qu’il n’est pas certain loin s’en faut que ces dĂ©couvertes hypothĂ©tiques Ă©mergent dans les temps pour Ă©viter une crise climatique dramatique ou une extinction massive de la biodiversitĂ©, si elles Ă©mergent un jour. D’autre part, car tout cet argent et toutes ces ressources pourraient certainement ĂȘtre employĂ©es dĂšs aujourd’hui pour des projets Ă©cologiques, sociaux ou sanitaires, avec des technologies qui existent dĂ©jĂ  Ă©nergies renouvelables, mobilitĂ© durable, transition vers une alimentation durable
. Par exemple, dans les faits, il est plus simple techniquement, Ă©conomiquement comme sur le plan Ă©cologique de dĂ©velopper l’hydrogĂšne vert sur terre que d’imaginer exploiter l’hydrogĂšne spatial, en tout cas sur l’échelle de temps qui nous intĂ©resse pour rĂ©pondre Ă  la crise climatique. Surtout, d’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, l’idĂ©e qu’il faudrait utiliser l’essor de telle ou telle industrie comme catalyseur de la recherche scientifique d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral relĂšve surtout d’une dĂ©politisation profonde de la gestion nos enjeux collectifs. AprĂšs tout, si l’on souhaite rĂ©ellement faire des dĂ©couvertes scientifiques en lien avec la transition Ă©cologique, inutile d’attendre que tel ou tel milliardaire dĂ©cide d’investir dans un secteur qui n’a rien Ă  voir en priant trĂšs fort pour que cela aboutisse Ă  quelque chose d’utile pour tous on pourrait tout simplement dĂ©cider collectivement d’allouer directement de l’argent Ă  la recherche dans ce domaine. Soit de l’argent public, soit de l’argent privĂ©, grĂące Ă  des politiques incitatives et des rĂ©glementations plus fortes. Et si par malchance, on constatait alors que l’argent n’arrive pas pour financer ces initiatives d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, il serait encore temps de se demander s’il est lĂ©gitime que notre systĂšme Ă©conomique collectif mette tant d’argent dans les poches de ceux qui n’ont visiblement pas envie de le dĂ©penser pour la collectivitĂ©. En rĂ©sumĂ©, l’exploration spatiale peut certes, thĂ©oriquement, aboutir Ă  des innovations utiles sur le plan Ă©cologique ou social. Mais dans les faits, la tendance ne plaide pas vraiment pour l’émergence d’une Ă©conomie spatiale au service de la transition durable dans les prochaines annĂ©es. Et si l’on adopte une posture probabiliste, il ressort qu’il est peu probable que l’exploration spatiale accĂ©lĂšre significativement l’émergence de technologies durables, alors qu’il est certain que son dĂ©veloppement mĂšnera Ă  l’accĂ©lĂ©ration de la pression Ă©cologique, au dĂ©triment de la transition vers une Ă©conomie plus sobre, qui est rĂ©ellement la seule solution pour la transition Ă©cologique globale. Que reste-t-il alors pour dĂ©fendre l’exploration spatiale ? La croissance ? Certes, puisque la valeur gĂ©nĂ©rĂ©e par secteur pourrait ĂȘtre multipliĂ©e par 10 d’ici 30 ans Ă  peine. Mais qui sait comment sera rĂ©partie cette valeur ? Si elle bĂ©nĂ©ficiera Ă  l’économie de façon juste et Ă©quitable ? Vus les protagonistes actuels de l’aventure spatiale, plus connus pour leur capacitĂ© Ă  accumuler les richesses qu’à la redistribuer, on peut se poser la question. L’exploration spatiale seule solution pour l’Homme ? Le dernier enjeu qui entoure les thĂ©matiques de l’exploration spatiale et de la transition Ă©cologique est celui de la colonisation. Pour certains, puisque la crise Ă©cologique est dĂ©jĂ  bien amorcĂ©e et que ses consĂ©quences sont dĂ©jĂ  significatives, partir vers une autre planĂšte n’est-il pas la seule solution pour prĂ©server l’HumanitĂ© ? Et Ă  plus long terme, ne faudra-t-il pas quitter notre systĂšme solaire pour prĂ©server l’espĂšce ? Pour soutenir cette ambition colonisatrice dans les prochaines dĂ©cennies, c’est Mars qui est visĂ©e, et d’ailleurs, Euroconsult prĂ©voit que d’ici 2030, au moins 11 missions spatiales s’aventurent sur la planĂšte rouge. Sans compter les 20 missions qui visent plus loin le Deep Space. Il faut ici admettre que si l’on raisonne Ă  l’échĂ©ance de plus d’un milliard d’annĂ©es, il est certain que la Terre deviendra invivable pour l’Homme, ne serait-ce qu’à cause de l’évolution de l’intensitĂ© solaire, et plus tard, de la disparition de notre astre. Si l’humanitĂ© veut Ă©chapper Ă  cela, elle devra, Ă©videmment, trouver une solution pour quitter la Terre, solution qui passera vraisemblablement par l’exploration spatiale. Cela dit, on parle ici du trĂšs, trĂšs long terme. Et dans les faits, nous avons d’ici lĂ  le temps de rendre la Terre inhabitable plusieurs fois, par exemple, si l’on conserve les mĂȘmes trajectoires de rĂ©chauffement climatique ou d’effondrement du vivant. En termes de maintien de nos conditions de survie, Ă  trĂšs court terme, c’est bien sur ces crises Ă©cologiques qu’il faut agir, bien avant de se prĂ©occuper de l’effondrement de notre soleil. De mĂȘme, si l’objectif est de quitter la Terre pour Ă©viter la catastrophe Ă©cologique en cours, le compte n’y est pas non plus. En effet, il semble aujourd’hui improbable que l’on puisse envoyer ne serait-ce qu’un Ă©quipage sur Mars avant 2030, voire plus tard. Il faudra sans doute attendre le milieu du siĂšcle pour y envoyer des missions rĂ©ellement opĂ©rationnelles. On ne commencera Ă  parler d’une Ă©ventuelle colonisation » que des dizaines, peut-ĂȘtre des centaines d’annĂ©es plus tard. Les barriĂšres Ă  surmonter sont Ă©normes temps de voyage, radiations, conditions sur place, mais aussi, barriĂšres techniques, financiĂšres
 D’ici lĂ , les consĂ©quences du rĂ©chauffement climatique, de la crise de la biodiversitĂ© et de la pollution globale auront eu le temps de rendre la Terre nettement moins propice Ă  la vie humaine. Il sera alors trop tard pour l’écrasante majoritĂ© de la population qui n’aura pas le loisir de pouvoir participer Ă  cette Ă©ventuelle colonisation, si tant est qu’elle soit un jour possible. D’autant que, si elle s’avĂ©rait possible, cette colonisation impliquerait l’usage massif de ressources et d’énergie, dont on manquerait alors probablement sur Terre. Bref, l’idĂ©e de quitter la Terre a peut-ĂȘtre du sens Ă  long terme, mais Ă  court terme, la dĂ©marche semble Ă  la fois illusoire et contre-productive, tant elle implique de poursuivre un extractivisme destructeur qui ne ferait qu’accĂ©lĂ©rer la crise Ă©cologique actuelle. Prioriser, hiĂ©rarchiser les besoins La problĂ©matique de l’exploration spatiale illustre donc bien l’enjeu majeur que nous devons relever dans les prochaines dĂ©cennies pour faire face Ă  la crise Ă©cologique celui de la sobriĂ©tĂ©. Fondamentalement, nous devons rĂ©apprendre Ă  hiĂ©rarchiser et prioriser nos besoins. Avec des ressources limitĂ©es et face Ă  l’urgence Ă©cologique, il est aujourd’hui impĂ©ratif de bien choisir les dĂ©fis que nous devons relever. Clairement, l’exploration spatiale ne semble pas aujourd’hui constituer un enjeu prioritaire pour l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral ou pour la transition durable. Au mieux, elle contribuera Ă  alimenter dans les prochaines annĂ©es de nouveaux marchĂ©s Ă©nergivores dans les telecoms ou le tourisme, des marchĂ©s perpĂ©tuant la tendance d’un modĂšle Ă©conomique fondĂ© sur le toujours plus » au dĂ©triment de la nĂ©cessaire transition vers la sobriĂ©tĂ© Ă©cologique. Le fait que la conquĂȘte spatiale mobilise aujourd’hui autant d’énergie physique et politique, autant de financements, autant d’attention n’est qu’un Ă©niĂšme symptĂŽme de notre incapacitĂ© collective Ă  faire la hiĂ©rarchie de nos prioritĂ©s, alors mĂȘme que les enjeux Ă©cologiques ne sont toujours pas suffisamment pris en compte dans nos institutions politiques, sociales et Ă©conomiques. Les impacts Ă©cologiques associĂ©s Ă  l’exploration spatiale ne sont certes aujourd’hui pas gigantesques, mais ils sont trĂšs rarement questionnĂ©s, ou mis en parallĂšle avec l’utilitĂ© sociale du secteur. Rien n’est donc fait pour encadrer ces impacts, les rĂ©guler, ou pour inscrire le secteur dans une logique de transition durable globale. En l’état, la conquĂȘte spatiale ressemble donc plus Ă  l’exportation toujours plus loin de nos capacitĂ©s destructrices qu’à une aventure collective positive et raisonnable d’exploration de l’inconnu. En quelque sorte, un mythe d’Icare oĂč les Ă©toiles remplaceraient le soleil. Dans ce monde complexe qui se dessine devant nous
 
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LaphotosynthÚse est donc un terme dédié à la réaction s'opérant au sein des végétaux au contact de la lumiÚre. On parlera cependant de photosynthÚse artificielle lorsqu'il s'agit d'utiliser l'énergie solaire afin de réaliser des conversions énergétiques ne nécessitant pas la présence des cellules chlorophylliennes.
La morale existe elle dans la nature dans l'absolu ou est ce une crĂ©ation de l'esprit ? artificielle la morale est une construction humaine La morale est dĂ©jĂ  comprise, donc superficielle. Elle n'en demeure pas moins naturelle. Message Ă©ditĂ© le 16 mai 2022 Ă  232859 par EL-TONTO La morale est un produit de l'Ă©volution. Le 16 mai 2022 Ă  232716 Comme la sĂ©lectionComment on sait dans l'Ă©tat naturel si quelque chose est bien ou mal ? C’est mĂ©taphysique selon moi Essentiellement artificielle, puisque la morale naturelle serait plutĂŽt tout ce qui permet de maximiser les chances de transmettre ses gĂȘnes. Artificielle c'est Ă©vident, regardez ceux qui naissent dans les cartels, leur morale est totalement diffĂ©rente de la nĂŽtre. Le 16 mai 2022 Ă  232905 Le 16 mai 2022 Ă  232716 Comme la sĂ©lectionComment on sait dans l'Ă©tat naturel si quelque chose est bien ou mal ?La morale n’existe que dans ta tĂȘte car tu es dotĂ© d’altruisme et d’une conscience. Ta morale n’est lĂ  uniquement car tu penses devoir rendre des comptes Ă  quelqu’un si tu fais quelque chose de bien ou de mal quelqu’un physiquement gĂ©nĂšre une douleur perceptible physiquement chez la personne agressĂ©e. La douleur n’est pas un phĂ©nomĂšne agrĂ©able. Il en va de mĂȘme pour la douleur psychique. En consĂ©quence, faire du mal Ă  quelqu’un physiquement ou psychologiquement est contraire Ă  la morale. De part notre rĂ©alitĂ© biologique, la morale est naturelle. Le 16 mai 2022 Ă  233147 Le 16 mai 2022 Ă  232905 Le 16 mai 2022 Ă  232716 Comme la sĂ©lectionComment on sait dans l'Ă©tat naturel si quelque chose est bien ou mal ?La morale n’existe que dans ta tĂȘte car tu es dotĂ© d’altruisme et d’une conscience. Ta morale n’est lĂ  uniquement car tu penses devoir rendre des comptes Ă  quelqu’un si tu fais quelque chose de bien ou de malcette morale n'existe qu'en Europe, dans les sociĂ©tĂ© asiatique, la honte prime sur la morale et dans les sociĂ©tĂ© africaine c'est la peur qui rĂ©gis la morale Les bouddhistes disent qu'on est par essence des ĂȘtres de compassion. Le 16 mai 2022 Ă  233251 Le 16 mai 2022 Ă  233147 Le 16 mai 2022 Ă  232905 Le 16 mai 2022 Ă  232716 Comme la sĂ©lectionComment on sait dans l'Ă©tat naturel si quelque chose est bien ou mal ?La morale n’existe que dans ta tĂȘte car tu es dotĂ© d’altruisme et d’une conscience. Ta morale n’est lĂ  uniquement car tu penses devoir rendre des comptes Ă  quelqu’un si tu fais quelque chose de bien ou de malcette morale n'existe qu'en Europe, dans les sociĂ©tĂ© asiatique, la honte prime sur la morale et dans les sociĂ©tĂ© africaine c'est la peur qui rĂ©gis la morale Ça tombe bien on est en Europe Mon chat avait fait tomber mon ordi portable. Il c'Ă©tait cachĂ© avant que je vois l'ordi par terre. Donc naturelle car il savait qu'il avait fait une connerie. Message Ă©ditĂ© le 16 mai 2022 Ă  233637 par EL-TONTO Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ? lO9RtEX. 42 143 253 48 120 97 295 303 274

elle est parfois artificielle ou bien encore naturelle