TĂ©lĂ©commandesde rechange. Nous avons Ă©galement sĂ©lectionnĂ© un ensemble d’accessoires dĂ©diĂ©s au lĂšve-personne, et plus particuliĂšrement des tĂ©lĂ©commandes de rechange. Elles sont indispensables Ă  la manipulation du lĂšve-personne et sont compatibles avec les diffĂ©rentes gammes de dispositifs.
Avec l'Ăąge, les gestes deviennent moins sĂ»rs et le risque de chute est plus important. MalgrĂ© cette perte d'autonomie, le transfert dans une maison de retraite n'est pas inĂ©luctable. Il existe en effet un certain nombre d'Ă©quipements qui permettent d'envisager le maintien Ă  domicile dans les meilleures conditions. SommaireDes dĂ©placements et des gestes quotidiens plus facilesUne hygiĂšne quotidienne facilitĂ©eUne maison connectĂ©eUne vie quotidienne plus facile Des dĂ©placements et des gestes quotidiens plus faciles La perte d'autonomie se manifeste notamment par une certaine difficultĂ© Ă  se dĂ©placer et Ă  effectuer des mouvements simples, comme se lever ou s'asseoir. Certains Ă©quipements aident la personne dans ses dĂ©placements et ses gestes quotidiens. Ainsi, une canne peut lui ĂȘtre utile, surtout si elle dispose de trois points d'appui au sol. Cette canne tripode procure davantage de stabilitĂ© et permet de se relever plus facilement. Un dĂ©ambulateur ou un fauteuil roulant adaptĂ© facilitent aussi les dĂ©placements Ă  domicile. De mĂȘme, la pose de barres d'appui permet Ă  la personne de se dĂ©placer en toute sĂ©curitĂ©. PlacĂ©e prĂšs de son lit, un tel Ă©quipement lui permet de se lever sans difficultĂ©. D'autres barres peuvent ĂȘtre installĂ©es tout au long de son cheminement. Certains Ă©quipements Ă©vitent Ă  la personne ĂągĂ©e de se baisser. C'est le cas des rehausseurs de prises Ă©lectriques. GrĂące Ă  ce matĂ©riel, elle n'a pas besoin de se courber pour atteindre la prise. Les rehausseurs sont parfois Ă©quipĂ©s d'un Ă©jecteur de prise. Nul besoin de tirer pour dĂ©brancher le fil, il suffit de presser sur un bouton pour y parvenir. Une hygiĂšne quotidienne facilitĂ©e Avec la perte d'autonomie, l'hygiĂšne quotidienne et la toilette sont plus difficiles. La salle de bain, oĂč la personne peut glisser et faire une chute grave, devient mĂȘme un endroit potentiellement dangereux. Aussi convient-il, pour Ă©viter de tels dangers, d'Ă©quiper la salle de bain. Si vous disposez d'une douche de plain-pied, faites-y installer un siĂšge, pour Ă©viter de rester debout. S'il est rabattable, il prendra moins de place. Il existe Ă©galement des tabourets de douche. De son cĂŽtĂ©, la baignoire peut ĂȘtre Ă©quipĂ©e d'une porte. Sinon, posez un marchepied, qui permet d'y accĂ©der plus facilement. L'Ă©lĂ©vateur de bain est Ă©galement trĂšs pratique. C'est un siĂšge qui se fixe sur les rebords de la baignoire. PilotĂ© par une tĂ©lĂ©commande, il s'abaisse jusqu'au fond de la baignoire et se relĂšve. Enfin, des tapis antidĂ©rapants doivent ĂȘtre placĂ©s sur le sol de la salle de bain. Dans les toilettes, il est conseillĂ© d'installer un rehausseur sur le siĂšge, pour Ă©viter de trop se baisser. Une maison connectĂ©e Relevant de la domotique, de nombreux Ă©quipements facilitent Ă©galement le maintien Ă  domicile. C'est ainsi que des dĂ©tecteurs de mouvement peuvent allumer la lumiĂšre. GrĂące Ă  une tĂ©lĂ©commande, la personne peut, sans quitter sa place, ouvrir et fermer ses volets. De mĂȘme, l'installation d'un cheminement lumineux rend les dĂ©placements nocturnes plus sĂ»rs. Quant aux dispositifs de tĂ©lĂ©assistance, ils rassurent la personne elle-mĂȘme et ses proches. En cas de problĂšme, la personne ĂągĂ©e doit simplement presser le bouton d'alarme placĂ© sur un mĂ©daillon ou un bracelet. L'appel de dĂ©tresse est aussitĂŽt transmis Ă  un central d'assistance, qui prĂ©vient les proches ou appelle les services d'urgence. Le dispositif peut ĂȘtre couplĂ© Ă  un dĂ©tecteur de chute. Les objets connectĂ©s investissent Ă©galement le domaine de la santĂ©. Certains dispositifs permettent ainsi de prendre la tension. Il existe aussi des applications indiquant Ă  la personne qu'il est temps de prendre ses mĂ©dicaments. Une vie quotidienne plus facile Le maintien Ă  domicile suppose Ă©galement que, dans sa vie quotidienne, la personne en perte d'autonomie bĂ©nĂ©ficie d'un certain confort. C'est ainsi qu'un lit Ă©lectrique lui permet de se redresser sans difficultĂ© et de se lever plus facilement. De son cĂŽtĂ©, l'usage de coussins et d'oreillers ergonomiques assure un meilleur soutien de la tĂȘte et de la nuque. Quant au drap de glisse, il permet un rehaussement plus facile de la personne, qui souffre moins du dos. D'autres Ă©quipements rendent Ă©galement la vie plus facile. Certains permettent de s'habiller sans fatigue, comme des dispositifs spĂ©cifiques, permettant d'enfiler des bas ou un soutien-gorge. Une personne ĂągĂ©e a parfois du mal Ă  se servir de son tĂ©lĂ©phone. Pour en faciliter l'usage, elle peut choisir des modĂšles spĂ©cifiques, Ă©quipĂ©s de touches agrandies et d'un dispositif d'alarme. À lire aussi L’assurance dĂ©pendance pour favoriser le maintien Ă  domicile des personnes ĂągĂ©es Le maintien Ă  domicile limiterait le dĂ©clin cognitif
Draphousse 2 personnes 100 % percale de coton, tissage traditionnel 80 fils/cmÂČ Magda Se glisser le soir venu dans des draps frais et lĂ©gers est un plaisir que vous pouvez savourer dĂšs maintenant avec le drap-housse Magda en percale de coton tissĂ©e 80 fils/cmÂČ. Une matiĂšre entiĂšrement naturelle et durable qui vous assure un confort inĂ©galable et pour longtemps.
Les jeux, consignes et mĂ©thodes prĂ©sentĂ©s ci-dessous proviennent de nos parcours respectifs formations et ateliers suivis ou animĂ©s, collaborations diverses, etc. Bien souvent nous nous permettons d’emprunter Ă  d’autres certaines mĂ©thodes. Bien souvent Ă©galement, nous adaptons certaines choses vues ou expĂ©rimentĂ©es prĂ©cĂ©demment dans d’autres contextes, ceci afin de servir au mieux les groupes qui nous sollicitent. Et pour la mĂȘme raison, nous inventons rĂ©guliĂšrement certaines sĂ©quences pĂ©dagogiques
 PlutĂŽt qu’une simple boite Ă  outil, cet inventaire, non exhaustif, est proposĂ© pour que chacun-e puisse y trouver de quoi s’approprier tout ou partie des pĂ©dagogies de l’éducation populaire. Pourquoi des jeux ? Parce qu’on n’a pas trouvĂ© mieux pour apprendre Ă  se connaitre ! Mais aussi parce que les jeux permettent d’expĂ©rimenter le faire ensemble et qu’ils crĂ©ent les conditions de l’équivalence quel que soit notre Ăąge, notre fonction, notre statut social, 
 nous sommes tou∙tes Ă©quivalents devant la consigne du jeu. Enfin, par le jeu, nous pouvons travailler et Ă©prouver diffĂ©rentes dimensions et enjeux d’une vie collective la coopĂ©ration, l’initiative, l’écoute, la stratĂ©gie, etc. Sentez-vous libre et lĂ©gitime d’utiliser ce dont vous avez besoin ! NĂ©anmoins, ne vous mettez pas en danger, ni vous, ni le collectif ! Il est toujours prĂ©fĂ©rable d’avoir soi mĂȘme vĂ©cu quelque chose avant de l’animer pour d’autres et certaines des mĂ©thodes prĂ©sentĂ©es ci-dessous exigent une posture d’animateurtrice aiguisĂ©e
 Pour se rencontrerLes bonjoursIntĂ©rĂȘts se rencontrer tout simplement ! Mais aussi commencer Ă  mĂ©moriser les prĂ©noms des personnes prĂ©sentes. De plus, un contact physique aussi simple qu’une poignĂ©e de main permet de briser la glace » et de casser la distance » existante entre des personnes inconnues. Consigne chaque participant∙e se dirige vers une personne inconnue. Les deux se saluent par une poignĂ©e de main et un Ă©change de prĂ©nom. Chacun peut ensuite aller Ă  la rencontre d’une autre personne mais sans lĂącher la premiĂšre main tant qu’une autre main n’a pas Ă©tĂ© attrapĂ© ». Et ainsi de suite
 Variante on peut ajouter une consigne complĂ©mentaire et demander Ă  chacun∙e de partager, en plus du prĂ©nom, un autre Ă©lĂ©ment de prĂ©sentation ex. d’oĂč je viens ? mon mĂ©tier ? comment je me sens ? etc.. Une autre variante testĂ©e avec les copaines de Via Brachy consiste Ă  traiter de la rencontre interculturelle en faisant en sorte que chaque participante se salue Ă  la maniĂšre de telle ou telle rĂ©gion du monde le hug » allemand, le wai thaĂŻlandais, les bises française, etc
. Les jeux de prĂ©nomIntĂ©rĂȘts Connaitre et mĂ©moriser les prĂ©noms des personnes prĂ©sentes de maniĂšre ludique. Consignes Associer son prĂ©nom Ă  un geste se mettre debout et en cercle. On fait un premier tour. Puis chacune rĂ©pĂšte son prĂ©nom-geste et passe la parole en annonçant le prĂ©nom-geste d’une autre personne. Et ainsi de suite
 J’appelle-je remplace. Sans gestes. Un tour de prĂ©noms. Puis j’appelle un prĂ©nom pour lui passer la parole et j’en appelle un deuxiĂšme avec qui je change de place. S’associer Ă . Soit PrĂ©nom + Ă©tat Ă©motionnel, mĂ©tĂ©o du jour, mĂ©tier rĂȘvĂ©, etc.. Le Zip-Zap une personne se place au centre d’un cercle, elle dĂ©signe une personne dans le cercle et lui dit zip » ou zap », zip je donne le prĂ©nom de la personne Ă  ma droite, zap Ă  ma gauche. Plus dur, zip zip », le prĂ©nom de la personne Ă  la droite de celle qui est Ă  ma droite
 On mĂ©lange le cercle au moins une fois, pour changer les places. Le Killer A rĂ©aliser aprĂšs un premier jeu de prĂ©nom. Les participant⋅es sont debouts en cercle. L’animateur⋅trice se tient au milieu du cercle. Lorsqu’il⋅elle annonce le prĂ©nom de l’un des participant⋅es, celui⋅elle-ci se baisse. Les deux personnes situĂ©es Ă  ses cotĂ©s doivent alors dire le plus rapidement possible le prĂ©nom de l’autre. Celui⋅elle qui a perdu » vient au centre du cercle pour appeler un autre prĂ©nom. Et ainsi de suite
 Le drap A rĂ©aliser aprĂšs un premier jeu de prĂ©nom. Deux Ă©quipes sont sĂ©parĂ©es par un drap. Une personne de chaque camp viennent se positionner devant le drap. Lorsque celui-ci est abaissĂ©, ils doivent donner le prĂ©nom de la personne en face le plus rapidement possible. Les paquetsIntĂ©rĂȘt partager des informations basiques » au sein d’un grand groupe; Ă©viter les tours de table fastidieux. Consigne les participants sont invitĂ©s Ă  se regrouper dans l’espace par [au choix] organisation dont ils∙elles sont membres / mĂ©tier /nombre d’enfant / etc
 La liste des items possibles est infinis, tout dĂ©pend de ce que l’on dĂ©sire connaitre du groupe ! Variante les classements ». La consigne est identique mis Ă  part qu’il s’agit de se classer par Ăąge, par niveau de revenue !, etc. Le positionnement dans l'espaceIntĂ©rĂȘts savoir qui vient d’oĂč en un minimum de temps. Eviter les redites. Figurer dans l’espace la diversitĂ© ou pas des origines reprĂ©sentĂ©es au sein du groupe. Consigne chaque participant est invitĂ© Ă  se positionner dans l’espace selon son origine gĂ©ographique prĂ©ciser s’il s’agit du lieu de vie, du lieu de travail, de la ville de naissance, etc
. L’animateur peut commencer Ă  se positionner en annonçant d’oĂč il vient, puis indiquer au reste des participant∙es la direction des points cardinaux afin que chacun puisse se situer. Lorsque tous les participant∙es sont positionnĂ©âˆ™es, l’animateur distribue la parole afin de connaitre l’ensemble des lieux ainsi reprĂ©sentĂ©s. La prĂ©sentation croisĂ©eIntĂ©rĂȘts Eviter les tours de table souvent fastidieux, intimidants et lors desquels chacun⋅e se sent obligé⋅e de donner son pedigree institutionnel » rĂŽle social. Permettre la rencontre. Assumer et faire confiance en la subjectivitĂ© d’autrui ce qu’une personne restituera de ma prĂ©sentation sera fonction de son propre parcours de vie. Consigne En binĂŽme. Dans un temps limitĂ© 5-10 min /personne, chacune se prĂ©sente Ă  une autre personne qui se chargera ensuite de prĂ©senter son binĂŽme lors de la restitution en plĂ©niĂšre. Lors de la restitution croisĂ©e, chacun⋅e peut bien entendu apporter une prĂ©cision ou une correction si cela lui semble nĂ©cessaire. Variante la prĂ©sentation croisĂ©e peut ĂȘtre dirigĂ©e », ce qui signifie que les Ă©lĂ©ments de prĂ©sentation sont prĂ©dĂ©finis par l’animateur⋅trice. Exemple l’endroit ou j’ai grandis / mon mĂ©tier* / mon plus grand rĂȘve Ă  choisir selon le degrĂ© de connaissance des personne prĂ©sentes et ce qu’il nous apparaĂźt pertinent d’apprendre des uns et des autres. * le mĂ©tier n’est pas la fonction ni le titre directeur, chargĂ© de projet,
. Il est souvent intĂ©ressant de voir comment chacun⋅e rĂ©ussit plus ou moins facilement Ă  dĂ©finir concrĂštement ce qu’il⋅elle fait. Que toutes celles-eux qui...IntĂ©rĂȘts se connaitre diffĂ©remment ». Que chacun⋅e puisse poser des questions au groupe et pas seulement les animateur⋅trices. MĂȘler l’anecdotique avec des Ă©lĂ©ments plus sĂ©rieux ». Consignes Disposer un cercle de chaises. Une chaise en moins que le nombre de participant-es. Une personne debout au milieu donne une consigne du type que tous ceux-elles qui portent des chaussettes, ont des enfants, sont bĂ©nĂ©voles dans une asso, 
 changent de places ». La personne qui se retrouve sans chaise annonce alors une nouvelle consigne. Variante Il est possible de prĂ©parer en avance des antisĂšches », de sorte que celui⋅elle qui se retrouve sans inspiration au milieu du cercle peut piocher dedans. Cela permet de garantir un certain dynamisme mais aussi, le cas Ă©chĂ©ant, d’orienter le jeu vers ce qu’il nous semble intĂ©ressant d’apprendre des un⋅es et des autres. Les avions en papierIntĂ©rĂȘts Se rencontrer diffĂ©remment; mĂȘler le personnel et le professionnel; susciter les rencontres en binĂŽmes. ConsignesUn feuille par participante 3 ou 4 items lĂ©gers », personnels Ȉ renseigner par exemple citation, film prĂ©fĂ©rĂ©, objet que j’ai toujours avec moi, etc. + un autoportrait. Les participant-es remplissent individuellement leur feuille. Puis, avec les feuilles, on fait des avions lancĂ©s dans la salle, chacun ramasse un avion et doit retrouver son auteur⋅e. On interroge ensuite l’auteur⋅e sur deux ou trois autres items, Ă©ventuellement d’avantage professionnels » ton mĂ©tier, 
. Il est alors possible de proposer une restitution croisĂ©e en plĂ©niĂšre CF; la prĂ©sentation croisĂ©e dirigĂ©e. L'horlogeIntĂ©rĂȘts Rencontrer un maximum de personnes en un minimum de temps. Varier les sujets de discussion et rencontrer l’autre via un thĂšme original / polĂ©mique / drĂŽle / lĂ©ger ceci est fonction des sujets choisis au prĂ©alable. Consignes L’horloge est une sorte de Speed-dating thĂ©matique ». Fonctionne idĂ©alement avec 12 participant-es mais il est facile de l’adapter avec un groupe de taille diffĂ©rente. Chaque participant dispose d’une feuille A4 reprĂ©sentant une horloge 12h. Un temps pour prendre des rendez-vous un rendez-vous par heure. Chacun note le prĂ©nom d’un⋅e participant⋅e en face de chaque crĂ©neau horaire disponible 12 si 12 participant⋅es. Puis l’animateur⋅trice annonce une heure il est 15h , chacun-e rencontre alors son rendez-vous programmĂ© Ă  ladite heure. A chaque heure, une question ou un thĂšme de discussion diffĂ©rent est proposĂ©. 5min. max. par rendez-vous, puis on change nouvelle heure, nouveau partenaire, nouveau sujet de conversation
 Souvent, les discussions provoquĂ©es seront frustrĂ©es par le temps limitĂ© accordĂ©. C’est tout l’intĂ©rĂȘt de l’exercice que chacun⋅e ait envie de poursuivre ultĂ©rieurement ou avec quelqu’un d’autre les conversations entamĂ©es. Variantes le temps des prises de rendez-vous » n’est pas indispensables. On peut simplement proposer Ă  chaque fin de rdv de former un nouveau binĂŽme. Le bingoIntĂ©rĂȘts susciter la rencontre Consigne voir le Bingo de la Volte Variantes Il est possible d’imposer diffĂ©rentes contraintes pas deux fois le mĂȘme prĂ©nom, n’inscrire que des gens prĂ©sents,
 La menterieRaconter 3 histoires personnelles anecdotes au reste du groupe 2 sont vrais et une est fausse, c’est la menterie ! Le portrait chinoisLe speed-dating mouvantIntĂ©rĂȘts apprendre Ă  se connaitre de maniĂšre dĂ©calĂ©e, en interrogeant diffĂ©rentes facettes de nos personnalitĂ©s ou de notre vĂ©cu. Consignes chaque participant∙e reçoit une question sur un bout de papier sĂ©rieuse ou lĂ©gĂšre, thĂ©matisĂ©e ou dĂ©calĂ©e,
. Ensuite on part Ă  la rencontre d’une autre personne chacun∙e rĂ©pond Ă  la question de l’autre en une minute maximum environ. Puis on s’échange les bouts de papiers, chacun∙e repart alors Ă  la rencontre d’une autre personne avec une nouvelle question. Variante Il est possible de glisser un ou plusieurs papiers blancs au sein de la banque de question celui∙elle rĂ©cupĂ©rant un papier blanc se retrouve donc libre de poser la question de son choix. Les trois bouclesIntĂ©rĂȘt Se rencontrer en s’amusant, retenir le nom des personnes prĂ©sentes, et s’embrouiller l’esprit! Consignes les participant∙es sont debout en cercle. On va lancer une boucle de prĂ©noms qui ne suit pas l’ordre du cercle, et chaque personne va ĂȘtre appelĂ©e une seule fois. Le participant A gĂ©nĂ©ralement l’ appelle le participant B, qui appelle le participant C, etc. jusqu’à ce que tout le monde ait Ă©tĂ© appelĂ© et que le dernier appelle le participant A. On fait tourner cette boucle des prĂ©noms 3 ou 4 fois pour l’avoir bien en tĂȘte chaque participant appelle toujours la mĂȘme personne. On lance alors une deuxiĂšme boucle, la boucle des toi ». Le participant A montre du doigt le participant E en disant toi », E montre alors le participant D du doigt en disant toi », etc. jusqu’à ce que tout le monde ait Ă©tĂ© appelĂ© et que le dernier montre du doigt le participant A. La boucle est diffĂ©rente de celle des prĂ©noms. On fait tourner cette boucle des toi » 3 ou 4 fois pour l’avoir bien en tĂȘte. Le participant A relance la boucle des prĂ©noms. Puis relance la boucle des toi » en parallĂšle. On peut s’amuser avec ça quelques minutes, puis on rajoute la troisiĂšme boucle Le participant A se dĂ©place et vient se mettre derriĂšre le participant G, qui vient se mettre derriĂšre C, etc. jusqu’à ce que tout le monde se soit dĂ©placĂ© et que le dernier vienne se mettre derriĂšre le participant A. On fait tourner cette boucle des dĂ©placements 3 ou 4 fois pour l’avoir bien en tĂȘte. La boucle des dĂ©placements continue. Quand l’ le sent, relance la boucle des prĂ©noms en parallĂšle. Puis celle des toi ». Une fois que tout le monde a compris, n’importe qui peut relancer une des trois boucles quand elle s’arrĂȘte ça arrive souvent!. Valentine's gameUn exercice » qui porte le nom de celle qui nous l’a fait dĂ©couvrir ! IntĂ©rĂȘts Nourrir les relations interpersonnelles au-delĂ  de nos rapports professionnels ou de nos rĂŽles sociaux. CrĂ©er et nourrir de l’intimitĂ©. Prendre le temps de poser les questions qu’on ne se pose jamais. Consignes Chaque dispose d’un temps individuel pour rĂ©flĂ©chir aux questions qu’i∙el souhaite poser Ă  chacun∙e des membres du groupe. I∙el peut autant poser une question personnalisĂ©e Ă  chaque personne ou choisir de poser la mĂȘme question Ă  tout le monde. Cela peut ressembler Ă  la question que je n’ai jamais osĂ©e te poser » ou que je n’ai jamais eu l’occasion, le temps de te poser » ou bien encore ce que j’ai envie de te demander ici et maintenant ». Les sont ensuite Ă  se rencontrer deux par deux, un peu comme un speed-dating », pour se poser respectivement leurs questions et y rĂ©pondre. Les rĂ©ponses doivent ĂȘtre relativement spontanĂ©es et rapides entre 3 et 5min par question. Il n’y a, a priori, aucune restitution ni exploitation de ces temps-lĂ . Pour faire groupepetite histoire - grande HistoireIntĂ©rĂȘts partager nos histoires de vie, les racines de nos colĂšres et de nos engagements, organiser la transmission de nos expĂ©riences politiques. Identifier ce qui, dans nos parcours de vie respectifs, nous a emmenĂ© lĂ  ou nous en sommes aujourd’hui. Consignes Un temps d’écriture individuelle Les participant∙es sont invitĂ©âˆ™es Ă  reprĂ©senter leur parcours de vie sous forme d’une frise, d’un dessin schĂ©matique ou encore d’un tableau chronologique en y faisant figurer les Ă©lĂ©ments significatifs de sa petite histoire et d’autres de la grande Histoire. La petite histoire renvoie Ă  notre histoire personnelle famille, Ă©tudes, travail, voyages, rencontres,
, la grande Histoire a tout ce qui a une dimension collective un livre, un Ă©vĂšnement sportif, quelque chose qui nous a marquĂ© Ă  la tĂ©lĂ©vision, 
 sans avoir nĂ©cessairement le label » politique. La collecte s’en suit un temps de collecte permettant d’élaborer une frise collective. A tour de rĂŽle, chacun∙e est invitĂ©âˆ™e Ă  partager un Ă©lĂ©ment de sa petite histoire et un Ă©lĂ©ment de sa grande histoire qui seront notĂ©s sur la frise par un∙e autre participant∙e. En fonction du nombre de participantes et du temps que l’on s’accorde, ce moment peut ĂȘtre animĂ© de multiples maniĂšres
 Exploitation de la frise un temps d’échange et de discussion, souvent autour de la question suivante Qu’est ce que vous lisez, repĂ©rez, dans cette fresque comme Ă©lĂ©ments dĂ©clencheurs de votre engagement et de ceux des autres participants?» repĂ©rage des moments oĂč l’on s’est rĂ©alisĂ© ou au contraire on s’est sentis niĂ©s. Pour un descriptif et une analyse dĂ©taillĂ© voir l’excellent Cahier du PavĂ© sur les RĂ©cits de vie, tĂ©lĂ©chargeable gratuitement ici Les jeux coopĂ©ratifsIntĂ©rĂȘts DĂ©velopper de l’esprit d’équipe, de l’analyse stratĂ©gique de situations, de la communication, de l’attention Ă  soi et aux autres, prendre des risques individuels pour servir le groupe, nourrir le lĂącher prise, Ă©prouver les notions de leader et de souteneur, dĂ©velopper de la coordination. Les temps de dĂ©briefing permettent de nourrir notre analyse et notre comprĂ©hension de nos maniĂšres d’ĂȘtre et de faire ensemble. Consignes Le Pacman ou comment ne pas accueillir une personne dans un groupe installer une forĂȘt de chaises » dans la piĂšce de maniĂšre totalement alĂ©atoire. Chaque participant⋅e est assis⋅e sur une chaise, moins une chaise laissĂ©e libre et une personne qui est le pacman ». L’objectif du Pacman est d’aller s’asseoir sur la chaise, les autres doivent l’en empĂȘcher en se dĂ©plaçant d’une chaise Ă  une autre. Le pacman ne peut se dĂ©placer qu’à une vitesse constante et plutĂŽt lente, tous⋅tes les autres peuvent se dĂ©placer aussi vite que nĂ©cessaire. Leur seule contrainte une fois que l’on s’est levĂ© d’une chaise, on ne peut pas s’y rassoir immĂ©diatement. Les ptits moteurs chacun⋅e se promĂšne dans l’espace avec un objet en Ă©quilibre sur la tĂȘte un stylo, un briquet,
. cet objet symbolise notre petit moteur. Lorsque l’objet tombe, la personne ne peut plus bouger tant que quelqu’un⋅e d’autre ne lui a pas remis l’objet sur la tĂȘte. Le jeu du bĂąton chaque binĂŽme constituĂ© se balade dans l’espace en tenant un bĂąton en Ă©quilibre avec l’index positionnĂ© Ă  chaque extrĂ©mitĂ© du bĂąton. D’abord l’un guide, puis l’autre, puis personne. Le nƓud se mettre en cercle. Chacun⋅e attrape deux mains diffĂ©rentes en fermant les yeux ou pas afin de crĂ©er un nƓud de main un nƓud d’humain. Une fois que tout ça est bien emmĂȘlĂ©, on se dĂ©mĂȘle mais sans lĂącher les mains ni dĂ©boĂźter l’épaule du copain⋅e afin de retrouver le cercle initial. Le tapis coopĂ©ratif Un tapis est posĂ© au sol. Les participant∙e∙s montent tou∙te∙s dessus. La seule consigne est de retourner le tapis, sans toucher le sol ni avec leurs mains, leurs pieds, ou aucune autre partie du corps. Il est possible de rajouter un timing au bout de quelques minutes il vous reste 2 minutes ». Un tapis de bain pour 5-6 participant∙e∙s semble ĂȘtre une bonne taille. Les passages de clap les participant∙e∙s sont debout en cercle. Une personne lance le clap ». Pour cela, iel se tourne vers son∙sa voisin∙e et le∙la regarde dans les yeux. Iels essayent alors de claquer des mains en mĂȘme temps. Iels rĂ©essayent tant que la synchronisation n’est pas parfaite. Quand ça marche, celluielle qui a reçu peut alors essayer de passer le clap Ă  son∙sa voisin∙e. Une fois qu’on a fait un tour, on peut relancer le clap sans suivre le cercle, il faut simplement capter le regard de quelqu’un avant d’essayer de lui passer le clap. Il peut mĂȘme y avoir plusieurs claps en mĂȘme temps. Enfin, on peut tenter de rĂ©aliser un clap toutes ensembles. Le dessin coopĂ©ratif les participantes sont rassemblĂ©es par groupes de 4 ou 5 autour d’une feuille blanche. Chacune dispose d’un crayon. il s’agit alors, dans un laps de temps limitĂ©, de dessiner ensemble, les yeux fermĂ©s ! un objet ou une idĂ©e. Les energisersle Wizz ou le tap-tap Consignes Faire circuler l’énergie ! Un geste associĂ© Ă  un son permet de faire circuler l’énergie au sein du groupe positionnĂ©e en cercle. Soleil & CrĂšme solaire Consignes les participan∙tes circulent librement dans l’espace dĂ©finit. Chacun∙e choisit secrĂštement une personne qui sera son soleil et une autre qui sera sa crĂšme solaire. A la fin du compte Ă  rebours, chacun∙e fige sa position, le but Ă©tant d’ĂȘtre positionnĂ©âˆ™e dans l’espace de façon Ă  ce que la personne crĂšme solaire nous protĂšge de la personne soleil. Variantes – mĂȘme principe de circulation dans l’espace et de compte Ă  rebours ; mais on choisit d’ĂȘtre la crĂšme solaire d’une personne tierce que l’on cherche Ă  protĂ©ger du soleil. – les deux amoureu∙ses mĂȘmes principes sauf qu’il s’agit de rĂ©ussir Ă  se positionner Ă  Ă©quidistance de deux personnes. Mais qu’est-ce tu mimes ? Consignes une personne commence Ă  mimer une action. Lorsqu’une autre personne lui demande mais qu’est-ce que tu fais ? , elle rĂ©pond tout Ă  fait autre chose que ce qu’elle Ă©tait en train de mimer. Ceci devient alors la consigne de mime de celui-elle ayant posĂ© la question. Et ainsi de suite
 Le ninja de l’extrĂȘme Consignes dĂ©bout en cercle, les participant-es s’affrontent, tour par tour, toujours dans le mĂȘme ordre pour Ă©liminer une personne je dois rĂ©ussir Ă  lui toucher la main dans un seul et mĂȘme mouvement. L’autre peut esquiver. Une fois le mouvement d’attaque ou d’esquive rĂ©alisĂ©, je dois rester dans la posture atteinte mais toujours avec mes deux mains non-cachĂ©es. Si ma main est touchĂ©e, je perds un point de vie main dans le dos, si j’ai Ă©tĂ© touchĂ©e deux fois, je suis Ă©liminĂ©e du jeu
 L’association d’idĂ©es IntĂ©rĂȘts Se dynamiser, libĂ©rer la crĂ©ativitĂ©, partager un moment collectif. Consignes Les joueur∙euse∙s sont debout en cercle. Un∙e participant∙e envoie une balle Ă  quelqu’un∙e d’autre en prononçant Ă  voix haute le premier mot qui lui vient par la tĂȘte. Celluielle qui a reçu la balle doit alors la renvoyer Ă  quelqu’ d’autre en prononçant un mot auquel ça lui a fait penser. Et ainsi de suite
 A ce stade, les variantes sont nombreuses ! On peut, par exemple, se donner comme contrainte de sauter une idĂ©e » je prononce non pas le 1er mot auquel je pense mais le suivant, thĂ©matiser nos associations d’idĂ©es en dĂ©marrant systĂ©matiquement par un mot liĂ© Ă  cette thĂ©matique, etc. Les jeux de confiance– Aveugles & Guides se mettre en binĂŽmes. L’un sera l’aveugle » et ferme donc les yeux et l’autre le guide ». Le guide doit guider l’aveugle en l’appelant par son prĂ©nom et uniquement cela. Puis on Ă©change de rĂŽle l’aveugle devient guide et le guide devient aveugle. Cela permet de travailler la confiance et le lĂącher-prise. – La boule de billard – Le photographe – La poupĂ©e de porcelaine – La bougie Les SensorielsLes Bambous coopĂ©ratifs IntĂ©rĂȘts ExpĂ©rimenter le lĂącher-prise, se coordonner en silence et se faire confiance. Consignes par groupes de 5 Ă  6 personnes, soutient la tige de bambou avec ses indexes. L’objectif est d’arriver Ă  poser la tige de bambou au sol sans devoir discuter et sans que personne ne lĂąche jamais le contact avec le bambou. les Marionnettes IntĂ©rĂȘts RĂ©veiller son corps, se mettre en condition avant de commencer la journĂ©e, prendre soin de soi et de l’autre. Consignes Par trinĂŽmes, les participant∙es vont tour Ă  tour ĂȘtre marionnette et marionnettiste. En silence, la marionnette se place entre ses deux marionnettistes afin que ceux-ci puissent manipuler son corps. L’idĂ©e est de jouer avec le corps de l’autre sans parole, tout en sentant et respectant ses limites physiques. Le compte est bon IntĂ©rĂȘts ĂȘtre ensemble, cultiver notre attention aux autres. Consignes Les participants sont debout en cercle. Le but du groupe est de compter jusqu’au nombre total de participants. ne dira qu’un seul nombre, mais on ne sait pas dans quel ordre, il va falloir faire travailler la tĂ©lĂ©pathie ! Si deux disent le mĂȘme chiffre en mĂȘme temps, on reprend Ă  1, jusqu’à ce qu’on arrive au total sans erreur. Marches dans l’espace IntĂ©rĂȘts dĂ©velopper l’écoute du groupe, la communication par le corps, nourrir le lĂącher prise, dĂ©velopper de la coordination
 Consignes les participant∙e∙s sont invitĂ©âˆ™e∙s Ă  marcher dans un espace dĂ©limitĂ©, en essayant de rester synchronisĂ©s. On peut alors rajouter diffĂ©rentes consignes successives, en prĂ©cisant qu’il faut que le groupe reste homogĂšne =synchronisĂ© – Les vitesses de 1 Ă  5 1 Ă©tant la plus lente possible, 3 la marche, et 5 une course effrĂ©nĂ©e. – S’arrĂȘter et redĂ©marrer toutes ensembles. – Chuter au sol. – Se relever du sol. – Se mettre tou∙te∙s Ă  parler Ă  voix haute ex dire ce que vous avez fait hier – ArrĂȘter de parler. – Se mettre Ă  rire. – ArrĂȘter de rire. – Synchroniser les volumes 1 Ă©tant le plus faible chuchotement, 3 normal, et 5 trĂšs fort. – Une seule personne s’arrĂȘte. – Deux personnes s’arrĂȘtent
 – Une seule personne marche, les autres s’arrĂȘtent. – Deux personnes marchent, les autres s’arrĂȘtent. Il peut ensuite y avoir un dĂ©fi entre l’animateurice et les participant∙e∙s le groupe marche de maniĂšre synchronisĂ©e, s’arrĂȘte Ă  l’écoute, repart Ă  l’écoute. L’animateurice essaye de deviner qui a impulsĂ© l’arrĂȘt, et qui a impulsĂ© le redĂ©marrage. Le but du groupe est que l’animateurice ne trouve pas. Les besoins du collectifIntĂ©rĂȘts Partager ce qui fait que l’on se sent bien dans un groupe. Identifier la couleur d’un groupe orientĂ© action, rĂ©flexion, convivialitĂ©,
. Les besoins sont universels et c’est une responsabilitĂ© collective de les nourrir ! Consignes De quoi j’ai besoin pour me sentir bien dans un collectif ? Chacun∙e note individuellement et anonymement une idĂ©e par post-it. On recueille l’ensemble des post-it que l’on regroupe, reclasse et nomme. Puis on peut se proposer de pondĂ©rer » ces Ă©lĂ©ments afin d’avoir une image des besoins dans ce collectif Ă  ce moment prĂ©cis quels sont les besoins que j’estime bien nourris / moyennement nourris / peu nourris dans CE collectif. La mĂ©taphore de l'avionIntention Conscientiser et exprimer sa place et son ressenti dans le collectif en rĂ©pondant Ă  la question si [notre collectif] Ă©tait un avion, quel serait mon rĂŽle ou ma fonction ? Chacun∙ e est Ă  choisir un ou plusieurs rĂŽles que l’on trouve ordinairement dans ou autour d’un avion afin d’exprimer la place qu’il∙elle pense avoir au sein du collectif. Dedans Passager – HĂŽtesse ou Stewart – Touriste charter – Business man – Pilote d’avion – Copilote – Passager∙e clandestin∙e – Touriste 1ere classe – Pirate de l’air etc. Dehors MĂ©canicien∙ne – Tour de contrĂŽle – Douane – MĂ©tĂ©orologue – Bagagiste – Agence de voyage – Constructeur d’avion – Marshaller – celui∙elle qui rate son vol – Celui∙elle a qui on refuse d’embarquer etc. Le diagramme de VennPrincipes Souvent nommĂ© IkigaĂŻ car assimilĂ© Ă  tort avec ce concept japonais, nous l’utilisons pour accompagner des collectifs Ă  dĂ©finir leur raison d’ĂȘtre au sens de ce qui manquerait au monde si nous n’existions pas ». Mais aussi afin de clarifier les stratĂ©gies de dĂ©veloppement d’un projet et d’un collectif, d’identifier les zones de tensions prĂ©caritĂ©, incertitude, perte de sens, 
, de mettre Ă  jour les contradictions, 
 Au delĂ  de l’intĂ©rĂȘt Ă  dĂ©finir collectivement notre Raison d’ĂȘtre, c’est un temps de travail permettant de nourrir l’interconnaissance, de renforcer nos liens au projet, d’identifier les besoins satisfaits ou insatisfaits du collectif et de crĂ©er une culture commune. MĂ©thode complĂ©ter successivement individuellement ou collectivement les quatre cercles extĂ©rieurs Aime, DouĂ©, Besoin, PayĂ©. Puis les confronter deux Ă  deux pour dĂ©finir les quatre parties internes Passion, Vocation, Profession, Mission. Enfin, identifier le cƓur, la Raison d’ĂȘtre. La production de ces diffĂ©rentes Ă©tapes peut ĂȘtre rĂ©alisĂ©e selon de multiples mĂ©thodes, en fonction du contexte, du groupe, etc. La plupart du temps, l’ultime Ă©tape dĂ©finition de notre Raison d’ĂȘtre est confiĂ©e Ă  un sous-groupe mandatĂ© pour faire une proposition Ă  l’ensemble des participantes ça prend du temps de se mettre d’accord sur les mots!. L'Anti-dĂ©finitionIntĂ©rĂȘts Faire un pas de cotĂ©, adopter une vision dĂ©calĂ©e voire absurde afin de faire Ă©merger des Ă©lĂ©ments de comprĂ©hension ou de dĂ©finition. Dire ce que nous ne sommes pas ou ne souhaitons pas ĂȘtre pour mieux identifier ce que nous sommes. Consignes Lister de maniĂšre spontanĂ©e, par des phrases courtes, tout ce que nous ne sommes pas ou ne voulons pas ĂȘtre/faire. Pour un exemple illustrĂ©, voir la page La Volte n’est pas Variantes Cette logique du contre-pied peut ĂȘtre adaptĂ©e Ă  diffĂ©rents types de sujets – Comment susciter la participation ? > les Ă©lĂ©ments contribuant Ă  la non-participation. – Comment rĂ©ussir tel projet ? > ce qui nous ferait Ă©chouer. Les cadeauxIntentions identifier ce que chacune apporte au collectif et comment accueillir cela. Travailler ma posture vis-Ă -vis de ce qui me plait chez l’autre et surtout vis-Ă -vis de ce qui m’agace, me bouscule, m’irrite, me perturbe, me gĂȘne et qui peut souvent correspondre Ă©galement Ă  ce qui nous manquerait
. Faire des cadeaux c’est donc dire Ă  l’autre ce que l’on aime chez luielle mais aussi ce qui peut nous mettre en inconfort dans notre relation. Remarque bien souvent, ce qui m’agace » chez l’autre raconte davantage sur moi-mĂȘme que sur autrui ! Consignes Chaque personne crĂ©e son carnet de note, par exemple en se dessinant sur la premiĂšre page, puis en Ă©crivant chaque incipit en haut des pages suivantes. Puis les carnets tournent au rythme de chacune afin que tou-tes puissent dire Ă  tou-tes. Puis on peut se proposer une lecture Ă  voix haute ou pas ou, tout au contraire, de ne pas lire et que chacun-e reparte avec son carnet de cadeau Ă  dĂ©couvrir » lors d’un moment propice. Exemples d’incipit Ce qui me plait chez 
 et qui nourrit le collectif c’est
 Ce qui peut me mettre en difficultĂ© chez 
, c’est
 Ce qui nous manquerait si 
 n’était pas lĂ  c’est 
 Pour faire Ă©merger du savoirGroupe d'interview mutuelleIntĂ©rĂȘts permettre Ă  chacun∙e de faire le lien entre le thĂšme de la rĂ©union et sa propre expĂ©rience, que chacun∙e puisse tirer des enseignements de ses expĂ©riences et permettre la transmission de maniĂšre horizontale et en facilitant l’expression de tou∙tes. Consignes il s’agit de relater et d’analyser une expĂ©rience vĂ©cue, dans un temps limitĂ©. L’animateur invite les participant∙es Ă  se regrouper par trois puis chacun∙e Ă  tour de rĂŽle, va conter une expĂ©rience vĂ©cue en lien avec le thĂšme de la rĂ©union. Les deux autres personnes miroirs » posent des questions de comprĂ©hension. A l’issue des GIM seuls sont mis en commun les Ă©lĂ©ments d’analyse et de comprĂ©hension des situations vĂ©cues et non plus les histoires en elles-mĂȘmes. Cet exercice facilite donc la prise de parole en petits groupes ainsi que la mise en lumiĂšre d’élĂ©ments communs et synthĂ©tisĂ©s. J'aime / j'aime pas / Il me manqueIntentions Partir du vĂ©cu des participan∙tes, faire Ă©merger de la matiĂšre en je » Ă  partir de laquelle nous souhaitons travailler collectivement. Consignes Variables ! Les trois items j’aime/j’aime pas / il me manque pouvant ĂȘtre produits de diffĂ©rentes maniĂšres atelier d’écriture, post-it, panneaux en libre accĂšs, etc. Tout dĂ©pend de la composition du groupe, du sujet abordĂ© nos rĂ©unions, une action spĂ©cifique, un rĂŽle dans l’organisation, etc. et de l’exploitation que l’on souhaite en faire. Variantes L’intĂ©rĂȘt principal de cette mĂ©thode tient Ă  la simplicitĂ© des items proposĂ©s et Ă  l’invitation Ă  s’exprimer en je ». Ainsi de multiples variations peuvent ĂȘtre imaginĂ©es. Quelques variables testĂ©es dans diffĂ©rents contextes Ce que je vis / ce que je n’aimerais pas vivre / ce que j’aimerais vivre Ce que l’on fait / ce que j’aimerais que l’on fasse / ce que je n’aimerais pas que l’on fasse. Ce que je fais et aimerais continuer Ă  faire / ce que je fais et ne souhaiterais plus faire / ce que je n’ai jamais fais et aimerais faire La Boule de neigeIntĂ©rĂȘts permettre Ă  chacun∙e, et surtout aux plus timides, d’émettre ses idĂ©es dans un grand groupe, permettre d’échanger correctement et de s’approprier un ensemble de propositions. Faciliter un processus d’émergence-convergence par la confrontation et la bonification d’idĂ©es ou de propositions. Consignes On demande chacun∙e de trouver un nombre de propositions fixĂ©es Ă  l’avance sur le thĂšme qui nous rassemble. Puis les participant∙es se regroupe par binĂŽme pour Ă©changer, discuter, puis cumuler, bonifier ou agglomĂ©rer leurs idĂ©es afin de nen retenir Ă  nouveau qu’un nombre limitĂ©. On rĂ©itĂšre la mĂȘme dĂ©marche en groupe 4. Parfois on pousse la dĂ©marche jusqu’à des sous-groupes de 8. En revanche, il semble fastidieux de reprendre la dĂ©marche Ă  16. Il vaut mieux alors passer en retransmission Ă  l’ensemble du groupe. A chaque Ă©tape, il s’agit de rassembler nos idĂ©es afin de converger vers des propositions communes et ainsi de faire entonnoir, de converger vers des orientations communes. Variantes une variante consiste Ă  remplacer la retransmission plĂ©niĂšre par des petits groupes composĂ©s de membres de chacune de nos boules de neige. Chacun devient alors le rapporteur de sa boule de neige au sein de ce nouveau petit groupe. Théùtre d'improIntĂ©rĂȘts produire de la matiĂšre Ă  penser, dĂ©battre, dĂ©cider,
 de maniĂšre ludique et Ă  partir de situations vĂ©cus ou projetĂ©s. S’exprimer collectivement par le corps et sortir ainsi du tout-intellectuel. L’improvisation peut permettre de faire Ă©merger y compris inconsciemment des sujets ou problĂ©matiques concrĂštes que nous n’aurions pas nĂ©cessairement identifiĂ©s par le seul usage de nos cerveaux
 Consignes on forme des sous-groupes. Chaque sous-groupe reçoit une situation phrase ou mots-clefs dĂ©finit par le groupe et/ou l’animateur∙trice et dispose alors d’1 minute pour imaginer une saynĂšte environ 3 minutes et la jouer devant le reste du groupe. Variantes pour renforcer le cotĂ© ludique avec le risque que la forme prenne le pas sur le fond, on peut, lors de chaque saynĂšte, s’imposer des contraintes muet, vu par des enfants », en langage soutenu, en chantant, etc.. Pour s'Ă©couterle Pense EcouteIntĂ©rĂȘts Entrer dans une thĂ©matique. Prendre le temps de s’écouter penser soi-mĂȘme, de mĂ»rir sa rĂ©flexion, d’aller au bout de ses pensĂ©es avant un temps collectif. Prendre le temps, se donner du temps, se concentrer et se centrer sur l’objet de la rencontre. Travailler l’écoute rĂ©elle ne pas couper la parole, ne pas rĂ©agir. Faciliter la rencontre de l’autre, crĂ©er du lien et favoriser le respect. TrĂšs utile pour faciliter l’expression du ressenti personnel plus facile en binĂŽme qu’en grand groupe. Consignes En binĂŽme, chacune dispose d’un temps donnĂ© 2 minutes est un minimum, 5 minutes un maximum pour rĂ©pondre Ă  une question. Celui qui a la parole est donc le penseur », l’autre est dans l’écoute et le silence et ne peut interrompre la personne ou uniquement pour un besoin de comprĂ©hension. Il y a aura des blancs dans le monologue et c’est normal. Puis, on Ă©change les rĂŽles. Il n’y a pas de restitution en groupe, ce qui permet de libĂ©rer la parole. Variantes proposer un pense-Ă©coute en marchant la marche stimule la rĂ©flexion et aide Ă  vivre les silences qui sont pourtant nĂ©cessaires. On peut aussi enchaĂźner plusieurs Pense Écoute » avec le mĂȘme partenaire, en proposant une restitution collective du dernier Ă©lĂ©ment discutĂ© penser Ă  ce qu’il nous apparaĂźt judicieux de partager en grand groupe et ce qu’il nous apparaĂźt judicieux de laisser dans l’intimitĂ© du binĂŽme ou enchaĂźner plusieurs Pense Écoute » en changeant de partenaire Ă  chaque fois. . Paroles BoxĂ©esIntĂ©rĂȘts Que chacun puisse dire ce qu’il a au fond du cƓur. Combattre la langue de bois. Consignes Rassembler les participant∙es en cercle bien serrĂ©. Chacun∙e peut prendre la parole une fois et une seule fois pour un temps maximum au choix de 3 Ă  6 min. en fonction du sujet et du nombre de participant∙es. La parole est alors entiĂšrement libre et l’auditoire est condamnĂ© au silence. Pas de deuxiĂšme chance. Pas de droit de rĂ©plique. Le descriptif complet est disponible sur le site de la SCOP La Braise et tĂ©lĂ©chargeable ici PAROLES-BOXÉES- Doutes & CertitudesIntĂ©rĂȘts partager nos angoisses, inquiĂ©tudes, dĂ©sires et espoirs. Consignes chaque participant dispose de 5 Ă  10 minutes pour noter d’un cotĂ© ses doutes et de l’autre ses certitudes. puis un temps de partage collectif est proposĂ©. Le descriptif complet de la mĂ©thode est tĂ©lĂ©chargeable ici Doutes et certitudes Le Groupe d'Interview mutuelleIntĂ©rĂȘts permettre Ă  chacune de faire le lien entre le thĂšme de la rĂ©union et sa propre expĂ©rience, que chacune puisse tirer des enseignements de ses expĂ©riences et permettre la transmission de maniĂšre horizontale et en facilitant l’expression de toutes. Consignes il s’agit de relater et d’analyser une expĂ©rience vĂ©cue, dans un temps limitĂ©. L’animateur invite les participant∙es Ă  se regrouper par trois puis chacune Ă  tour de rĂŽle, va conter une expĂ©rience vĂ©cue en lien avec le thĂšme de la rĂ©union. Les deux autres personnes miroirs » posent des questions de comprĂ©hension. A l’issue des GIM seuls sont mis en commun les Ă©lĂ©ments d’analyse et de comprĂ©hension des situations vĂ©cues et non plus les histoires en elles-mĂȘmes. Cet exercice facilite donc la prise de parole en petits groupes ainsi que la mise en lumiĂšre d’élĂ©ments communs et synthĂ©tisĂ©s. La Double ListeIntĂ©rĂȘts permettre l’expression de toutes sans que cela soit la cohue. PrivilĂ©gier la prise de parole des personnes s’étant le moins exprimer en leur donnant la prioritĂ©. Permet de visualiser l’équilibre et la rĂ©partition de la prise de parole dans le groupe. Efficace lors de dĂ©bats incarnĂ©s, sur des temps longs au delĂ  de 20min et pour des tailles de groupe importantes. Consignes l’animateur note les demandes de prise de parole sur un tableau Ă  plusieurs colonnes, prioritĂ© Ă©tant donnĂ©e aux personnes n’ayant pas encore pris la parole si une personne n’ayant pas encore pris la parole la demande aprĂšs une personne l’ayant dĂ©jĂ  prise, on lui donne la parole avant celle-ci en l’inscrivant sur la 1Ăšre colonne cell∙eux qui ont dĂ©jĂ  pris la parole ne parleront Ă  nouveau que si personne n’ayant encore jamais parlĂ© ne demande la parole. On peut ouvrir autant de colonne-liste que nĂ©cessaire lorsque je demande la parole pour la troisiĂšme fois, je suis inscrit sur la troisiĂšme colonne et ainsi de suite
. Pour dĂ©batreDĂ©bats mouvantsIntĂ©rĂȘts Faire Ă©merger de la matiĂšre sur des sujets complexes. Consignes Proposer une affirmation clivante », c’est-Ă -dire une phrase simple rĂ©sumant une position sur un sujet dont on suppose qu’elle divisera le groupe en Pour » et Contre ». Demander aux participant∙es de choisir leur camp par rapport Ă  une ligne au sol la riviĂšre du doute » divisant l’espace en 2 parties devant l’animateur∙trice. Proposer un temps de prĂ©paration avant l’échange d’arguments entre les 2 camps. Chaque camp prend alors alternativement la parole pour exposer un argument en commençant par le camp minoritaire ». Les personnes convaincues par un argument peuvent changer de camp. Variantes – poser comme contrainte une seule prise de parole par personne ». – donner la parole Ă  celles et ceux qui changent de camp, pour en comprendre les raisons. – intervertir les camps ceux∙elles positionnĂ©âˆ™s spontanĂ©ment dans le camp du pour » ou du d’accord » doivent alors trouver des arguments allant dans l’autre sens contre » ou pas d’accord ». La Boxe CanadienneConsignes L’animateur∙trice divise les participant∙es en deux camps Ă©gaux. DiffĂ©rentes affirmations sont successivement proposĂ©es, un peu comme dans un dĂ©bat mouvant, sauf qu’ici c’est l’animateur∙trice qui dĂ©cide Ă  chaque fois quel camp sera d’accord et quel camp sera en dĂ©saccord avec cette affirmation. Chaque groupe doit alors trouver un certain nombre d’arguments en fonction de son camp. IntĂ©rĂȘts Faire Ă©merger de la matiĂšre sur des sujet complexes. Se contraindre Ă  se mettre Ă  la place de l’autre. DĂ©battre en se dĂ©tachant de la nĂ©cessitĂ© d’avoir raison. Variantes Presque infinies ! Par exemples – thĂ©matiser l’exercice sur le sujet prĂ©cis. – introduire des rĂšgles ou contraintes au fur et Ă  mesure bĂąton de parole », nombre limite d’arguments, prises de paroles contraintes, temps de parole limitĂ©s, portes-paroles dĂ©signĂ©s pour le groupe, etc. – laisser un temps de rĂ©flexion Ă  chaque groupe avant l’énoncĂ© des arguments. – changer la constitution des groupes Ă  chaque affirmation. – proposer un rĂŽle d’observateur. 
 La dĂ©finition par rapport au centreIntĂ©rĂȘts Partager nos reprĂ©sentations d’un mot ou d’un concept. Rendre visible le fait que nous avons tou∙tes des acceptions diffĂ©rentes des mots. Eviter que le dĂ©bat ne s’emballe simplement parce qu’en rĂ©alitĂ© on ne parle pas de la mĂȘme chose
 Permettre l’expression sans la prise de parole quand je me positionne plus ou moins proche du centre, je m’exprime sans prendre la parole
 ; et par ce mĂȘme positionnement, identifier ce qui fait consensus et ce qui divise le groupe. Consignes Demander Ă  une personne de bien vouloir proposer une dĂ©finition du mot ou concept choisis en se positionnant au centre du groupe dĂ©finition = courte, synthĂ©tique, comme dans un dictionnaire !. Les autres sont ensuite invitĂ©âˆ™s Ă  se positionner par rapport Ă  cette dĂ©finition plus cette dĂ©finition me convient, plus je colle Ă  la personne » au centre, moins elle me convient, plus je m’en Ă©loigne. Dans un premier temps, donner la parole Ă  ceux qui sont dans l’entre-deux ni collĂ©s, ni trop loin afin d’essayer de bonifier la dĂ©finition initiale qu’est-ce qui manque Ă  cette dĂ©finition ou qu’est-ce qu’il y a en trop pour te permettre de te rapprocher du centre ?. Puis on peut proposer Ă  une personne trĂšs Ă©loignĂ©e du centre de venir au milieu proposer sa propre dĂ©finition. Et ainsi de suite
 Variantes on peut utiliser cette mĂ©thode pour un temps de bilan en invitant les participants Ă  poser au centre » non plus une dĂ©finition mais un Ă©lĂ©ment d’évaluation un ressentis, un apprentissage,
. Le dĂ©bat silencieuxIntĂ©rĂȘts permettre l’expression de tou∙tes dans le calme. Faire Ă©merger rapidement des sous-problĂ©matiques d’un thĂšme ou d’une question principale. Consignes placer une grande feuille au centre d’une table, avec des crayons Ă  disposition de tou∙tes les participant∙es. Inscrire le thĂšme de discussion au centre de la feuille. Puis, il suffit de laisser les participant-es Ă©crire, dessiner, rĂ©agir, questionner, relier des idĂ©es, etc. jusqu’à Variantes une feuille par personne. Chacun∙e inscrit spontanĂ©ment sur sa propre feuille trois mots ou groupes de mots liĂ©s au thĂšme ou sujet de dĂ©part. Puis chacun∙e passe la feuille Ă  son∙sa voisin∙e qui est alors invitĂ©âˆ™e Ă  rĂ©agir aux 3 premiers mots inscrits en Ă©crivant de nouveaux mots, en crĂ©ant des liens, etc.. Et ainsi de suite, les feuilles circulent jusqu’à ce que chacun∙e ait rĂ©cupĂ©rĂ© sa feuille de dĂ©part. Le bocal Ă  poissonIntĂ©rĂȘts permettre l’expression de tou∙tes sans que cela soit la cohue. Lancer un dĂ©bat avec des expertes » tout en laissant la place Ă  chacun∙e de pouvoir s’exprimer en prenant la place des expertes. Consignes Trois personnes sont regroupĂ©es au centre =les poissons pour discuter et dĂ©battre. Les autres sont positionnĂ©s autour et rĂ©duits au silence. Option 1 Lorsqu’un des spectateur∙trices » souhaite prendre part au dĂ©bat, il vient prendre la place de l’un des poissons en lui faisant un signe, comme une lĂ©gĂšre tape sur l’épaule. Option 2 les prises de parole sont organisĂ©es de maniĂšre circulaire l’un∙e aprĂšs l’autre. Lorsque j’ai finis de mexprimer, j’écoute la prise de parole suivante puis je laisse ma place Ă  l’intĂ©rieur du bocal. De cette maniĂšre, une place se libĂšre Ă  chaque fin de prise de parole invitant ainsi une nouvelle personne Ă  rejoindre le bocal. Le positionnement en croixIntĂ©rĂȘts faire Ă©merger de la matiĂšre incarnĂ©e sur des sujets complexes. Permettre Ă  chacun-e de s’exprimer sans nĂ©cessairement prendre la parole. S’exprimer selon les diffĂ©rentes dimensions d’une problĂ©matique 2 axes Ă  la diffĂ©rence d’un dĂ©bat mouvant qui ne propose qu’un seul axe. Consignes DĂ©finir deux axes formant ainsi 4 zones de positionnement possibles et inviter les participant-es Ă  se positionner dans l’espace ainsi formĂ© selon plusieurs affirmations successives liĂ©es Ă  une thĂ©matique globale. Il est possible de mettre de la nuance dans son positionnement. Une fois positionnĂ©-es, proposer Ă  ceux-elles qui le souhaitent d’expliciter leur positionnement gĂ©nĂ©ralement, nous offrons d’abord la parole Ă  ceux-elles se trouvant en minoritĂ©. Exemples d’axes Dac’ – Pas d’ac’ / Cap’ – Pas cap’ ; c’est violent – ce n’est pas violent / je fais – je fais pas. Pour problĂ©mer et trouvaillerle Théùtre ForumIntĂ©rĂȘts Il s’agit d’utiliser le théùtre dans sa dimension non-spectaculaire, mais plutĂŽt comme un outil d’éducation populaire et d’intervention sociale. MĂ©thode A partir de situations de la vie quotidienne problĂ©matiques sociales, Ă©conomiques, conflits, oppressions, 
 le Théùtre Forum consiste en la construction de maquettes théùtrales. Il permet d’examiner concrĂštement les alternatives Ă  ces situations par l’implication active des participant∙es. Nous faisons appel aux comĂ©diennes-intervenantes du rĂ©seau coopĂ©ratif Arc-En-Ciel Théùtre pour conduire les sessions de théùtre forum. L'entrainement MentalCrĂ©e dans l’entre-deux-guerre par Joffre Dumazedier, fondateur de Peuple et Culture, voici une mĂ©thode pour s’entraĂźner Ă  rĂ©flĂ©chir collectivement. On part d’abord d’une situation concrĂšte insatisfaisante. L’exploration de cette situation cherche Ă  sortir du traditionnel fait-solution », pour s’attarder d’abord sur l’analyse objective des faits. Un second temps consiste Ă  apprĂ©hender les diffĂ©rents problĂšmes sociaux, Ă©conomiques, Ă©thiques
 selon divers points de vue. Un troisiĂšme temps analyse les problĂšmes sous l’angle des causes, des consĂ©quences et des contradictions, mais aussi en faisant appel aux concepts et thĂ©ories. Enfin, la quatriĂšme Ă©tape explore les pistes de solutions, dresse une sorte de cartographie des possibles et permet de dĂ©finir les prioritĂ©s d’action. L’essence de cette mĂ©thode s’inscrit dans une sorte de triangulation entre la logique, la dialectique et l’éthique. Le Gro-DĂ©batIntĂ©rĂȘts Une mĂ©thode permettant Ă  chacune de trouver sa place dans un dĂ©bat, de faciliter la rĂ©flexion collective et de l’orienter vers l’action collective. Consignes A partir d’un ou plusieurs thĂšmes de travail, il s’agit, en petits groupes, de mener un rĂ©flexion collective dĂ©bouchant sur des propositions concrĂštes et rĂ©alistes. Le canevas de rĂ©flexion » est adaptable selon les thĂšmes, le nombre de participantes et le temps disponible mais nous proposons souvent de suivre le dĂ©roulĂ© suivant C’est quoi les problĂšmes ? Dans l’idĂ©al libĂ©rons notre imaginaire ? Retour Ă  la rĂ©alitĂ© des contraintes et de l’existant. Quelles propositions ? Comment on s’y prend pour la mise en oeuvre d’une ou plusieurs propositions ? Voir le descriptif rĂ©alisĂ© par la SCOP La Braise sur leur site et tĂ©lĂ©chargeable ici GRODEBAT- Le Forum ouvertIntĂ©rĂȘts structurer le travail pour de grands groupes, permettre Ă  chacun∙e de trouver sa place dans un temps de travail partagĂ©. Ouvrir autant de sujet/chantiers que nĂ©cessaire et rendre compte des avancĂ©es de chaque groupe au fur et Ă  mesure. Les 4 lois du Forum ouvert Ça commence quand ça commence ; Ça s’arrĂȘte quand ça s’arrĂȘte ; Les personnes prĂ©sentes sont les bonnes personnes & La loi des deux pieds si tu n’es ni en train d’apprendre, ni de contribuer, bouge ! » La mĂ©thode des 6 chapeauxIntĂ©rĂȘts structurer collectivement notre pensĂ©e en adoptant successivement des modes de pensĂ©es diffĂ©rents et complĂ©mentaires. Susciter ainsi un climat de discutions bienveillant et efficient. Eviter d’enfermer les individus dans des archĂ©types Mr. optimiste, Mme crĂ©ative, etc. et le groupe dans des modes de pensĂ©es limitant. Penser un sujet Ă  360° dans un laps de temps court. MĂ©thode en fonction de l’objectif poursuivis faire un bilan, mener une analyse critique, dĂ©velopper un nouveau projet,
, une sĂ©quence de chapeau est proposĂ©e. Il s’agit alors de penser un sujet en adoptant successivement diffĂ©rents regards critique, crĂ©atif, etc.. De multiples formats d’animation peuvent ĂȘtre proposĂ©s selon la taille du groupe, le temps impartis, etc. Pour dĂ©ciderLa Gestion par ConsentementIntimement liĂ©e aux systĂšmes de Gouvernance PartagĂ©e, La Gestion Par Consentement GPC est un processus de prise de dĂ©cision Ă  0 objections nous invitant Ă  changer de paradigme dans la maniĂšre dont nous dĂ©cidons collectivement. Les diffĂ©rentes Ă©tapes Ouverture, Elaboration d’une proposition, Clarification, RĂ©action, Amendement, Objection, Bonification, CĂ©lĂ©bration visent Ă  faciliter l’intelligence collective et une prise de dĂ©cisions efficiente et satisfaisante pour toutes. Voir la page Ressources de l’UniversitĂ© du Nous La GPC renvoie ainsi aux principes de la Sociocratie, un mode de gouvernance qui s’applique Ă  toute forme d’organisation. Facilitant crĂ©ativitĂ© et intelligence collective, elle propose une autre maniĂšre de se rĂ©unir et de prendre des dĂ©cisions collectives, de maniĂšre cohĂ©rente et non-violente. Les principes de bases de la Sociocratie sont les cercles, le consentement Ă  0 objection, le double lien et l’élection sans candidat. Priorisation, pondĂ©ration et Ă©liminationLe Jugement majoritaire Pour intervenir dans l'espace publicLe Porteur de parolesCe dispositif consiste Ă  poser une question dans un espace public, Ă  recueillir les points de vues des passantes ou personnes prĂ©sentes et Ă  les afficher sur de grands panneaux colorĂ©s. Le but Ă©tant de favoriser la rencontre avec le plus grand nombre de personnes diffĂ©rentes, ayant des points de vue divergents sur la question posĂ©e, afin de susciter du dĂ©bat entre elles ou non simultanĂ©. La BibliothĂšque VivanteDans cette bibliothĂšque sans livres de papier, les “livres” sont des personnes qui racontent une facette de leur vie, une expĂ©rience leur profession, leur origine, un passe-temps, une conviction, un mode de vie
 tout dĂ©pend de la thĂ©matique choisie pour chaque Ă©dition de la bibliothĂšque !* Les bibliothĂšques vivantes sont donc des Ă©vĂšnements ponctuels qui peuvent se dĂ©rouler en extĂ©rieur ou en intĂ©rieur. Le concept de BibliothĂšque Vivante Human Library fut créé en 2000 au Danemark, lors de festival Roskilde, par l’ONG Stop the violence ! Les livres proposĂ©s correspondaient tous Ă  des personnes sur lesquelles circulent des stĂ©rĂ©otypes immigrĂ©-e, prostituĂ©-e, musulman-e
 L’idĂ©e initiale Ă©tait donc de permettre un dialogue, de crĂ©er du lien entre les gens afin de changer les reprĂ©sentations et de lutter contre la violence. Depuis, des Ă©vĂ©nements similaires ont eu lieu dans le monde entier ! Le Cabaret populaire et PolitiqueLe cabaret Pop’ est un outil d’expression libre, portĂ© par des personnes pour dire, jouer et exprimer corporellement des points de vue politiques subjectivement assumĂ©s par leurs auteur⋅es. Lors d’une ou plusieurs journĂ©es, nous proposons plusieurs ateliers d’éducation populaire théùtre forum, recueil de points de vue, goguettes-musique, Ă©criture de chronique/sketch, clown, dessin,
. Ces ateliers sont animĂ©s par La Volte et ses alliĂ©es. Les participant⋅es sont les gens prĂ©sents et rencontrĂ©s par exemple via un porteurs de parole ou un micro-trottoir. De ces ateliers sortiront divers tableaux qu’il conviendra de relier entre eux lors d’une prĂ©sentation publique en fin de journĂ©e. Ce qui fera liant entre tous ces diffĂ©rents tableaux artistiques » seront les multiples rĂ©ponses » Ă  un thĂšme politique, sociĂ©tal choisi au prĂ©alable quelque chose pouvant ĂȘtre adaptĂ©, modifiĂ©, dĂ©tournĂ© selon les besoins de chaque atelier. Les clameursLa CriĂ©e publiqueIntentions recueillir et restituer des paroles diverses et contradictoires ; favoriser la circulation de l’information Ă  l’échelle d’un quartier par exemple ; favoriser l’expression des paroles tues par auto-censure, empĂȘchement, invisibilisation ; susciter du dĂ©bat, 
 MĂ©thode en dĂ©ambulation en allant Ă  la rencontre des gens ou via un dispositif fixe une boite Ă  messages, il s’agit dans un premier temps de rĂ©colter la parole des passantes, qu’elle soit libre ou bien sur un sujet spĂ©cifique Ă  la maniĂšre d’un Porteur de paroles. Puis on va crier » ces paroles dans l’espace public, avec ou sans jeu théùtral ou mise en scĂšne. La criĂ©e peut se faire seule ou Ă  plusieurs, par une comĂ©dienne ou bien par toutes ceuelles qui souhaitent y participer ! Pour Ă©valuer ou bilanterPĂ©pite - RĂąteauIntĂ©rĂȘts offrir la possibilitĂ© Ă  chacune de livrer au groupe ce qu’ilelle a vĂ©cu, ressentis. Consigne Chaque participante est invitĂ©e Ă  livrer une pĂ©pite ce qu’ilelle a aimĂ©, ce qui l’a touchĂ©,
 et un rĂąteau un Ă©chec, un moment mal vĂ©cu,
. La cibleIntĂ©rĂȘts que chacune puisse dĂ©finir les critĂšres d’évaluation qui lui apparaissent pertinents. Obtenir une vision globale et collective de la satisfaction d’un groupe. Consignes Dans un premier temps, les participant∙es dĂ©finissent leurs propres critĂšres d’évaluation. Puis chacun-e se positionne individuellement en inscrivant un point pour chaque critĂšre selon son degrĂ© de satisfaction. Les nuages de point formĂ©s ainsi donne une visions globale et collective de la satisfaction du groupe. On peut ensuite interroger les Ă©carts en invitant les participant∙es Ă  commenter leur contribution. Valise / Poubelle / Machine Ă  laverIntĂ©rĂȘts Ne pas prĂ©dĂ©terminer les indicateurs de rĂ©ussite/satisfaction mais laisser Ă  chacun la possibilitĂ© d’exprimer son vĂ©cu, son ressenti et son opinion relative Ă  sujet donnĂ© une formation, un atelier, une annĂ©e associative. Se projeter suite Ă  un temps vĂ©cu. Consignes Chacun est invitĂ© Ă  exprimer ce qu’il met – dans sa valise = ce que je prends, ce que je retiens, ce qui Ă©tait utile et intĂ©ressant. – dans sa poubelle = ce que je laisse, abandonne car non-pertinent, non-satisfaisant ou inutile. – dans sa machine Ă  laver = ce qu’il conviendrait de retravailler, d’affiner, d’approfondir. Un temps de rĂ©flexion individuelle puis chacun restitue ses Ă©lĂ©ments. La mainIntĂ©rĂȘts interroger les diffĂ©rentes dimensions d’une action ou activitĂ©. Que chacun puisse s’exprimer. Consignes chaque participant-e dispose d’un temps individuel pour complĂ©ter les Ă©lĂ©ments ci-dessous. Puis un temps de partage en collectif. > le pouce ce que j’ai aimĂ©. > l’index un Ă©lĂ©ment remarquable je pointe du doigt que
. > le majeur ce que je n’ai pas aimĂ©. > l’annulaire ce qui m’a Ă©mu. > l’auriculaire ce qui m’a manquĂ©. > la paume de la main ce que j’emmĂšne avec moi. Le relevĂ© de conclusionsIntĂ©rĂȘts un exercice de bilan permettant de capitaliser les apprentissages et de se projeter dans l’action. Sans oubliĂ© la dimension Ă©motionnelle ! Consignes en binĂŽme, chacun rĂ©ponds aux 4 questions suivantes. La restitution en plĂ©niĂšre s’effectuer de façon croisĂ©e je restitue ce que mon binĂŽme m’a racontĂ© et inversement. > Comment je me suis sentis ? > Qu’est-ce que j’ai appris ? > Qu’est-ce que j’ai compris ? > Qu’est-ce que je me propose de faire ? Pour s’acculturerL'arpentageL’arpentage est une mĂ©thode de lecture inventĂ©e au XIXĂšme par des collectifs ouvriers et redĂ©couverte par des associations d’éducation populaire. Elle permet de s’approprier un livre a priori difficile, de dĂ©dramatiser le rapport Ă  la lecture et Ă  la comprĂ©hension d’ouvrages dits compliquĂ©s, et d’encourager chacun∙e Ă  exprimer son avis et ses sensations au sujet de ces ouvrages. L’ouvrage choisi est divisĂ© en autant de parties que de participantes, les pages sont alors arrachĂ©es puis distribuĂ©es. Chacune dispose d’un mĂȘme temps de lecture individuelle et des mĂȘmes questions ou consignes pour restituer sa partie au groupe. A l’issue du temps de lecture individuelle la restitution se fait dans l’ordre de pagination de l’ouvrage ou d’enchaĂźnement des idĂ©es. Nous proposons des ateliers d’arpentage sur 3 heures de la maniĂšre suivante Les participantes sont accueillies dans un espace convivial amĂ©nagĂ© pour permettre le regroupement en cercle et l’éparpillement en multiples coins de lecture. Pour faire groupe nous proposons souvent un jeu ou une consigne prĂ©texte Ă  apprendre les prĂ©noms des personnes prĂ©sentes et Ă  se rencontrer. Si le livre a Ă©tĂ© choisi en amont il est prĂ©sentĂ©, si le choix est Ă  faire ensemble, les diffĂ©rents livres proposĂ©s sont prĂ©sentĂ©s ainsi que la mĂ©thode qui nous permettra de choisir ensemble le livre Ă  arpenter effet boule de neige, pondĂ©ration, 
. Pour rentrer dans le sujet, nous partageons un tour de ressentis sur l’ouvrage proposĂ© ou choisi, permettant de recueillir les reprĂ©sentations initiales et casser les apprĂ©hensions. Une fois que le groupe a fait face Ă  l’ouvrage, chacune va pouvoir se retrouver en tĂȘte Ă  tĂȘte avec le livre. L’ouvrage choisi est alors divisĂ© en autant de parties Ă  peu prĂšs Ă©gales, que de participantes, les pages sont arrachĂ©es puis distribuĂ©es. Les questions et/ou consignes de restitution au groupe sont donnĂ©es et chacune s’installe pour un temps de lecture individuelle. A l’issue du temps de lecture individuelle la restitution se fait dans l’ordre de pagination de l’ouvrage ou bien d’enchaĂźnement d’idĂ©es en fonction de la mĂ©thode d’animation choisie. L’objectif n’est pas de faire un rĂ©sumĂ© exhaustif du livre, mais plutĂŽt de faire lien Ă  son vĂ©cu, d’illustrer la thĂ©orie par l’expĂ©rience et d’éclairer l’expĂ©rience par la thĂ©orie. La restitution permet d’interroger les dimensions suivantes Le ressenti, l’émotionnel comment je me suis sentie dans cette lecture, qu’est-ce que ça m’a fait ? La comprĂ©hension quelles sont les idĂ©es forces ? Qu’est-ce que je retiendrai ? Qu’est-ce que j’ai appris ? Qu’est-ce que j’ai compris ? Le lien avec le vĂ©cu Ă  quoi cela fait Ă©cho dans mon histoire ? Racontez une anecdote en lien avec votre partie
 Projection, rĂ©utilisation en quoi cette lecture peut vous servir ? Un temps de convivialitĂ© est prĂ©vu aprĂšs chaque arpentage pour permettre un temps de dĂ©bat libre et sans consigne, pour poursuivre les Ă©changes de maniĂšre informelle et nourrir les rencontres entre des personnes qui par ailleurs n’auraient peut-ĂȘtre jamais eu l occasion de se rencontrer et de discuter ensemble. La confĂ©rence populaireIntĂ©rĂȘts mobiliser le savoir expĂ©rientiel des unes et des autres ; ne pas prĂ© dĂ©cider d’une problĂ©matique qui serait imposĂ©e Ă  toutes mais inviter chacun Ă  formuler la question qui le concerne, le tracasse
 Consignes les participantes sont rĂ©parties en sous-groupe. Une premiĂšre question est proposĂ©e Ă  l’ensemble des participantes. Chaque groupe est alors invitĂ© Ă  formulĂ© une autre question, qui leur semble plus pertinente, plus intĂ©ressante, plus urgente
 Puis, on s’échange les questions entre groupe et chacun essaye alors de proposer des pistes de rĂ©ponses ou de solutions. A ce stade, diffĂ©rentes consignes de travail peuvent ĂȘtre proposĂ©es, en s’inspirant, par exemple, des mĂ©thodes du Forum ouvert ou du Gro’-dĂ©bat
 La plaque tournanteIntĂ©rĂȘt jeu d’écriture coopĂ©ratif destinĂ© Ă  partager nos comprĂ©hensions d’un thĂšme ou d’un sujet en s’inspirant mutuellement. Consignes on forme x groupes de maniĂšre alĂ©atoire de façon Ă  ce que chaque groupe soit constituĂ© d’environ 6 ou 7 personnes. Au sein de chaque groupe, chaque participant∙e dispose d’une feuille blanche sur laquelle il∙elle Ă©crit au centre le thĂšme proposĂ© et dans un coin en petit son prĂ©nom. Chacun∙e est invitĂ© Ă  Ă©crire spontanĂ©ment trois mots ou groupes de mots liĂ©s Ă  la notion figurant au milieu de la feuille. Puis, les feuilles tournent chacun∙e passe sa feuille Ă  son voisin de droite. En rĂ©cupĂ©rant la feuille de son voisin, chacun∙e est alors invitĂ© Ă  rĂ©agir complĂ©ter, interroger, critiquer aux mots ayant Ă©tĂ© notĂ© autour de la notion centrale. Et ainsi de suite jusqu’à ce que chacun ait rĂ©cupĂ©rĂ© sa feuille initiale. Chaque participant∙e rĂ©cupĂšre sa feuille initiale ou figure dĂ©sormais un nuage de mots. S’en suit un temps d’écriture individuelle que nous proposons de dĂ©marrer par Pour moi, 
 c’est
 ». Les feuilles rĂ©cupĂ©rĂ©es prĂ©cĂ©demment servent de source d’inspiration mais il n’y a aucune obligation d’utiliser tout le contenu de sa feuille. Un temps de lecture cursive » en cercle, les un∙es aprĂšs les autres, sans rĂ©action. Pour s'organiserL'Ă©lection sans candidat-esIntĂ©rĂȘts C’est un mode d’élection au consentement Cf. Gestion Par Consentement permettant une Ă©quitĂ© entre les ; d’éviter la mise en concurrence de candidats qui se dĂ©clareraient et les inĂ©vitables dĂ©ceptions et frustrations pour tous ceux∙elles qui ne seront pas Ă©lu∙es. C’est aussi un moyen de rĂ©vĂ©ler et valoriser les qualitĂ©s savoirs-faire, compĂ©tences de l’autre. Consignes Les peuvent voter pour eux-mĂȘme mais ne peuvent pas se prĂ©senter comme dans une Ă©lection classique. Chacun∙e est donc de fait candidat∙e mais demeure libre de refuser le mandat Ă  la fin du processus. AprĂšs avoir clairement dĂ©finit le mandat missions, durĂ©e, responsabilitĂ©s et redevabilitĂ©s, le groupe est invitĂ© Ă  dĂ©finir les critĂšres qualitĂ©s nĂ©cessaires pour Ă©nergĂ©tiser » ce rĂŽle. Puis, chacun∙e est invitĂ© Ă  voter pour son-ses candidat-s prĂ©fĂ©rĂ©s, puis Ă  expliquer les raisons de son choix. Ensuite, il peut y avoir des reports de voix en fonction des explications des autres, je peux avoir envie de modifier mon vote. Puis, soit on Ă©lit celui∙elles ayant le plus de voix, soit plus intĂ©ressant, on propose Ă  un membre du groupe de faire une proposition que l’on traite Ă  la maniĂšre d’une GPC. Appelles-moi, Oublies-moi, Apprends-moi,...IntĂ©rĂȘt Ă  la fois un temps d’interconnaissance et une mĂ©thode destinĂ©e Ă  faciliter l’organisation du travail. Cela permet d’identifier l’ensemble des richesses humaines prĂ©sentes au sein du collectif et celles Ă  acquĂ©rir. Cela permet Ă©galement d’orienter chacun∙e vers ce qu’il souhaite faire parce qu’il∙elle sait le faire ou parce qu’il∙elle souhaite apprendre. Consignes En binĂŽme ou trinĂŽme pour s’inspirer mutuellement, chaque sous-groupe passe sur trois espaces diffĂ©rents afin d’exprimer individuellement > appelle-moi pour = ce que je sais et veux faire. > apprend-moi Ă  = ce que je ne sais pas faire mais voudrais bien faire. > oublie-moi pour = ce que je ne veux pas faire. Suites une fois rĂ©alisĂ©, ce travail peut ĂȘtre complĂ©tĂ© et mis en parallĂšle avec l’ensemble des tĂąches et missions Ă  rĂ©aliser au sein du collectif ainsi qu’avec les disponibilitĂ©s des un∙es et des autres pour les mener La Gare de TriageIntĂ©rĂȘt permettre Ă  chacun-e de transmettre et de recevoir des informations au sein d’un groupe et d’obtenir les retours nĂ©cessaires en un minimum de temps. Consignes chacun-e dispose d’un temps limitĂ© pour Ă©crire de maniĂšre synthĂ©tique les infos qu’il-elle souhaite transmettre sur diffĂ©rents supports identiques prĂ©parĂ©s au prĂ©alable exemple titre / Une phrase rĂ©sumĂ©e / demande faite au groupe. On collecte l’ensemble des supports. En fonction du temps total dĂ©diĂ© Ă  cette sĂ©quence fonction de la taille du groupe et du contexte, on peut prioriser, ordonnancer et dĂ©finir un temps impartis pour traiter chaque sujet gĂ©nĂ©ralement de 2 Ă  5 min.. La gestion par tensionsIntĂ©rĂȘts permettre Ă  des sous-groupes interdĂ©pendants de traiter les sujets questions, problĂšmes, besoins = tensions impliquant ou concernant d’autres sous-groupes. La tension est donc gĂ©nĂ©ralement une demande formulĂ©e Ă  un autre groupe. Consignes Chaque sous-groupe concernĂ© par la rĂ©union prĂ©pare en amont sa liste de tensions et envoie un reprĂ©sentant-e ou un binĂŽme Ă  la-dite rĂ©union. L’animateur-trice collecte les points Ă  traiter Ordre du jour, sans que ne soient donnĂ©es aucune explication ou description mais uniquement un mot reprĂ©sentant la tension Ă  traiter communication », logistique », etc.. Puis, chaque point est traitĂ© l’un aprĂšs l’autre chaque groupe priorisant ses sujets en passant successivement d’un groupe Ă  l’autre. La rĂ©ponse apportĂ©e Ă  une tension peut ĂȘtre immĂ©diate ou diffĂ©rĂ©e dans le temps je te donnerai l’infos Ă  18h aprĂšs avoir appelĂ© machin ». Le processus se poursuit jusqu’à ce que toutes les tensions aient Ă©tĂ© traitĂ©es ou que le temps accordĂ© Ă  cette sĂ©quence soit Ă©coulĂ© nous conseillons gĂ©nĂ©ralement de ne pas accorder plus d’1h Ă  cette sĂ©quence. Le but ici n’est pas de dĂ©battre, ni de rĂ©soudre des problĂšmes complexes !. InterculturalitĂ©Animations linguistiquesL'albatrosIl s’agit d’expĂ©rimenter une situation de rencontre interculturelle pour apprĂ©hender l’écart entre nos interprĂ©tations et la rĂ©alitĂ©. Cette mise en situation / jeu de rĂŽle permet aussi de prendre conscience que pour dĂ©couvrir une culture il est nĂ©cessaire d’aller au-delĂ  de l’observation et du ressenti.. La mise en situation proposĂ©e dans ce jeu doit permettre de comprendre que spontanĂ©ment nous ne regardons une sociĂ©tĂ© qu’à travers nos propres lunettes » et que nous sommes le plus souvent dans l’interprĂ©tation et non dans l’observation objective, interprĂ©tation guidĂ©e par notre vĂ©cu, notre contexte de vie, notre Ă©ducation, etc. Les Derdians Multi usageLe positionnement par rapport au centreIntĂ©rĂȘts Partager nos Ă©lĂ©ments d’évaluation ressentis, apprentissages, pĂ©pites, rĂąteaux, 
, nos reprĂ©sentations d’un mot ou d’un concept ou tout autre Ă©lĂ©ments sur lequel on souhaite capter la tempĂ©rature collective et le degrĂ© d’adĂ©quation des individus et le rendre visible. Permettre l’expression sans la prise de parole quand je me positionne plus ou moins proche du centre, je m’exprime sans prendre la parole
 ; et par ce mĂȘme positionnement, identifier ce qui fait consensus et ce qui divise le groupe. Consignes Demander Ă  une personne de bien vouloir proposer une dĂ©finition, une Ă©valuation, une idĂ©e
 en se positionnant au centre du groupe. Les autres sont ensuite invitĂ©âˆ™s Ă  se positionner par rapport Ă  cette affirmation plus cette affirmation me convient, plus je colle Ă  la personne » au centre, moins elle me convient, plus je m’en Ă©loigne. Dans un premier temps, donner la parole Ă  ceux qui sont dans l’entre-deux ni collĂ©s, ni trop loin afin d’essayer de bonifier l’affirmation initiale qu’est-ce qui manque Ă  cette affirmation ou qu’est-ce qu’il y a en trop pour te permettre de te rapprocher du centre ?. Puis on peut proposer Ă  une personne trĂšs Ă©loignĂ©e du centre de venir au milieu proposer sa propre affirmation. Et ainsi de suite
 Le photo langageIntĂ©rĂȘt utiliser un support visuel afin de faciliter l’expression du vĂ©cu ou du ressenti. MĂ©thode multi-usage pouvant ĂȘtre utilisĂ©e aussi bien pour un tour d’ouverture comment je me sens ? , un temps de bilan comment j’ai vĂ©cu tel moment ? ou encore un temps de projection comment je me projette dans..? Consignes disposer sur une table des images type carte de Dixit. Inviter chaque participant-e Ă  choisir une ou plusieurs carte comme support Ă  son expression en fonction de l’intention recherchĂ©. Parfois, c’est toi qui choisi la carte, parfois c’est elle qui te trouve
 Puis, offrir une prise de parole pour chaque participant-e. L'atelier d'Ă©critureIntĂ©rĂȘts Varier les modes d’expression ne pas ĂȘtre uniquement dans l’oralitĂ© ; offrir Ă  un temps de rĂ©flexion personnelle prĂ©cĂ©dent un partage au groupe. Le passage par l’écriture permet de structurer la pensĂ©e et ainsi d’offrir au groupe une expression plus claire prĂ©cise, argumentĂ©e,
. Consignes est Ă©crire un texte commençant par un incipit proposĂ© en fonction de l’intention recherchĂ©e. A la fin des temps d’écriture, pourra lire ce qu’il ou elle aura Ă©crit, sans rĂ©actions ni justifications. Penser les rapports de pouvoirLe tableau des Chef-fesLes Cheffes, comment s’en dĂ©barrasser ? Un tableau poster certes imparfait et incomplet issus du Cahier du PavĂ© sur la Participation et permettant d’identifier les types de pouvoir Ă  l’Ɠuvre dans un groupe, les excĂšs Ă©ventuels et les moyens individuels ou collectifs d’y remĂ©dier. A diffuser auprĂšs de l’ensemble de son groupe et Ă  travailler collectivement ! Travailler le conflitLe Théùtre ForumIntĂ©rĂȘts Il s’agit d’utiliser le théùtre dans sa dimension non-spectaculaire, mais plutĂŽt comme un outil d’éducation populaire et d’intervention sociale. MĂ©thode A partir de situations de la vie quotidienne problĂ©matiques sociales, Ă©conomiques, conflits, oppressions, 
 le Théùtre Forum consiste en la construction de maquettes théùtrales. Il permet d’examiner concrĂštement les alternatives Ă  ces situations par l’implication active des participant∙es. Nous faisons appel aux comĂ©diennes-intervenantes du rĂ©seau coopĂ©ratif Arc-En-Ciel Théùtre pour conduire les sessions de théùtre forum. La Comunication NonViolenteLe Cercle de tensions HomeRessources PĂ©dagogiques
Commencezpar placer une serviette, un drap ou une alÚse imperméable sous ses hanches et par retirer les oreillers que la personne utilise. Avec une personne de chaque cÎté du lit, roulez le tissu aussi proche que possible de son corps et utilisez-le comme une poignée. Placez-vous face au lit, pliez votre genou le plus proche du pied du
Tomber est malheureusement un accident frĂ©quent chez les plus de 65 ans. Nous vous avons dĂ©jĂ  donnĂ© quelques pistes pour la prĂ©vention des chutes, mais savez-vous comment rĂ©agir lorsqu’elle a dĂ©jĂ  eu lieu et que la personne est au sol ? Faut-il la relever, et si oui comment procĂ©der ? Nous avons interrogĂ© ClĂ©mence, ergothĂ©rapeute ayant animĂ© des ateliers Ă  propos de la prĂ©vention des chutes auprĂšs des plus de 60 ans. Elle vous indique dans quels cas et comment relever une personne ĂągĂ©e au sol aprĂšs une chute. Si vous souhaitez voir la vidĂ©o immĂ©diatement, rendez-vous Ă  la fin de l’article. Les questions Ă  se poser avant d’agir Lors de votre arrivĂ©e sur les lieux de la chute, vous pourriez ĂȘtre tentĂ© de relever la personne ĂągĂ©e immĂ©diatement. N’en faites rien ! Il convient tout d’abord de vous poser deux questions La personne est-elle inconsciente ? A-t-elle perdu du sang ? Si la rĂ©ponse Ă  au moins l’une de ces questions est oui, surtout ne manipulez pas la personne par vous mĂȘme ! Contactez au plus vite les secours 15 pour le samu ou 18 pour les pompiers. Si la rĂ©ponse Ă  ces deux questions est non, alors vous pouvez envisager de la relever. Attention, faites-le uniquement si vous vous en sentez capable. Si vous Ă©prouvez des douleurs de dos ou d’articulation, ou que vous manquez de force, laissez faire les secours. Avant de relever la personne au sol, dialoguez avec elle et rassurez-la. Demandez lui si elle ressent des douleurs, ou si elle est sujette Ă  certains maux chroniques. Cela vous permettra d’ĂȘtre particuliĂšrement vigilant vis-Ă -vis des zones sensibles lors de la manipulation. Enfin, voyez si du matĂ©riel autour de vous peut ĂȘtre utilisĂ© un dĂ©ambulateur, un fauteuil roulant, un lĂšve-personne ou tout simplement une chaise. Relever une personne ĂągĂ©e au sol aprĂšs une chute Il y a deux possibilitĂ©s pour relever une personne ĂągĂ©e tombĂ©e au sol suite Ă  une chute Si celle-ci peut se mouvoir par elle-mĂȘme, assistez-lĂ  en l’encourageant et en lui apprenant les mouvements nĂ©cessaires. Si elle ne peut pas se mouvoir par elle-mĂȘme, les gestes sont presque identiques, mais c’est Ă  vous de les rĂ©aliser. Assurez-vous d’apporter Ă  la personne un maximum de soutien et veillez Ă  ce qu’elle ne chute pas Ă  nouveau. Les gestes Ă  rĂ©aliser dans ces deux cas sont expliquĂ©s et illustrĂ©s dans la vidĂ©o ci-dessous, que nous vous invitons Ă  visionner. Pour les plus pressĂ©s, cette sĂ©quence commence Ă  la deuxiĂšme minute de la vidĂ©o. Lorsque la personne est relevĂ©e, il ne faut surtout pas hĂ©siter Ă  se rendre chez son mĂ©decin si des douleurs persistent ou apparaissent. PrĂ©venir les chutes Parce qu’il vaut mieux prĂ©venir que guĂ©rir, il existe diverses solutions pour Ă©viter les chutes, des bandes antidĂ©rapantes Ă  coller sur le sol aux barres de maintien Ă  poser dans les piĂšces d’eau, en passant par le capteur de mouvement Ă  installer sous le lit pour sĂ©curiser les dĂ©placements nocturnes. DĂ©couvrez ici 9 de nos solutions. Pour plus de conseils pour rĂ©duire les risques de chutes Ă  domicile PrĂ©vention des chutes chez les personnes ĂągĂ©esLes consĂ©quences de la chute chez les personnes ĂągĂ©esPourquoi les personnes ĂągĂ©es chutent plus ?Comment relever une personne ĂągĂ©e ?Guide des dispositifs antichute pour personnes ĂągĂ©es
Arceaude lit rĂ©glable en hauteur. L'arceau de lit rĂ©glable Ă©vite le frottement ou la gĂȘne liĂ©e au poids des draps et couverture sur le corps ou les pieds. IdĂ©al pour les personnes souffrant d'irritation cutanĂ©e, d'ulcĂšre, de goutte, de douleurs au niveau des pieds ou des jambes, ou d'inflammation articulaire. Sa structure mettalique maintient les draps ou la couette au dessus
RELEVER UN PATIENT SUITE À UNE CHUTE, DE FAÇON SÉCURISÉE ; TOUT EN PRÉSERVANT LE DOS DES SOIGNANTS. Les chutes sont un problĂšme majeur et anxiogĂšne tant pour les personnes ĂągĂ©es et leurs familles que pour les aidants qui les relĂšvent. Aujourd’hui, la gestion de risque est une volontĂ© dĂ©clarĂ©e des Ă©tablissements d’hĂ©bergement. Cette politique de prĂ©vention passe par de la formation, l’évaluation des facteurs de risques individuels et environnementaux, l’entretien de l’autonomie et la mise en place d’aides techniques adaptĂ©es. En France, les Ă©tablissements d’accueil pour personnes ĂągĂ©es dĂ©clarent chacun environ 100 chutes par an. Plus le temps passĂ© au sol aprĂšs une chute est prolongĂ©, plus la personne risque de subir de graves consĂ©quences. À trĂšs court terme, un patient ayant chutĂ© et n’étant pas relevĂ©, peut subir une hypothermie, une insuffisance rĂ©nale ou des zones de pressions
 À moyen et long terme, la chute peut induire des troubles de l’équilibre, une perte du schĂ©ma moteur, voire la destruction des fibres musculaires
 Enfin, sur le plan psychologique, l’atteinte morale et la peur de tomber engendrĂ©e par une chute peuvent amener la personne Ă  moins se dĂ©placer et de ce fait accĂ©lĂ©rer la grabatisation. La chute peut ĂȘtre un important facteur d’entrĂ©e en dĂ©pendance. Bien que tous les patients soient concernĂ©s, certains ont une plus forte propension Ă  tomber. Il s’agit de personnes atteintes de troubles du comportement, de la maladie de Parkinson, d’arthrite, 
 ROSPA 2017. Du cĂŽtĂ© des aidants, le relevage peut ĂȘtre une source d’apprĂ©hension. Mais aussi d’efforts physiques intenses conduisant parfois Ă  des accidents. Ces difficultĂ©s sont encore amplifiĂ©es la nuit. Ainsi, une politique de prĂ©vention des chutes en Ă©tablissement d’hĂ©bergement apporte des bĂ©nĂ©fices en termes de prise en charge pour les personnes ĂągĂ©es, pour les aidants et un gage de qualitĂ© pour les familles. Des solutions pour la mise en place et le suivi de cette politique de prĂ©vention existent. Nous citerons par exemple, des modules de formation adaptĂ©s aux soins, des dispositifs de parcours de marche, des systĂšmes amortisseurs et de relevage post-chute. LES DISPOSITIFS CAMEL ET ELK Par exemple, les coussins de levage CAMEL et ELK sont lĂ©gers et portatifs. Cela signifie que, mĂȘme si un rĂ©sident tombe dans un espace confinĂ© de la salle de bain ou en extĂ©rieur, le personnel soignant peut effectuer seul un relevage digne et sĂ©curitaire pour tout le monde. Cette solution permet de relever en douceur les personnes sans les perturber davantage, tout en les rassurant. En effet, c’est le coussin qui porte le poids et non plus l’aidant ! Un drap de glisse est fourni avec le dispositif. Cela permet d’amener la personne sur le coussin sans prĂ©hension et Ă©vite ainsi d’aggraver d’éventuelles lĂ©sions rĂ©sultant de la chute. Une fois confortablement assise, la personne est tranquillisĂ©e et peut se relever en toute quiĂ©tude. Delroy Bonnitto, directeur au Centre de gĂ©riatrie Perry Tree Birmimgham, Royaume Uni tĂ©moigne » L’utilisation des coussins de levage CAMEL signifie que nos rĂ©sidents peuvent ĂȘtre relevĂ©s avec un minimum d’agitation. GrĂące Ă  ce dispositif, ils n’ont pas l’impression de provoquer une scĂšne. Ainsi, les niveaux d’anxiĂ©tĂ© sont rĂ©duits au minimum, ce qui est vital pour toute personne atteinte de dĂ©mence. » Visionner la vidĂ©o du dispositif CAMEL sur notre chaine Youtube Alter Eco SantĂ© Drapshousse et draps. Les draps housses sont plus importants que vous ne le pensez. Vos draps sont en contact direct avec votre peau, chaque nuit et toute la nuit. Des draps et draps housses confortables contribuent Ă  maintenir une tempĂ©rature corporelle rĂ©guliĂšre, en absorbant l'humiditĂ© produite pendant le sommeil. 117 Ă©lĂ©ments. Quand il est un peu trop juste pour votre matelas, votre drap–housse n’en fait qu’à sa tĂȘte et ne cesse de sauter dĂšs que vous tentez de le positionner. RemĂ©diez Ă  ce petit tracas en cousant un Ă©lastique Ă  chaque extrĂ©mitĂ©. Il devrait tenir en place, Ă  prĂ©sent. De plus, Comment maintenir une housse de couette ? Commencez avec la housse Ă  l’envers et attrapez les coins en glissant vos bras Ă  l’intĂ©rieur de celle-ci. Toujours les mains dans la couette, allez chercher les coins de la couette et maintenez les deux ensemble fermement avant de secouer. Comment mettre un drap plat sur un lit ? Il faut d’abord placer le drap-housse sur le matelas. Positionnez ensuite le drap plat sur le lit, la face du dessus contre le matelas. Le cĂŽtĂ© le plus terne du textile doit figurer vers le haut, car une fois le rabat effectuĂ©, cette face se retrouvera cachĂ©e par la couverture. Par ailleurs, Comment mettre un drap plat ? Positionnez-la plutĂŽt Ă  une main de la tĂȘte de lit. Rabattez ensuite le drap par-dessus. Attention, jetez le drap plat Ă  l’envers sur le lit, pour laisser voir l’endroit lorsque vous le replierez sur la couette. Si vous avez recouvert votre couette d’une housse, faites bien attention aux plis. Quelle longueur d’élastique pour un drap housse ?Quelle est la bonne hauteur pour un lit ?Comment faire des couvre lit ?Comment assembler 2 couettes ?Comment utiliser le Couvre-lit ? Quelle longueur d’élastique pour un drap housse ? Sachez que la longueur idĂ©ale est de 2/3 de la longueur de la couture. Par exemple, si pour ce drap housse je veux mettre des Ă©lastiques aux angles. Je peux choisir une longueur de 50cm, soit 25cm de chaque cĂŽtĂ© de l’angle. Le calcul est simple 2 x 50 =100cm. Comment tenir la couette ? Comment mettre les clips de couette ? Comment mettre pince couette ? Quelle est la bonne hauteur pour un lit ? En moyenne, une literie pieds + sommier + matelas vous positionnera entre 50 cm et 55 cm du sol. Si vous constatez que le lit est trop bas, il sera toujours possible de rĂ©ajuster la hauteur avec des pieds plus hauts, qui se trouvent facilement dans le commerce. Pourquoi mettre un Dessus-de-lit ? Le couvre–lit, qu’il s’agisse d’un boutis, d’un jetĂ© de lit ou d’un dessus-de-lit, apporte la touche finale Ă  la dĂ©coration d’une chambre Ă  coucher. En hiver, son confort est apprĂ©ciable. En effet, il apporte une douce chaleur supplĂ©mentaire au dormeur. 
 Le couvre–lit permet aussi de protĂ©ger la literie de la poussiĂšre. Pourquoi dormir avec un drap ? Le drap vous permet de conserver une tempĂ©rature interne homogĂšne et d’évacuer plus facilement la sueur Ă  la surface de la peau. Si vous ne le supportez pas, porter de simples vĂȘtements amples en coton vous aidera Ă  passer une meilleure nuit. LĂ  encore, le tissu permet d’évacuer plus facilement la transpiration. Comment Ă©taler le lit ? Comment faire son lit au carrĂ© ? Poser le drap sur le matelas, en veillant Ă  ce qu’il ne dĂ©passe pas plus d’un cĂŽtĂ© que de l’autre. Border le drap au pieds du lit . Relever la partie latĂ©rale du draps et border sur le cĂŽtĂ©. Descendre le revers et le border . Comment faire des couvre lit ? Pour ce faire, les disposer Ă  plat en posant en premier le tissu de fond, puis le molleton et enfin le patchwork. Enfin, coudre les bords ensemble, mettre le couvre–lit Ă  l’endroit et piquer le tout. Il est primordial de repasser les coutures pour obtenir une belle finition. Comment faire une housse de canapĂ© facile ? Coudre la housse. DĂ©coupez les diffĂ©rentes sections de la housse. Posez de grands morceaux du tissu dont vous allez faire la housse sur une surface plane puis posez chaque section du patron dessus. Tracez les contours sur le tissu Ă  la craie et dĂ©coupez chaque section en laissant un surplus de couture d’environ 2,5 cm. Comment rouler une housse de couette ? Comment mettre un arceau dans un lit ? Positionner l’ arceau de lit au dessus du patient. Disposer les couvertures au dessus de l’ arceau . Utiliser un chiffon doux et humidifiĂ© pour nettoyer poussiĂšre et saletĂ©. Utiliser de l’eau savonneuse pour des salissures plus importantes. SĂ©cher avec un chiffon. Comment assembler 2 couettes ? Il suffit de superposer les deux couettes et le tour est jouĂ©. Le poids reste Ă©gal sur toute la surface de la couette grĂące Ă  un piquage vagues » retravaillĂ©. L’utilisation du polycoton lui offre un toucher agrĂ©able et naturel. Pourquoi les lits amĂ©ricains sont hauts ? Le fait que les chambres soient Ă©quipĂ©es de moquette constitue l’une des principales raisons de la taille plus grande des lits aux États-Unis. Ce type de revĂȘtement nĂ©cessite pour son nettoyage l’usage d’aspirateur. Étant plus hauts, cette machine peut facilement passer en dessous et effectuer le travail d’entretien. Quel hauteur pour un sommier tapissier ? La hauteur moyenne de 50 Ă  55 cm convient pour une personne de taille » moyenne . Cependant, si vous dĂ©passez 1,90 mĂštre ou si vous mesurez moins d1,50 mĂštre, cela pourrait s’avĂ©rer peu adaptĂ©. Quelle est la taille d’un lit 1 place ? Pour une personne un lit 1 place suffit Vous dormez seul et faites une taille moyenne un matelas de 90 x 190 cm est suffisant, sauf pour les adeptes de place et de confort absolu qui prĂ©fĂšreront un lit 2 places. Comment utiliser le Couvre-lit ? On peut disposer l’accessoire choisi au pied du lit pour avoir plus chaud ou tout simplement recouvrir la totalitĂ© du lit pour ajouter une Ă©paisseur de couverture. Cela permet de donner du cachet Ă  votre lit, et d’ajouter une note de couleur dans une chambre Ă  la dĂ©coration classique. Quelle diffĂ©rence entre boutis et Couvre-lit ? JETÉ DE LIT, COUVRE–LIT, BOUTIS SEMBLABLES MAIS DIFFÉRENTS Le couvre–lit est un Ă©lĂ©ment qui, comme son nom l’indique, recouvre la majeure partie du lit. Le boutis est une piĂšce de tissus matelassĂ©, recouvrant l’intĂ©gralitĂ© du lit. Pourquoi un drap plat ? Le drap de lit plat isole parfaitement le dormeur du matelas et de sa couverture ou de sa couette protĂ©gĂ©e par sa housse. Il permet de rĂ©guler la tempĂ©rature, ce qui est fort apprĂ©ciable. Il peut ĂȘtre utilisĂ© comme couverture lĂ©gĂšre par temps chaud. EngagĂ©dans la lutte contre la pĂ©nibilitĂ© au travail et pour l’amĂ©lioration des conditions de travail, le CH d’Argenteuil participe Ă  un appel Ă  projets encadrĂ© par l’Agence RĂ©gionale de SantĂ© pour la prĂ©vention des Troubles Musculo-Squelettiques (TMS). Ainsi l’hĂŽpital a formĂ© 2 prĂ©venteurs TMS et a obtenu du matĂ©riel de prĂ©vention, dont les tapis de rehaussement. Une
Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-Lard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Jeu 10 DĂ©c - 1816 Betty marchait Ă  cĂŽtĂ© de ses nouvelles amies et aurors, LoreleĂŻ et Eden. Elle venait de finir sa formation avec Eden, et c’était la premiĂšre mission que sa chef Morgane avait bien voulu lui confier. Donc pour Betty, c’était sa premiĂšre patrouille, par consĂ©quent elle Ă©tait toute enjouĂ©e Ă  se balader dans la montagne, Ă  la recherche d’un moindre incident suspect. En effet, quelques heures plutĂŽt au QG des Aurors, on leur avait signalĂ© un rapport d’incident au alentour de la grotte, voir dans la grotte en discutant avec ses amies, et en montant la garde, elles arrivĂšrent devant cette Ă©norme grotte. Betty n’y avait jamais Ă©tĂ© auparavant
 L’aspect extĂ©rieur Ă©tait d’ailleurs tout sauf accueillant. Les grosses pierres Ă©taient d’un gris foncĂ©, et donnaient l’impression qu’elles allaient s’écrouler sur les 3 jeunes elles prĂȘtĂšrent attention au bruit qui Ă©manait de la grotte, les Aurors comprirent vite que ce qui se tramait Ă  l’intĂ©rieur
Tendant l’oreille avec un peu plus d’attention, elles entendirent la voix d’un mangemort et s’engouffrĂšrent rapidement de la de celle-ci Ă©tait profondĂ©ment lugubre. La faible lumiĂšre du jour Ă©clairait quelques peu la grotte mais Betty pour mieux voir ce qui Ă©tait en train de se dĂ©rouler sous ses yeux prononça Lumos !Un mangemort que Betty n’avait jamais vu en raison de sa toute nouvelle arrivĂ©e dans le groupe des Aurors Ă©tait en train de lancer un sort, Incarcerem Ă  une jeune fille qui ne devait pas ĂȘtre plus ĂągĂ©e qu’une deuxiĂšme LoreleĂŻ et Eden Ă©taient alors cachĂ©es derriĂšre un roc de pierre. Lorsqu’elle regardĂšrent avec plus d’attention la scĂšne, Betty s’aperçut que la jeune prisonniĂšre du mangemort n’était autre que VĂ©nus, une jeune serdaigle avec qui elle avait discutĂ© quelques semaines plus tĂŽt
Elles sortirent alors de leurs cachette, et Betty s’avança en lançant Finite Incantatem » ce qui libĂ©ra la jeune fille de lemprise du s’avança en courant vers Venus, tout en jetant "Protego totalum !"Betty et VĂ©nus sortirent Ă  reculons, le sort les empĂȘchant de toutes attaques du mangemort, puis Ă  la sortie de la grotte, Betty pris la main de VĂ©nus et elles transplantĂšrent toutes deux, devant le parc de Poudlard. Betty la ramena Ă  pied, dans l’enceinte du chĂąteau oĂč VĂ©nus serait enfin en sĂ©curitĂ©.HRPG avec accord de vĂ©nus pour la faire sortir. InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Jeu 10 DĂ©c - 1817 LoreleĂŻ faisait sa premiĂšre patrouille, c 'Ă©tait assez frustrant d 'ailleurs, du moins premier jours vraiment dehors Ă  faire ce qu'elle avait toujours rĂȘver de faire, elle espĂ©rait ĂȘtre Ă  la hauteur. Et puis l'autre chose qui la gĂȘnait c 'Ă©tait de se retrouver dehors. LoreleĂŻ avait passĂ© tout le reste de sa jeunesse Ă  Poudlard Ă  se cacher des mangemorts dont son pĂšre qui la cherchait surement encore et toujours pour la tuer aprĂšs avoir essayer de la recruter et jeune femme avait une Ă©lĂ©gante robe noir jusqu'au sol, une pĂšre de botte et une cape noir avec un capuchon fourrĂ©e en fourrure de couleur noir aussi. Elle avait ses cheveux solidement attachĂ©s en chignon, ses ongles coupĂ©s de prĂšs et portai un maquillage lĂ©ger. Elle suivait Betty et Eden d'un pas lĂ©ger en fourrant les mains ballante, baguette dans une serait bien une premiĂšre patrouille au calmeDit elle, sa voie Ă©tait douce, mais assez froide et cassante. Lore n'Ă©tait pas le genre de fille qu'on apprivoisait facilement, distante, solitaire mis un cƓur en or quand on la connaissait vraiment. Elle ne connaissait que de peu ses compagnes d 'armes. En mĂȘme temps ce qu'elle disait Ă©tait ironique mĂȘme si rien ne paraissait, les femmes avançait s'enfonçaient vers une grotte suspectĂ©e et elle devait allĂ© y faire un rapport....*J'aime pas çà, pas çà du tout*Comme si au fond d'elle des instincts de survie remontait Ă  la surface d'un de ses temps troubles oĂč la mort lui avait passĂ© de peu. Son teint devint pĂąle, sa main se resserra sur sa baguette. A croire qu'elle sentait de loin le monstre se cachant lĂ  . Lore continua de marchĂ© et entendit une voie de loin, et gĂ©nĂ©ralement le ton ne lui Ă©tait pas inconnu et surtout un sort lancĂ©. Elle logea la paroi rocailleuse suivant Betty avant de voir celle-ci agir. Lore dĂ©couvrit une fille qui Ă©tait attachĂ©e par des liens magique et devant elle.... un mangemort. Le cƓur de Lore ne fit qu'un tour, elle suivit Bettyet se cacha derriĂšre un rocher avec Eden aussi elle vit Betty foncer sur la fille, un regard,un sort puis on entendit un "pop" avant que la fille et Bet ne partent. Tout en une fraction de seconde alors que LoreleĂŻ lançait un sort en mĂȘme temps que Betty. Son geste fut rapide et sa bouche tellement dĂ©terminĂ©e, tellement habituĂ©e Ă  prononcĂ© çà...Sectumsempra !A vrai dire tout alla si vite que sa baguette envoyait les jets,son coup partit sans qu'elle prit conscience de l'endroit oĂč il irait dans la grotte. A vrai dire, il y avait une chance sur cent qu'il touche le mangemort. Et puis c 'Ă©tait pas le but, sa premiĂšre rĂ©action fut de protĂ©ger le dĂ©part de Betty pour ne pas que le mangemort aie le temps de rĂ©agir sur elle. Et puis, se sort avait de quoi en faire rĂ©agir plus d'un rien qu'en prononçant ce simple mot, mĂȘme sans baguette. Magie noir oui, elle venait Ă  peine de sortir de Poudlard et les maigres sorts de bases qu'elle connaissait ne lui servait pas beaucoup. Et puis dans des cas ainsi, la mĂ©moire sortait ce qu'elle pouvait et ici se fut le rĂ©sultat du bourrage de crane de son pĂšre alors qu'il la tenait captivĂ©e. La magie noir, elle l'avait en horreur mais dans ses cas si, elle prĂ©fĂ©rait la faire apprĂ©ciĂ©e par les gens qui l'utilisaient, qu'ils voient ce que çà fait... Mais tout alla si vite, LoreleĂŻ continua Ă  jeter des sorts aprĂšs celui faisant apparaitre les blessures GastroEt un de plus partait censĂ© vider les entrailles. Eden Ă©tait aussi lĂ , mais chacune sa spĂ©cialitĂ©, sa force. Lore attaquait, Eden protĂ©geait. Un tout une force, il fallait faire vite, elle Ă©tait deux, elle et Eden, pour LoreleĂŻ s 'Ă©tait son premier dĂ©fis, sa revanche sur la vie .DerniĂšre Ă©dition par LoreleĂŻ Evana le Jeu 10 DĂ©c - 1817, Ă©ditĂ© 1 fois Jude RoseburyGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Jude Rosebury, le Jeu 10 DĂ©c - 1818 La sorciĂšre, aprĂšs avoir fait deux formation, Ă©tait allĂ©e voir Morgane au Qg. Celle-ci l'avait prĂ©venue qu'il y avait eu des rapports d'incidents aux alentours de la grotte. Alors, elle avait demandĂ© Ă  Eden, ainsi qu'Ă  Betty, qu'elle avait formĂ© il n'y a pas longtemps, et LoreleĂŻ. Eden n'avait pas vraiment eu le temps de se changer, gardant les vĂȘtements de l'entrainement, un peu sale, mais peut importe. Elle avait juste mit sa cape par dessus, pour arranger un peu cette apparence nĂ©gliger, qu'Eden dĂ©testait. Toute trois Ă©taient parties ensemble patrouiller, pour la sĂ©curitĂ© des lieux. Patrouillant depuis un certains temps, elle s'approchĂšrent de la grotte pour finir. Entendant des voix, et le nom d'un sort, elles se raprochĂšrent toute trois. Un mangemort ! Eden savait tout de suite qu'il s'aggissait de cela, Ă©tant donnĂ© que cette personne Ă©tait sous une cape noir, large, et en face d'elle.. Une fille ? Elle portait une tenue de serdaigle, et tenait son chat dans ses mains. Alors Eden prit sa baguette d'instinct. Elle resta dans l'entrĂ©e de la grotte, derriĂšre un rocher avec Betty et LoreleĂŻ. Puis Betty se leva avec LoreleĂŻ. Eden resta derriĂšre le rocher pendant que Betty partit Ă  la dĂ©fense de la jeune fille, et LoreleĂŻ jetait des sorts pour distraire le ne savait pas trop quoi faire pour le moment, alors elle dit sans mot Protego . Le bouclier devrait pouvoir la proteger pour un sortilĂšge. Alors Eden se leva, s'approcha, toujours surement, pour ne pas risquer de se faire avoir par le mangemort. Tendant sa baguette pointĂ©e sur le Mangemort, elle murmura Metalo Scencio .Un filet de metal sortir de sa baguette en direction du mangemort. Normalement, celui-ci devrait se retrouvai piĂ©gĂ©, et ci il tentait de se liberer, il se ferait surement des entailles, car les liens se resserent. Elle tourna la tĂȘte, et regarda LoreleĂŻ lancer des sorts. Elle attaquait, et Eden protegait la sortit, mĂȘme si elle avait jetĂ© un petit sort d' se rapprochant de LoreleĂŻ, toujours avec son bouclier, et mit son bras devant le torse de son amie et collĂšgue, et pointa sa baguette. Elle lança Ragnarok sans mot dire. A cet instant, un mur invisible de protection apparut entre la mangemort et les deux aurors. Elle dit alors - Ce n'est pas beau de s'attaquer Ă  moins fort que soit.. Seriez vous si peut sĂ»re de vos sorts ?AprĂšs cette phrase lĂ , Eden tourna la tĂȘte vers Allez, on devaient partir, maintenant que Venus Ă©tait sauve, plus rien ne les retenaient ici. MĂȘme si Eden avait envie de se battre, elle devait faire attention, et ne pas risquer sa vie juste pour une envie de combat. Elle se concentra, pensa Ă  sa destination avec determination. " QG des aurors.. " pensa t-elle. Les deux aurors s'en allĂšrent alors.. MaĂźtre de jeu Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]MaĂźtre de jeu, le Jeu 10 DĂ©c - 1818 Le membre 'Eden Bolton' a effectuĂ© l'action suivante Lancer de dĂ©s'Combats Sections Act' InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Dim 17 Jan - 154 [PrivĂ© Nymphadora]Il Ă©tait tard, au moins dix heures du soir, Will Ă©tait allongĂ© sur le canapĂ© prĂšs de la cheminĂ©e, les yeux fermĂ©, on aurait pu aisĂ©ment croire qu'il dormait. Une petite tape sur l'Ă©paule rĂ©veilla le jeune homme dont les mĂšches blondes tombaient devant ses yeux *serait p'tetre temps d'aller s'faire couper les cheveux* pensa Will. La petite tape en question venait de LĂ©to, son elfe, qui se tenait devant lui avec son Ă©ternel air soumis. Il portait dans la main droite un chandelier et dans la main gauche l'un des pyjamas du jeune homme. L'elfe s'inclina bien bas puis fit- Voulez-vous allez vous coucher, ou prendre une tasse de ThĂ© ?- Merci LĂ©to mais je ne veux pas de thĂ©, et je n'ai pas sommeil, je ne dort aurait pu croire Ă  une phrase ironique, ou encore Ă  une façon de se mettre en avant mais Will ne voulait rien de tout cela, depuis le jours ou il avait Ă©tĂ© mordu par Akshay Lecter, l'homme qui lui avait sauvĂ© la vie, Will n'avait pas dormit une seule seconde comme pouvait le constater ses lĂ©gĂšres cernes sous les yeux. En fait en ce moment Will n'avait envie de rien mise Ă  part une seule chose, manger. En effet, il lui fallait sa dose de sang, sa drogue. Mais pas question de sortir dans la rue et de prendre la vie de la premiĂšre personne qui croiserait son chemin. Non, il devait prendre des prĂ©caution et n'attaquer qu'un se releva d'un coup, sans prĂ©venir. LĂ©to sursauta puis s'Ă©carta de son maitre comme pour lui donner plus d'espace. Will regarda LĂ©to droit dans les yeux puis lui fit- On y va LĂ©to, emmĂšne moi Ă  PrĂ©-Au-Lard, prĂšs des PrĂ©-Au-lard ? Mais monsieur .. A cette heure ?- Oui Ă  cette conversation Ă©tait close, Will n'avait pas envie de se justifier et surtout il avait faim, une chose qui pouvait le rendre insupportable. Le blondinet posa sa main sur la minuscule Ă©paule de LĂ©to qui disparut dans un PLOP sonore. AussitĂŽt les pieds de Will rencontrĂšrent une surface dure et poussiĂ©reuse, il venait de se poser sur l'un des sentier menant aux sommets des Montagnes. Will regarda son elfe de toute ça hauteur et lui fit- LĂ©to rentre, ne reviens que si je t'appelle. Bonne ne fit pas rĂ©pĂ©tĂ©, tourna les talons et transplana Ă  nouveau, Will Ă©tait seul. Cependant il ne devait pas trainer, son dĂ©sir devenait de plus en plus fort, il fallait qu'il trouve un animal le plus vite possible sinon le premiĂšre humain qu'il croiserait serait lui aussi se tapait dans l'ombre en attente d'une proie, immobile, silencieux, sans mĂȘme un mouvement de poitrine signalant qu'il respirait, Rien. AprĂšs environs dix minutes d'attente un gros chien, Ă  la fourrure marron passa Ă  prĂšs de 5 mĂštres de lui en se dirigeant tranquillement vers une grotte sans se douter du danger qui le menaçait. Will guetta l'animal en attendant que le moment propice arrive. Et il arriva, lorsque le chien eu fait deux pas dans la caverne Will courra Ă  toute allure dans sa direction, jamais il n'avait couru aussi vite, ses pouvoirs de vampire et sa faim devait aiguiser tout ça. Lorsqu'il arriva Ă  ses cĂŽtĂ©s Will se jeta sur lui et lui prit le cou avec sa main gauche et le plaqua contre la parois de la grotte Ă  moins de deux mĂštres de l'entrĂ©e, si quelqu'un passait par lĂ  il verrait tout la scĂšne, mais personne ne marcherait dans le coin Ă  cette heure ci. Will coinça l'animal contre la paroi et saisit la peau de son flanc Ă  laide de ses deux mains, le chien essaya de se dĂ©battre et de s'Ă©chapper mais en planta ses deux crocs aiguisĂ© avec une immense satisfaction, il allait pouvoir combler sa faim. Lorsque ses crocs transpercĂšrent la peau de ce pauvre animal une quantitĂ© importante de sang sortit de son corps que Will s'empressa d'avaler. AprĂšs avoir avalĂ© le plus de sang possible Will laissa tomber Ă  terre la dĂ©pouille du chien, la rĂ©sultat n'Ă©tait pas beau Ă  voir. Will avait du sang pleins les mains, partout sur sa chemise et sur le coin des lĂšvres, mais le pire Ă©tait l'animal, il avait le cou entier de dĂ©chiquetĂ©, ainsi qu'un aspect rien de tout cela n'Ă©tait inquiĂ©tant comparĂ© Ă  se qui allait arriver. un bruit de pas se fit entendre, puis quelqu'un entra dans la grotte et se retrouva Ă  moins de deux mĂštre en regardant Will de haut, l'homme Ă©tait toujours Ă  genou Ă  considĂ©rer le cadavre du chien. Lorsque le nouveau venu s'Ă©carta lĂ©gĂšrement et que la Lune fit assez de lumiĂšre Will pus apercevoir la visage de cette Lupin se tenait devant lui Ă  observer son ami Ă  genou du sang sur les mains, la chemise et au bord des lĂšvres, devant une dĂ©pouille de chien dont le cou Ă©tait entiĂšrement qu'est se que tu fais lĂ  ? fit Will d'une voix desesperĂ©. Nymphadora LupinLĂ©gendeGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Nymphadora Lupin, le Dim 17 Jan - 352 Il Ă©tait fort tard, mais, ces temps-ci, la jeune Nymphadora Ă©tait prise d'insomnies chroniques... Elle qui sans enfance aurait tuĂ© pĂšre et mĂšre pour rester dans son lit commençait Ă  en avoir peur, peur de rester seule sous les draps, peur de mourir dans son sommeille. Vous allez me dire Ă  dix-neuf ans, fort rare sont les personnes qui meurent en dormant, mais, dans le monde actuel, tout devenait possible. C'est surtout, je pense, que la jeune femme n'aimait plus habiter cette maison sans la prĂ©sence d'Emy, vĂ©ritable fĂ©e du logis, qui y apportait sa joie et sa bonne humeur et que maintenant la modeste maison n'Ă©tait plus qu'un cinq piĂšces assez banal et bordĂ©lique. Nymphadora avait voulu, Ă  maintes reprises, la mettre en vendre, mais c'est une chose ardue que des vendre ses souvenirs aux premiers venus. Une autre option s'Ă©tait offerte Ă  elle, l'abandonner et y revenir lorsque la nostalgie se ferait trop poignante sur le cƓur de la jeune journaliste. La dĂ©cision prise, il ne lui manquait plus que le courage d'aller Ă  l'agence immobiliĂšre et acheter un nouvel endroit oĂč vivre bien loin d'ici....Quoi qu'il en soit, les aiguilles de l'horloge avoisinait les trois heures du matin, lorsque Nymphadora enfila une cape noir assez sobre et qu'elle remonta le capuchon sur sa tĂȘte pour se protĂ©ger du vent. Pas la tĂȘte Ă  aller chez "Lucette', le cafĂ© du coin oĂč se rassemblaient tous les vieux soulards de PrĂ©-au-Lard, pas la tĂȘte Ă  aller prendre une claque de souvenirs Ă  la maison en ruines, la tĂȘte Ă  rien Ă  vrai dire... Elle erra sans but, marchant sans prendre conscience de la direction que prenaient ses pieds, scrutant chaque demeure du coin de l'Ɠil et s'imaginant pour les familles qui y vivaient des histoires plus rocambolesque les unes que les autres. Untel trompait sa femme avec la femme du voisin, l'autre battait ses enfants ou s'adonnait Ă  la prostitution pour subvenir Ă  ses besoins depuis que son mari Ă©tait aux abonnĂ©s absents... Le genre d'histoires dĂ©biles qu'on lit dans des magasines moldus et qui se vendent comme des petits prit place sur un banc tout en chantonnant une vielle chanson apprise chez les moldus et dont les paroles auraient donner envie au plus gaie des hommes de se suicider. L'air hagard, elle ne reprit ses esprits que quand elle sentit une truffe sur ses genoux. Elle n'Ă©tait pas fort pour tout ce qui Ă©tait poilu, qui avait quatre pattes, qui bavait ou qui sentait une odeur incommodante, mais lĂ , elle ne put y rĂ©sister. Face Ă  elle se tenait son sosie, mais en chien ! Seul, abandonnĂ©, l'air ailleurs et qui n'avait pour occupation que le vagabondage nocture. Elle posa sa main sur le haut de sa tĂȘte et entreprit de le caresser. - DĂ©solĂ©e mon beau, mais je n'ai rien d'autre Ă  t'offrir. Je n'ai pas pour habitude de me promener avec des os ou de la nourriture pour chienBon sang, elle Ă©tait dans un dĂ©chĂ©ance totale si elle commençait Ă  parler avec des animaux ! Conversation qui ne dura pas longtemps vu que Roucky de son flair incroyable capta, au pieds de la montage, un fumet qui lui mit la bave aux babines. Nymphadora le suivit, question d'instinct, de curiositĂ©, elle savait qu'il y avait une grotte lĂ -haut et avait une envie soudaine d'y mettre les pieds. Alors qu'elle montait progressivement et qu'elle se trouvait, approximativement, Ă  deux mĂštres de la dite grotte, un spectacle inhabituel se dĂ©roula devant ses yeux. Un humain Ă©tait entrain de bouffer le gros toutou, une personne normal aurait eu peur, aurait prit la fuite et aurait une pensĂ©e triste pour le pauvre petit Milou. Nymphadora, non, elle se demande juste si le type de la grotte sera rassasiĂ© avec un chien. Pour en avoir le cƓur net, la jeune femme entra dans la grotte et y aperçu Will agenouillĂ© devant le cadavre et rempli de sang. Tomber nez Ă  nez avec sa consƓur ne semblait pas lui plaire visiblement. - Ce que je fais lĂ  ? Je viens constater que tes parents ne t'ont pas appris les bonnes maniĂšres et que tu manges vraiment comme un porc. Mais qu'avait-il donc cru ? Que sept litres de sang allait lui faire tourner de l'Ɠil ? Ou qu'elle allait partir en courant, crier Ă  qui veut l'entendre qu'une crĂ©ature bouffait les animaux domestiques ? CrĂ©ature ! Non, Will n'Ă©tait pas une crĂ©ature ! S'Ă©tait un... Un... Quelque chose. - Tu es quoi comme sorte d'homme toi ? Un vampire ? Elle se servit de sa baguette pour arroser le journaliste et lui rendre un aspect et une odeur digne de ce nom. Elle mit feu au cadavre du chien pour pas qu'il se fasse bouffer par toute sorte de bĂȘtes et que ça finisse par sentir le cadavre en putrĂ©faction dans tout PrĂ©-au-Lard, ce qui finirait par rameuter tout les villages dans la grotte et certaines personnes risqueraient de se poser des questions qu'ils ne devraient pas. Nymphadora dĂ©tailla de haut en bas le jeune homme et sa conclusion fut qu'il avait une sale mine. - Je sais pas ce qu'il se passe chez toi, mais tu vas pas survivre comme ça longtemps. DĂ©jĂ , faudrait que tu reprennes soin de ton corps parce que tu es entrain de dĂ©sintĂ©grer lĂ  ! Mange plus souvent et en plus grand quantitĂ©, tu deviens aussi maigre que mon manche Ă  balais. L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le messageInvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Lun 3 Mai - 2207 dS'il s'Ă©tait attendu Ă  une Nymphadora choquĂ© ou apeurĂ©, Will c'Ă©tait lourdement trompĂ©. En effet, la jeune femme n'avait mĂȘme pas sourcillĂ© en voyant le corps dĂ©chiquetĂ© du chien ou encore le sang que Will avait partout sur lui. Le jeune homme Ă©tait perplexe, d'un cĂŽtĂ© il Ă©tait content que Nymphadora lui tombe dessus et pas n'importe quel idiot du village, il aurait voulu crier Ă  qui voulait l'entendre qu'un vampire se trouvait dans la montagne et Will aurait Ă©tĂ© obligĂ© de le tuer, mais d'un autre cĂŽtĂ© Nymphadora Ă©tait une personne qu'il connaissait ...Nymphadora, d'une voix neutre, comme si c'Ă©tait une parole de toute les jours lui fit- Tu es quoi comme sorte d'homme toi ? Un vampire ? - Oui, un vampire .....comme Ă  son habitude, Nymphadora ne se laissa pas dĂ©monter et prit les devants, elle se chargea de nettoyer Will d'un coup de baguette magique, se que soit disant passant Will n'aima pas des masses, puis elle fit bruler le cadavre du chien, ainsi pas une seule bĂȘte ni odeur ne viendrait signaler le massacre. Un peu honteux de la sitation Will marmona un timide "Merci" puis se Je sais pas ce qu'il se passe chez toi, mais tu vas pas survivre comme ça longtemps. DĂ©jĂ , faudrait que tu reprennes soin de ton corps parce que tu es entrain de dĂ©sintĂ©grer lĂ  ! Mange plus souvent et en plus grand quantitĂ©, tu deviens aussi maigre que mon manche Ă  balais. - J'pourrais te bouffer, je suis sur que ça irais mieux aprĂšs ...Bien sur Will ironisait, mais il Ă©tait vrai que son appetit n'Ă©tait pas totalement satisfait, il aurait payĂ© chĂšre pour boire un peu de sang humain, rien qu'un peu ... En fait, plus Will y reflechissait plus il pensait que Nymphadora avait soulevĂ© un point important Bien qu'il Ă©tait toujours assez costaud son manque de nourriture commençait Ă  porter prĂ©judice, ses joues commençaient Ă  se creuser et des cernes apparaissaient sous ses yeux. Pas de doute, un dernier morceau lui ferait beaucoup de tourna rapidement les talons et s'engouffra en courant plus profondĂ©ment dans la grotte en prenant soin d'attraper solidement Nymphadora par le poignĂ©e. Connaissaint Nympha, Will ne doutait pas une seule seconde que se qu'il allait lui proposer lui plairait, dans le cas contraire une fois partie ils ne pourraient tourner les talons ...AprĂšs avoir couru durant une bonne minute Will s'immobilisa le long de la paroi et renifla bruyamment vers le fond de la grotte. Les sens en Ă©veil il resta silencieux quelques secondes puis il continua sa course mais cette fois plus lentement, plus discrĂštement en marchant Ă  pas de loups ...Cinq-cents bon mĂštres plus tard, Will s'arrĂȘta en faisant signe Ă  Nymphadora de faire de mĂȘme. aussitĂŽt un grognement sonore s'Ă©leva, puis un deuxiĂšme diffĂ©rends. Will aussi commença Ă  grogner, moins fort. Peu Ă  peu deux silhouette furent distinguable, des silhouette animal. En fait, les deux jeunes gens virent quelques secondes plus tard que deux magnifique loups leur faisaient face, les crocs sortie avec un air tout sauf deux loups, plus agressif que jamais faisaient face Ă  Nymphadora et will ... Nymphadora LupinLĂ©gendeGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Nymphadora Lupin, le Mar 11 Mai - 1624 - J'pourrais te bouffer, je suis sur que ça irait mieux aprĂšs ...- Ca ferait quoi si tu me prenais un peu de mon sang ? Si tu pointes tes grandes dents quelque part dans mon corps, est-ce que je me transformerais en vampire ? Si je peux rester humaine, alors vas-y fais le et bouffe un peu de mon sang, mais bon si je dois troquer ma belle dentition pour des dents pointues comme les tiennes laisse tomber. On trouvera bien un moyen de te nourrir. On pouvait ĂȘtre mĂ©chante, froide et cruelle comme Nymphadora, celle ne voulait pas pour autant dire que l'on ne possĂ©dait pas un cƓur et et que l'on ne se serait pas coupĂ© en quatre pour ses amis. Ça lui dĂ©chirait les tripes de voir Will si faible et aussi mince qu'un manche Ă  balais, tandis qu'il lui tournait le dos, elle le regardait de haut en bas, ce n'Ă©tait plus vraiment le fringant jeune homme qu'elle avait connu des mois auparavant. La jeune brune fit apparaitre une petit coupole et se coupa le poignets tout en Ă©vitant les veines, elle n'Ă©tait pas suicidaire tout de mĂȘme, et laissa son sang couler dans le rĂ©cipient. Une fois celui-ci plein, elle referma sa coupure et tendit le sang Ă  son ami. - Me regarde pas avec tes yeux de chien battu et bois ça vite fait bien fait avant que je te le fasse ingurgiter par le nez. Que cela reste entre nous Will, il est hors de question que tu te ramĂšne avec tout tes petits amis au sang froid pour que je vous nourrisse tous, mais si jamais tu as encore besoin de sang, n'hĂ©site pas. Rapide comme il Ă©tait, Nymphadora ne se rendit pas compte que le vampire lui prenait le poignet et l'obligeait Ă  s'enfoncer Ă  l'intĂ©rieure de la grotte. Elle ne savait pas si elle devait lui foutre une bonne raclĂ©e ou le laisser la tirer comme un vulgaire jouet, dans le cas oĂč il voudrait se battre contre elle, il savait dors et dĂ©jĂ  qu'il n'avait aucune chance contre sa comparse. Effectivement, Nymphadora utilisait dĂ©jĂ  sa baguette comme une arme mortelle que Will tĂ©tait toujours le sein de sa mĂšre ! Il courait assez vite et la jeune brunette avait quelque peu du mal Ă  la suivre surtout qu'elle et l'athlĂ©tisme ça avait toujours fait deux, mais il dĂ©cida enfin Ă  s'arrĂȘter. - Tu joues Ă  quoi lĂ  ? Il lui plaqua nĂ©gligemment la main contre sa bouche afin qu'elle se taisse, apparemment, ils n'Ă©taient pas seuls dans la grotte et Will arrivait Ă  sentir cette prĂ©sence qui devait ĂȘtre tout sauf humaine Ă  en juger par les grognements qui se faisaient entendre. Hooo...Will voulait donc s'amuser et invitait sa jeune amie Ă  participer Ă  ce petit combat, mais quel gentil jeune homme tout de mĂȘme. Il est vrai que Nymphadora n'avait plus combattu quelque chose ou quelqu'un depuis quelques semaines, il Ă©tait temps de reprendre du service ! Son adversaire serait donc un loup, en espĂ©rant que ce ne soit pas un des loup-garous reconnus par le ministĂšre mais un bĂȘte loup qui regrettera bien vite d'ĂȘtre venu dans cette grotte. - Je prends celui de droite, ok ? EuroraLĂ©gendePoufsouffle Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Eurora, le Ven 2 Juil - 1458 [HJ Je pense que je peux poster ici depuis le temps qu'il n'y a pas eu de rĂ©ponse... roll ]Eurora ne comprenait pas ce qui lui arrivait ; elle n’avait pourtant bu que trĂšs peu et elle sentait la tĂȘte lui tourner horriblement 
 Dans sa maison, Ă  PrĂ©-au-Lard, elle Ă©tait accroupie sur le sol et tournait les pages d’un album photo oĂč quantitĂ©s de photos lui renvoyait des sourires emplis d’amour 
 Mais ces sourires appartenait au passĂ©. Bel et bien au passĂ©, se dit-elle. Les traces de son chagrin envahirent le bleu Ă©tincelant de l’ocĂ©an de ses yeux et une larme – comme une perle – se mit Ă  rouler sur sa joue
 Sans doute l’alcool qu’elle avait ingĂ©rĂ© en fut la cause elle n’en savait rien mais quoiqu’il en soit, cela aggravait son chagrin et le faisait apparaĂźtre au grand jour alors que normalement elle chercherait Ă  le dissimuler... Pleins de choses Ă©taient coupables de son actuel Ă©tat
La solitude lui pesait ce soir lĂ , plus que d’habitude ; elle avait envie de sentir la prĂ©sence de ses amis prĂšs d’elle, de son fils, d’Akshay, de ses soeurs mais une autre pensĂ©e s’insinuait dans son esprit elle ne voulait pas les dĂ©ranger 
 Cela ne la regardait, elle et elle seule. Cette bouteille avait semblĂ© si tentante 
 Elle n’avait su y rĂ©sister 
 Y noyez son chagrin ? Sans doute eut-il Ă©tĂ© dans son intention. Et pourtant, elle ne cessait de penser encore, sinon davantage, Ă  tout ce qui occupait son esprit
 Vacillante, elle tenta de se relever mais retomba par terre, lĂąchant un petit Oups ! » alors que le craquement significatif d’un transplanage brisait le silence
 Aaaah ! » et boum, elle bascula en arriĂšre, soudainement surprise de l’arrivĂ©e impromptue d’Orion
 Qu’est-ce que ... ?!! » L’elfe, s’inclinant devant elle, lui rĂ©pondit alors, les yeux exorbitĂ©s en voyant dans quel Ă©tat sa maĂźtresse s’était mise
 Orion et NaĂŻla ont pensĂ© que vous aviez peut-ĂȘtre besoin d’aide, maĂźtresse Eurora
 »Les vapeurs de l’alcool aidant, La jeune femme Ă©clata de rire puis laissa Ă©chapper un Ă©clat de rire
 Oups, tu m’as fait peur ! 
 Moi ? M’aider ? Bien sur que non, je ne me suis jamais sentie aussi
 Aussi bien... Hips 
 Je pourrai gravir le mont Blanc ! »  Elle rit Ă  sa propre plaisanterie, mĂȘme si celle-ci n’était pas forcĂ©ment drĂŽle 
 Ce que sembla songer Orion mais il n’ajouta rien. Il s’approcha de quelques mĂštres, tentant de saisir le bras d’Eurora mais cette derniĂšre se dĂ©roba ... Je pourrai mĂȘme aller sortir dans les rues et chanter Ă  qui veut entendre ! »Elle se sentait libre, pour la premiĂšre fois, libre de toutes contraintes ! C’était certain ! Jamais elle ne s’était sentit la libertĂ© de faire ce qu’elle veut, d’aller oĂč elle voulait 
 Oups, elle tituba, se rattrapant au rebord de la table
 OulĂ , est-ce normal que le sol tangue tant ... On se croirait en pleine mer sur un navire ... Madame, vous devriez vous coucher je crois
 »La silhouette d’Eurora s’immobilisa, puis se retourna lentement
 Un instant, elle sembla recouvrir toute sa raison puis, une lueur effrayĂ©e passa dans son regard, le temps de comprendre ce que dormir signifiait
 Non, dormir je ne veux pas
 Je veux ĂȘtre libre ! Libre de choisir, libre d’aller, libre de 
 De choisir mes dĂ©cisions et Ă  qui je donne mon soutien ! »Elle ne savait trop pour quelles raisons elle avait prononcĂ© ces derniers mots
 Tout se mĂ©langeait dans son esprit, tous les Ă©vĂšnements de ces derniers temps, toutes ces contrariĂ©tĂ©s
 Tout s’était rĂ©uni, concentrĂ©, et tout Ă©tait sortait ce soir lĂ  en mĂȘme ces mots, elle avança tel un chĂąteau branlant en direction de sa porte d’entrĂ©e et alors qu’Orion demeurait sans bouger, et sans savoir ce que le mieux Ă©tait de faire, il l’observa sortir parmi le sombres de la nuit
 Une fois dehors, la jeune PhĂ©nix ne sentit pas mĂȘme la fraĂźcheur saisissante de cette nuit d’étĂ© 
 Sa vision Ă©tait incertaine mais elle ne se demanda mĂȘme pas comment elle parvenait Ă  mettre un pas devant l’autre. Le lendemain, elle aurait certainement une migraine atroce mais pour le moment, elle ne voulait plus penser Ă  rien ! POURQUOI ?!!! » fut sa premiĂšre parole alors qu’elle adressait cet seul mot, plus au ciel qu’à quiconque d’autres. Seul le silence de la nuit lui rĂ©pondit alors qu’il lui renvoyait l’écho de sa propre voix. Elle attendit quelques secondes que ce dernier se tut pour enfin bouger un orteil et descendre les marches de la maison
DĂ©ambulant dans la ruelle, son pied finit par se prendre dans quelque chose ; elle se pencha et maugrĂ©a aprĂšs ces gens qui n’étaient pas mĂȘme capables de ramasser leurs ordures
 C’est alors qu’elle reconnut le visage d’Azphel, les traits de l’un des directeurs de Maison et tout le poids de ses responsabilitĂ©s revint sur ses Ă©paules et Ă©galement ce qu’elle avait ouĂŻe dire de ce qu’on attendait d’elle
 QUI avait Ă©tĂ© crĂ©er le principe selon il Ă©tait "normal" de soutenir ceux avec lesquels on travaillait ?!! QUI que je l'Ă©trangle !!! Personne. EmprisonnĂ©e ce soir par les vapeurs d'alcool, Eurora ne se sentait pas libre de ses opinions et de ses actions... Ce fut l’air fier et dĂ©jĂ  triomphant – Ă  moins que ce soit dĂ» Ă  quelques retouches sur la photo – d’Azphel qui eut raison d’elle et la fit tressaillir, comme saisit d’un lourd pressentiment
 *Des mots ! Que des mots ! * ET POURQUOI devrais-je soutenir forcĂ©ment les personnes avec qui je travaille ?!! Le monde est-il ainsi fait qu’il ne permets pas mĂȘme Ă  l’Homme de faire ce que bon lui semble, de penser ce qu’il veut, de prendre les dĂ©cisions qu’il veut ?!!! »Un tressaillement la saisit, peut-ĂȘtre l’alcool qui coulait dans ses veines en Ă©tait coupable mais aprĂšs qu’un long frissonnement l’eut saisie, elle laissa Ă©chapper une sorte de rĂąle mais au contraire de ce qu’un Ă©tranger aurait pu penser en la voyant ainsi, elle ne tomba pas, Ă©croulĂ©e sur le sol
 Dans sa main, ses doigts se refermĂšrent sur l’affiche, la froissant puis la laissant retomber par terre, en une boule de papier informe. Elle n’y faisait plus garde Ă  prĂ©sent, prit dans ses dĂ©lires amplifiĂ©s Ă  la fois par son dĂ©sespoir et Ă©galement pas les vapeurs de l’alcool circulant dans ses veines qui lui donnait la force cependant de ne pas s’ contraire elle continua d’avancer, telle une somnambule, vacillant de temps Ă  autre sur ses pieds, se retenant quelquefois au mur d’une maison dĂ©crĂ©pite. D’un seul mĂȘme Ă©lan, toutes les injustices et mĂ©saventures dont sa vie avait pu ĂȘtre parsemĂ©e se diluĂšrent dans son esprit, amplifiant cette impression de se sentir comme 
 vidĂ©e. Pourquoi ne pourrait-on pas ĂȘtre maĂźtre de son destin, et de SES pensĂ©es ! Tout simplement car elle voulait ĂȘtre elle-mĂȘme, car elle ne voulait pas se plier Ă  ce que la plupart des gens penserait qu’elle ferait
 A ce qu’ils pensaient qui Ă©tait normal de faire 
 Pourquoi ne pourrait-elle soutenir les gens qu’elle voulait ? Si son statut de directrice l’obligeait ainsi Ă  soutenir forcĂ©ment ceux avec lesquels elle travaillait, alors elle rejetait son insigne, et en mĂȘme temps ses responsabilitĂ©s ! Elle n’en voulait plus, voilĂ  ! Si elle avait un insigne, elle la jetterait au sol et marcherait dessus, l’écraserait jusqu’à ce qu’elle ne soit plus ... Si du moins cela lui impliquait d’effectuer des actes dont elle ne pensait pas un mot ! Vous pouvez me prendre tout ce que j’ai, mais certainement pas ma libertĂ© ». Cette fois, il s’agissait d’un murmure. Un murmure prononcĂ© face au mur contre lequel elle se trouvait. La norme ?!! Pourquoi la norme existait-elle dans la sociĂ©tĂ© ? Il n’y avait pas de normes. Sans crier garde et criant Ă  qui pouvait l’entendre, elle s’écria
 Je soutiendrai ce qui me semblera bon et ce que JE voudrai ! Jamais vous ne m’obligerez Ă  penser comme vous le souhaitez ! JAMAIS !! »Seul le silence lui rĂ©pondit. Dans la nuit, ses paroles lui semblĂšrent vide de sens, tout comme elle avait l’impression que son corps n’était plus empli que d’un vide saisissant 
 A tel point qu’elle en ressentit un vertige atroce..S’aidant d’avec sa main, elle se recula du mur et reprit sa marche 
 Les rues toujours autant silencieuses
 Elle dĂ©chiffra au passage plusieurs affiches pour les Ă©lections ministĂ©rielles dans lesquelles elle donna des coups de pieds dedans
 Marre de ces Ă©lections
Marre de tout ce qu’elle pensait Ă©tait toujours remis en question
 Marre de tout, elle souhaitait oublier tout ! Elle ne sut pas pendant combien de temps elle dĂ©ambula Ă  travers les rues
 Elle ne savait jusqu’oĂč elle marchait ainsi mais elle marchait. Ce qui Ă©tait certain c’était qu’elle montait en altitude ; Ă  plusieurs reprises, elle grimpa des collines qui paraissaient immenses ou alors c’était sa vision troublĂ©e qui les faisait paraĂźtre si immense
 Le dĂ©cor bougeait, aussi
 Beaucoup 
 D’ailleurs, avant d’arriver au sommet, elle trĂ©bucha Ă  maintes reprises
Jusqu’à parvenir Ă  la grotte qui dominait tout le village de PrĂ©-au-Lard devant lequel, en maĂźtresse des lieux, elle se planta telle une statut la reine d’un empire sur lequel elle n’avait plus nulle emprise. JE SUIS LIBRE ? vous m’entendez ?!! LIBRE d’apporter mon soutien Ă  qui JE veux !... soyez VOUS AUSSI AUSSI LIBRE QUE MOI ! »  Elle s’effondra ensuite, Ă  bout de souffle et de forces, Ă  mĂȘme l’herbe. La nuit Ă©tait bien avancĂ©e
 C’est alors que l’amoncellement de tout ce qui occupait son ĂȘtre soumis Ă  diverses forces et tortures extĂ©rieures la fit s’ébranler et laisser les larmes envahir ses yeux et ses joues
Elle avait l’horrible impression d’ĂȘtre invisible
 La sensation de n’ĂȘtre qu’un jouet du destin dont celui-ci s’amusait Ă  jouer de ses Ă©motions, de ses sentiments, de tout d’elle
 Dans l’état dans lequel elle se trouvait, elle ne sentit mĂȘme pas une main lui saisir le bras, la relever puis l’entraĂźner dans le Pop » distinctif du transplanage
 Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Ven 30 Juil - 1547 Une lĂ©gĂšre implosion de la grotte... Une gerbe de flamme rouge teintĂ©e or... Une plume... Un phĂ©nix et un jeune homme... Perceval venait de se faire tĂ©lĂ©porter par son PhĂ©nix en ce lieu de recueil fort bien reculĂ©; assez pour satisfaire l'envie de solitude de le style de construction de sa maison qui permettait de l'isoler du brouhaha extĂ©rieur, Perceval se retrouvait atteint par les cris de ses voisins... Les seuls qui montaient assez haut dans les aigus pour que leurs voix puissent ĂȘtre entendu par l'hĂ©ritier dĂ©chu des nobles Bright. Actarius Ă©tait Ă©puisĂ©... extĂ©nuĂ©... Lasse de devoir subir, quasiment tout les soirs, l'audition de ses satanĂ©s de voisins moldus qui, jamais, Ô grand jamais, n'Ă©tait fatiguĂ© de se disputer. LĂ , c'Ă©tait monsieur qui disputait sa femme pour une paire de chaussette non lavĂ© -comme s'il n'en possĂ©dait qu'une seule-... AprĂšs, c'Ă©tait madame qui rĂ©primandait monsieur parce qu'il avait omit de ranger sa chaussure dans le placard. C'Ă©tait tout simplement absurde, barbant et purement insupportable!Le sorcier Ă©tait vĂȘtu d'une longue robe noire Ă  l'ancienne -les hommes portaient des robes par le passĂ©, au Moyen-Age-, qui lui tombait tout juste au dessus des chevilles et Ă  laquelle Ă©tait accrochĂ©e une cape tout aussi noire maintenue par une broche d'argent frappĂ©e des armoiries de la famille du jeune homme. Ses longs cheveux noirs de jais, proprement coiffĂ©s et regroupĂ©s dans sa nuque en une fine queue de cheval les cents pas, tournant et encore tournant en rond, Fafnir son phĂ©nix sur ses Ă©paules, Actarius ne faisait pas trĂšs attention, ne surveillait pas ses arriĂšres... Il ne s'attendait de toute façon pas Ă  ce que la grotte dans laquelle il Ă©tait venu se rĂ©fugiĂ© soit le refuge d'on ne sait quel crĂ©ature magique ou d'un quelconque sorcier Ă  l'esprit plus tordu que le sien. Qui aurait la brillante idĂ©e, Ă  part lui, de venir dans un tel lieu par une nuit aussi noire, le ciel Ă©tant dĂ©nudĂ© de la dĂ©esse lune? Certainement une personne dĂ©nuĂ© de bon sens... Ou une personne... comme lui. Enfin, ce n'Ă©tait que des suppositions sans fondements! Il Ă©tait seul dans cette grotte et il Ă©tait pratiquement sĂ»r qu'il ne serait pas dĂ©rangĂ©! Claire WilsonGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Claire Wilson, le Ven 30 Juil - 1807 ASA la maison, tout semblait beaucoup trop calme pour la jeune Amy qui depuis cinq ans Ă  prĂ©sent avait toujours eu l'habitude d'entendre quelqu'un respirer chez elle. Son fils et sa fille Ă©tait partie pour plusieurs jours grĂące Ă  un camp de vacances qui les avaient emmenĂ©s Ă  la montagne au delĂ  des frontiĂšres. C'Ă©tait avec une grande tristesse qu'elle les avaient laissĂ© sur le quai de la gare le matin mĂȘme et elle s'Ă©tait enfermĂ© dans une morositĂ© qui ne lui ressemblait pas. ParticuliĂšrement nerveuse, elle avait Ă  plusieurs reprise dans la journĂ©e laissĂ© Ă©chappĂ© de magnifiques jurons qu'elle avait enfoui au plus profond d'elle depuis la naissance de ses enfants. Elle s'Ă©tait totalement laissĂ© emportĂ©e, se rendant compte qu'elle touchait Ă  nouveau du bout des doigts la perfection de la libertĂ© bien que, pour rien au monde, elle n'aurait changĂ© quelque chose de sa vie actuelle. C'Ă©tait ce qu'elle dĂ©sirait au plus profond d'elle mĂȘme, elle le savait. En faisant le bilan, malgrĂ© de nombreuses erreurs et de remises en questions, l'ancienne Auror semblait plutĂŽt satisfaite du rĂ©sultat final. Lucas, Lola c'Ă©tait tout ce dont elle avait son lit, les yeux ouverts comme jamais, le sommeil n'arrivait pas Ă  venir. Depuis plusieurs heures dĂ©jĂ  la jeune demoiselle tournait et tournait encore dans son lit dans l'espoir que ses yeux se ferment et que, sans s'en rendre compte, elle s'endorme aussi simplement que cela. Mais rien n'y faisait... A croire que les dĂ©mons de la nuit avaient choisis de se liguer contre elle. Se rĂ©signant, Amy se leva, enfila une tenu bateau et sortit de sa chambre. Elle passa devant les chambres de ses enfants et fut parcouru d'un frisson qu'elle dĂ©testait, tout Ă©tait trop calme et le silence monotone la dĂ©rangeait. Elle sortit de chez elle et fut surprise par la douceur de la nuit. Elle ignorait encore oĂč elle se rendait, presque automatiquement, la jeune mĂšre marchait tout droit. ASAu creux de sa main droite, elle tenait sa baguette toujours prĂȘte Ă  ce qu'il lui arrive quelque chose. En tant qu'ancienne Auror elle savait que le danger pouvait ĂȘtre partout. Tout l'avait marquĂ©, tout l'avait plus ou moins blessĂ©, elle Ă©tait Ă©corchĂ©e vive devant la dur rĂ©alitĂ© que pouvait donnĂ© la vie. Les combats, la haine, la violence, tout Ă©tait terminĂ© Ă  prĂ©sent, c'Ă©tait beaucoup trop d'Ă©motion et beaucoup trop dangereux pour ses enfants. MĂȘme si elle avait protĂ©gĂ© sa maison de tout les sorts possible et inimaginable, il Ă©tait hors de question que des reprĂ©sailles quel conque soit fait, voilĂ  pourquoi il Ă©tait prĂ©fĂ©rable de quitter se monde de brute et faire comme ci l'insouciance Ă©tait de retour. Un monde parfait, sans ombre au la jeune femme, une petite grotte. Amy se sentit d'un seul coup submergĂ© par son esprit aventureux. MalgrĂ© tout ce qu'elle essayait de se faire croire, une vie sans dangers n'Ă©tait pas sa vie. D'un "lumos" bien formulĂ©, sa baguette s'Ă©claira et la demoiselle s'engouffra sans hĂ©siter dans les profondeurs rocailleuse qui s'offrait Ă  elle. Son coeur se mit Ă  battre un peu plus fort, un peu plus vite et l'ancienne Auror retrouvait ses vieilles habitudes de femme combattante. Elle avait appris Ă  maitriser son souffle, Ă  maitriser l'adrĂ©naline et Ă  foncer droit devant la tĂȘte baissĂ©. Tellement vite qu'elle ne se rendit pas compte que quelqu'un d'autre Ă©tait dans la grotte. Visiblement le jeune garçon ne l'avait pas vue mais beaucoup trop surprise de croiser quelqu'un dans cette endroit prĂ©sumĂ© dĂ©sert elle ne put s'empecher de lui aboyer dessus "Bordel ! Qu'est-ce que vous foutez ici !" Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Sam 31 Juil - 321 Depuis un bon moment maintenant qu'Actarius faisait les dix mille pas dans la sombre et froide grotte. De quoi faire pĂąlir le hĂ©ros le plus courageux qui est jamais existĂ© lui mĂȘme. Fafnir, silencieux comme jamais, somnolait tranquillement ses les Ă©paules de son ami et maĂźtre. Enfin, tranquillement est un bien grand mot!Seulement une demie-heure maintenant que Perceval Ă©tait lĂ  avec son PhĂ©nix lorsqu'il fut obligĂ© de sursauter pour on ne sait qu'elle raison. Une voix fĂ©minine, venu de derriĂšre lui voletait au dessus de la tĂȘte. Cette damoiselle devait ĂȘtre fort en colĂšre ou beaucoup trop mĂ©fiante. Quoiqu'il en soit, la main droite sous sa cape, Actarius libĂ©ra l'une de ses baguettes et tendit la main lentement face Ă  la blonde ?, la menaçant de la sienne tout en lui montrant, Ă  travers ce mĂȘme geste, qu'elle n'a pas grand chose Ă  craindre de lui; pas grand chose du pourrai vous retourner la question chĂšre madame. Que faites-vous en un endroit si reculĂ©?!Ce n'est qu'aprĂšs cette phrase qu'Actarius posa rĂ©ellement les yeux sur l'invitĂ©e de derniĂšre minute. Tout en elle exultait la beautĂ©, provoquait le dĂ©sir en Perceval. Il avait connu cela avec une autre... Une jeune fille sortie de chez Serpentard... Était-elle vĂ©lane? Certainement, oui! Elle Ă©tait beaucoup trop magnifique pour ĂȘtre une pure dĂ©esse naturelle; c'est Ă  dire, les autres espĂšces...Qui ĂȘtes vous, trĂšs chĂšre?Si ce n'Ă©tait une VĂ©lane, que pouvait-elle d'autre pour provoquer un si grand trouble dans l'esprit et le cƓur de l'aristocrate? A moins... A moins que ce ne soit, tout simplement lĂ , que la manifestation de la beautĂ© de la gente fĂ©minine. Quel homme pouvait se vanter d'ĂȘtre plus sĂ©duisant et plus agrĂ©able Ă  regarder qu'une femme... comme celle face Ă  Perceval? Sans doute, aucun! Toutefois, c'Ă©tait, mĂȘme si au sens thĂ©orique, de mĂȘmes ĂȘtres, deux espĂšces de vie totalement diffĂ©rentes. Un homme ne pouvait se comparer Ă  une femme et l'inverse non plus ne pouvait ĂȘtre possible. Ainsi allait la pensĂ©e du jeune sorcier...______________Rp tout simplement merdique! J'avais j'ai sommeil P Claire WilsonGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Claire Wilson, le Lun 2 AoĂ» - 1135 ASRĂ©pondre Ă  une question par une autre question. Amy Ă©tait l'une de ces nombreuses personnes qui utilisaient cette tactique afin de ne pas rĂ©pondre Ă  quelqu'un ou a quelque chose de gĂȘnant. Mais lĂ  visiblement, c'Ă©tait son mystĂ©rieux interlocuteur qui s'en servait. De nature trĂšs entreprenante, la jeune femme n'avait pas l'habitude qu'on lui rĂ©siste et qu'on est le dessus sur elle, son statut de VĂ©lane en Ă©tait la preuve vivante, user de ses charmes pour dĂ©stabiliser son adversaire lorsque celui ci Ă©tait un homme lui plaisait particuliĂšrement. Elle ne bougeait pas et le fixait d'un regard Ă  en faire frissonner plus d'un. Ce n'Ă©tait pas un endroit reculĂ©. C'Ă©tait une grotte. Une grotte. Un endroit oĂč normalement personne ne vient y passer du bon temps, et encore moins un endroit ou deux personnes ne viennent y passer du bon temps. Enfin, jusqu'Ă  maintenant la ballade Ă©tait plaisante mais depuis qu'elle avait sa baguette pointĂ© devant le jeune homme, le cĂŽtĂ© touristique de la ballade semblait assez lointain. ASIl semblait dĂ©stabiliser, lĂ©gĂšrement obnubiler par le visage d'Amy qui prenait un malin plaisir Ă  lĂ©gĂšrement se cambrer pour accentuer l'effet produit. Il Ă©tait jeune Ă  premiĂšre vue, il devait avoir une vingtaine d'annĂ©es Ă  tout casser. C'Ă©tait presque mignon de le voir aussi troublĂ©. Il lui demanda Ă  nouveau, plus directement cette fois qui elle Ă©tait rĂ©ellement. Il lui tendit sa main, lentement, comme pour montrer qu'elle n'avait strictement rien Ă  craindre et qu'elle pouvait en faire de mĂȘme Ă  son tour. Il se fourrait le doigt dans l'oeil et bien profond tout de mĂȘme s'il pensait rĂ©ellement qu'elle avait la trouille. Elle avait vue bien pire malheureusement et ce garçon Ă©tait loin du faire peur. Mais malgrĂ© tout, sens de la diplomatie oblige, elle baissa sa baguette tout aussi lentement mais la gardant fermement entre ses doigts. "Amy Swan"ASLança t-elle comme ça. C'Ă©tait pas grand chose, elle aurait trĂšs bien pu mentir et sortir un tout autre nom que le sien comme elle aurait fait d'habitude par prĂ©caution. Pourtant lĂ , c'est tout naturellement qu'elle avait balancĂ© ça comme ça. Dans sa main droite, elle tenait toujours sa baguette et maladroitement elle serra la main de son interlocuteur toujours inconnu jusqu'Ă  maintenant. Elle le regarda droit dans les yeux comme pour appuyer le fait qu'elle savait trĂšs bien qu'elle lui plaisait. Physiquement du moins car pour l'instant les dialogues n'Ă©taient pas trĂšs constructif."Et vous ?" Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Mer 4 AoĂ» - 246 Perceval se perdait dans un dĂ©dale de pensĂ©e toute plus contradictoire les unes que les autres. Il lui faudrait sĂ©rieusement se revoir... tomber sous le charme d'une dame, qu'en plus il n'avait jamais croisĂ© n'Ă©tait pas concevable. Il ne pouvait se permettre d'Ă©prouver une faiblesse pour les femmes qu'il rencontrait. Surtout pas lorsqu'il rencontrait ladite femme dans une grotte quelque part dans le grand Ouest. Oui, les moldus diraient qu'il avait l'avantage puisqu'il Ă©tait un homme mais en magie, la puissance ne comptait pas sur la force. Elle comptait sur l'expĂ©rience et l'esprit. L'expĂ©rience? Certes, Perceval Ă©tait plus ou moins connaisseur en magie -noire, blanche, grise, mĂ©tisse et tout ce que vous voudrez- mais, le seul fait d'observer l'invitĂ©e surprise lui faisait savoir qu'elle Ă©tait bien plus expĂ©rimentĂ©e que lui. Ne manquerait plus qu'elle soit susceptible! Un mot mal placĂ©, un phrase mal exprimĂ©e et peut-ĂȘtre bien qu'un Avada Kedavra serait pas trĂšs loin...Le jeune garçon, revenant Ă  la rĂ©alitĂ©, rangea sa baguette dans ce qui devait ĂȘtre un Ă©tui, lĂ  oĂč "Ă©tui" devait se trouver. Il loucha rapidement vers la poitrine de la dame en face de lui. Rapidement? Plus vite que "The Flash" ou Speedy Gonzalez! Il prenait soin de se retenir de dĂ©tailler ses formes et ses atouts tout en sachant, pertinemment bien, que la pression qu'elle exerçait sur lui Ă©tait visible Ă  des kilomĂštres Ă  la ronde et qu'elle en Ă©tait parfaitement consciente. D'ailleurs, il, pendant un trĂšs court laps de temps, juste ce qu'il faut pour battre un cil, se maudit en silence. Il se maudit d'avoir un corps beaucoup trop sensible Ă  la beautĂ© fĂ©minine! Si seulement le corps humain pouvait fonctionner sans cƓur... Ca me rappelle un conte ça, pas vous? Soit, Swan? Jolie nom pour une jolie crĂ©ature; Tout se tient! Swan, comme, littĂ©ralement traduit, "Cygne". Eh bien, oui, cette fille Ă©tait un cygne. Un cygne blanc avec tout ce qu'il a de plus gracieux. Sa ou plutĂŽt, ses courbes. Ses longs cheveux blonds ?, chĂątains ?, entre les deux ?, comparables aux longues et fines plumes d'un cygne adulte... Cette femme n'avait rien de comparable. Elle devait ĂȘtre vĂ©lane... Perceval en Ă©tait plus que sĂ»r! Si la vie le lui permettait, il lui poserait la question dans le seul but d'assouvir sa maladroitement qu'elle, il lui serra la main, la relĂącha, puis plongea son regard dans le sien. Le regard qu'elle lui portait le troublait en son ĂȘtre mais il n'allait quand mĂȘme pas se laisser faire. Surtout pas par quelqu'un qui rencontrait Ă  peine! Il se serait peut-ĂȘtre laissĂ© faire s'il la connaissait plus et qui sait...? Soutenant donc son regard sans ciller, l'Ex-Serpentard avala ses deux derniers mots avant de rĂ©pliquer sur ton totalement Bright. EnchantĂ© de faire votre connaissance... Miss ou Mrs Swan?Perceval se força Ă  remettre ses idĂ©es en place, reprit contenance, se fermant -dans la mesure du possible- Ă  toute contemplation de la belle. Fafnir, dĂ©cidant de lĂącher son maĂźtre dans moment pareil, prit son envol, quittant donc son Ă©paule, et s'en alla par l'ouverture de la grotte. Perceval savait que le PhĂ©nix ne serait pas loin et qu'il serait prĂšs Ă  intervenir en cas d'altercation, toujours est-il qu'il Ă©tait un peu inquiet -pour la premiĂšre fois- en se retrouvant face Ă  une femme avec un tel charisme...Dites moi, si je ne me trompes point, vous devez avoir du sang de vĂ©lane. Est-ce faux?Pourquoi lui poser cette question?! C'Ă©tait une maniĂšre de lui avouer l'attirance physique qu'il ressentait pour elle en l'observant! Qu'est-ce qu'il pouvait ĂȘtre idiot parfois... InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Sam 11 Sep - 1132 Les deux loups qui leur faisaient face Ă©taient immense, ils paraissaient affamĂ©s, chose qui ravit Will, surement Nymphadora. Ils pouvaient ĂȘtre sur d'une chose, il y allait avoir du sport. Les grognements Ă©taient de plus en plus sonores, aussi bien du cĂŽtĂ© des chiens galleux que du cĂŽtĂ© du vampire, les crĂ©atures Ă©taient prĂȘte Ă  se battre, la seule sorciĂšre prĂ©sente l'Ă©tait Je prends celui de droite, ok ?- Tes dĂ©sires sont des ordres ma la bataille fut lancĂ©, par Nymphadora qui se jeta sur le loup de droite en lançant divers sorts plus destructeurs les uns que les autres, elle faisait preuve d'une habiletĂ©, d'une rage et d'un talent extraordinaire, mieux valait avoir une femme comme ça dans ses rangs que chez ses ennemies, chaque coups, chaque sorts faisaient mouche. Cependant le loup faisait preuve d'une vitesse et d'une agilitĂ© incroyable, le combat serait de son cĂŽtĂ© avait laissĂ© le loup attaquer, ce dernier avait lancĂ© les hostilitĂ©s dĂšs l'instant ou Nymphadora Ă©tait partit se battre. Il Ă©tait monstrueux, affamĂ© et fou de rage, mais cela restait un chien stupide, un ennemi des vampires, Will ne lui ferait aucun cadeau. Lorsque le chien voulu le mordre au visage Will esquiva in-extremis le coup puis lui arr
vUTv. 404 146 102 125 249 35 56 120 375

relever une personne au sol avec un drap