Sontégalement soumis au droit de préemption les immeubles ou ensembles de droits sociaux mentionnés au 1° de l'article L. 213-1 lorsqu'ils constituent un apport en nature au sein d'une société civile immobiliÚre. La déclaration d'intention d'aliéner est alors accompagnée d'un état de la situation sociale, financiÚre et patrimoniale de la société civile immobiliÚre.
> autorisations d'urbanisme dĂ©matĂ©rialisĂ©es Depuyis le 1er janvier 2022, la Ville de Dieppe peut recevoir en ligne, et gratuitement, les demandes de permis de construire, les déclarations préalables et les certificats d’urbanisme, via la plateforme Ce guichet numérique permet de déposer, en toute sécurité, les demandes d’urbanisme. Depuis son espace personnel qui nécessite de créer un compte, le demandeur peut suivre les principales étapes de l’instruction de son dossier. Cependant, le service Urbanisme de la Ville répond toujours aux demandes papier du lundi au vendredi de 8h30 à 12 heures et de 13h30 à 17 heures dans ses locaux situés au 7 boulevard de Verdun. De plus, les agents du service peuvent être de conseil dans la constitution des dossiers d’urbanisme sur rendez-vous. Appelez le 02 35 06 61 76. Pour rappel, dématérialisation ou non, les délais d’instruction restent d’un mois pour une simple déclaration préalable de travaux ou de deux mois dans le cas d’un permis de construire. Ce délai est allongé d’un mois supplémentaire s’il se situe dans une zone protégĂ©e. Rendez-vous sur > autorisations de travaux et certificats d'urbanisme > rĂšglements de la Ville de Dieppe > Ă©tablissements recevant du public ERP Qu'est-ce qu'un ERP ? Constituent des Ă©tablissements recevant du public tous bĂątiments, locaux et enceintes dans lesquels des personnes sont admises, soit librement, soit moyennant une rĂ©tribution ou une participation quelconque, ou dans lesquels sont tenues des rĂ©unions ouvertes Ă  tout venant ou sur invitation, payantes ou non. Sont considĂ©rĂ©es comme faisant partie du public toutes les personnes admises dans l'Ă©tablissement Ă  quelque titre que ce soit en plus du personnel. » Exemple magasins, centres commerciaux, cinĂ©mas, théùtres, hĂŽpitaux, Ă©coles, bibliothĂšques, gares, restaurants, chapiteaux, tentes, structures gonflables
 Les locaux qui peuvent ĂȘtre assimilĂ©s au domicile privĂ© ou ceux rĂ©servĂ©s aux travailleurs ne sont pas des ERP. Les ERP sont classĂ©s par groupe et catĂ©gorie d’aprĂšs l’effectif admissible du public et du personnel, et rĂ©partis en type selon la nature de leur activitĂ©. Les principes de bases de la sĂ©cutitĂ© dans un ERP La sĂ©curitĂ© incendie suit 4 principes de base Évacuation rapide et sĂ»re des occupants alarme, plans d’évacuation, dĂ©gagements en nombre et largeur suffisants, balisĂ©s, facilement manƓuvrables, Ă©clairage de sĂ©curitĂ©, stabilitĂ© au feu, dĂ©senfumage Limitation des causes de sinistre moyens de chauffage, appareils de cuisson, contrĂŽle des installations techniques Limitation de propagation de sinistre isolement par rapport aux tiers, isolement des locaux Ă  risques, cloisonnement intĂ©rieur, comportement au feu des matĂ©riaux, dĂ©senfumage Mesures favorisant l’action des secours voies praticables par les engins de secours, façades accessibles, dĂ©senfumage, extincteurs, dĂ©tection, service sĂ©curitĂ©, alerte. Les obligations d'un exploitant ou d'un propriĂ©taire L’exploitant a l’obligation de s’assurer que les installations ou Ă©quipements sont Ă©tablis, maintenus et entretenus en conformitĂ© avec le rĂšglement de sĂ©curitĂ©. Il doit ainsi procĂ©der pĂ©riodiquement Ă  leur contrĂŽle. Les procĂšs verbaux et comptes rendus des vĂ©rifications sont tenus Ă  la disposition de la commission de sĂ©curitĂ©. Les types et catĂ©gories d'ERP Tous les ERP ne prĂ©sentent pas les mĂȘmes caractĂ©ristiques de taille, de destination, d’usage et de risques. Ils sont donc classĂ©s en type d’exploitation ex type o pour les hĂŽtels et en catĂ©gorie d’aprĂšs l’effectif du public et du personnel ex 3e catĂ©gorie pour un Ă©tablissement ayant un effectif compris entre 300 dĂ©marches avant ouverture ou travaux ERP > dĂ©marches postĂ©rieures Ă  l’autorisation d’urbanisme ERP À quel moment commencer ces travaux ? Les travaux ne pourront dĂ©buter qu’aprĂšs accord du Maire donnĂ© aprĂšs avis de la sous-commission dĂ©partementale de sĂ©curitĂ© et d’accessibilitĂ©. Attention si les travaux nĂ©cessitent un arrĂȘtĂ© de stationnement mise en place d’un Ă©chafaudage, dĂ©pĂŽt de matĂ©riaux
 vous devrez le solliciter 3 semaines minimum au pĂŽle espaces extĂ©rieurs » situĂ© au Centre Technique Municipal, Quai du Tonkin, TĂ©l 02 32 14 01 50 avant le dĂ©but prĂ©vu des travaux. Une fois les travaux terminĂ©s, la DAACT dĂ©claration attestant l’achĂšvement et la conformitĂ© des travaux Formulaire n° 13408*06 devra ĂȘtre accompagnĂ©e de l’attestation justifiant que les travaux rĂ©alisĂ©s respectent les rĂšgles d’accessibilitĂ© en application de l’article R462-3 du Code de l’Urbanisme. Quand ouvrir un ERP ? Suite au dĂ©pĂŽt de la DAACT, l’exploitant doit demander au Maire une autorisation d’ouverture au public. Le Maire sollicite l’avis de la commission de sĂ©curitĂ© pour une visite obligatoire pour les Ă©tablissements de 1re, 2e, 3e et 4e catĂ©gorie et cette visite est laissĂ©e Ă  la discrĂ©tion du Maire pour les Ă©tablissements classĂ©s en 5e catĂ©gorie sauf hĂŽtels. La commission de sĂ©curitĂ© visite les locaux et donne au Maire un avis favorable ou dĂ©favorable Ă  l’autorisation d’ouverture. Cette visite de sĂ©curitĂ© est obligatoire pour les Ă©tablissements classĂ©s de la 4e Ă  la 1re catĂ©gorie. La demande d’ouverture doit ĂȘtre faite au minimum 1 mois avant la date prĂ©vue d’ouverture. Les diffĂ©rentes vistes des ERP par la commission de sĂ©curitĂ© Les Ă©tablissements concernĂ©s par les visites de sĂ©curitĂ© sont Les Ă©tablissements recevant du public de la 1re Ă  la 4e catĂ©gorie; Les Ă©tablissements recevant du public de 5e catĂ©gorie avec locaux Ă  sommeil; Les Ă©tablissements recevant du public de 5e catĂ©gorie sans locaux Ă  sommeil ne font pas l’objet de visite de sĂ©curitĂ© pĂ©riodique mais peuvent faire l’objet de visites inopinĂ©e. Les diffĂ©rents types de visites des ERP par la commission de sĂ©curitĂ© sont Visite de rĂ©ception avant ouverture; Visite pĂ©riodique; Visite de contrĂŽle inopinĂ©e ou non. À l’issue d’une visite, la commission donne un avis sur le niveau de sĂ©curitĂ© de l’établissement conformĂ©ment au rĂšglement de sĂ©curitĂ©. L’avis est favorable ou dĂ©favorable Ă  la poursuite ou Ă  l’ouverture de l’exploitation assorti Ă©ventuellement de prescriptions. Cet avis est notifiĂ© Ă  l’exploitant par le Maire. Il appartient Ă  l’exploitant de rĂ©aliser les prescriptions Ă©ventuelles au plus vite. L’organisation du passage de la commission de sĂ©curitĂ© Visite de rĂ©ception avant ouverture À la demande de l’exploitant, 1 mois avant l’ouverture de l’établissement. La visite est alors programmĂ©e, la commission convoquĂ©e et l’exploitant avisĂ©. Pour les Ă©tablissements fermĂ©s depuis plus de dix mois, une visite d’ouverture par la commission de sĂ©curitĂ© est obligatoire. Visite pĂ©riodique Passage de la commission de sĂ©curitĂ© pĂ©riodiquement suivant le classement de l’établissement. Les membres de la commission et l’exploitant sont alors convoquĂ©s par le secrĂ©tariat de la commission environ 3 semaines avant. Visite de contrĂŽle A la demande du Maire pour contrĂŽle d’un Ă©tablissement. Le dĂ©roulement d’une visite de sĂ©curitĂ© d’un Ă©tablissement Demande du registre de sĂ©curitĂ© Ă  l’exploitant; ContrĂŽle de la vĂ©rification des installations techniques; Visite de l’établissement Essais de l’alarme, du dĂ©senfumage, de l’éclairage de sĂ©curitĂ©... Tableau des visites pĂ©riodiques selon les types et catĂ©gories d’établissements PERIODICITE et catĂ©gories TYPES D'ETABLISSEMENTS J L M N O P R 1 R 2 S T U V W X Y 2 ans 1re catĂ©gorie X X X X X X X X X X 2e catĂ©gorie X X X X X 3e catĂ©gorie 4e catĂ©gorie 3 ans 1re catĂ©gorie X X X X 2e catĂ©gorie X X X X X X X X X 3e catĂ©gorie X X X X X X X 4e catĂ©gorie X X X X 5 ans 1re catĂ©gorie X 2e catĂ©gorie X 3e catĂ©gorie X X X X X X X X 4e catĂ©gorie X X X X X X X X X X X 1 avec hĂ©bergement > droit de PrĂ©emption Urbain RenforcĂ© DPU Qu’est-ce que le droit de prĂ©emption ? Le droit de prĂ©emption urbain permet Ă  la collectivitĂ© d’acquĂ©rir le bien en prioritĂ© sur l’acquĂ©reur initial. Depuis la dĂ©libĂ©ration du Conseil Municipal du 11 septembre 2003, la Ville de Dieppe s'est vue renforcer son droit de prĂ©emption urbain, suivant les articles et suivants, et et suivants du code de l'urbanisme. Ainsi, la Ville peut exercer le DPU afin de rĂ©aliser une ou des actions ou opĂ©rations d'amĂ©nagement visĂ©es par l'article L300-1 du code de l'urbanisme, en vue de mettre en Ɠuvre un projet urbain; une politique locale de l'habitat; d'organiser le maintien, l'extension ou l'accueil des activitĂ©s Ă©conomiques; de favoriser le dĂ©veloppement des loisirs et du tourisme; de rĂ©aliser des Ă©quipements collectifs; de lutter contre l'insalubritĂ©, de permettre le renouvellement urbain; de sauvegarder ou de mettre en valeur le patrimoine bĂąti ou non bĂąti. ou pour constituer des rĂ©serves fonciĂšres en vue de permettre la rĂ©alisation de ces actions ou opĂ©rations d'amĂ©nagement. Le DPU peut Ă©galement ĂȘtre utilisĂ© pour assurer le maintien des locataires dans un immeuble d'habitation, ou pour permettre le maintien dans les lieux d'une personne dont l'habitation principale fait l'objet d'une saisie immobiliĂšre art. L. 616 CCH. Quelles sont les opĂ©rations exclues du DPU renforcĂ© ? Les cessions de parts de sociĂ©tĂ©s civiles immobiliĂšres constituĂ©es exclusivement entre parents et alliĂ©s jusqu'au quatriĂšme degrĂ© L'article L. 213-1 du Code de l'urbanisme exclut du champ d'application du droit de prĂ©emption un certain nombre d'opĂ©rations, telles que les ventes entre co-indivisaires, par exemple dans le cas d'un partage aprĂšs succession, ou les biens faisant l'objet de certaines mises en demeure d'acquĂ©rir dans le cadre de l'exercice du droit de dĂ©laissement. Comment cela fonctionne-t-il ? Si le bien se trouve dans le pĂ©rimĂštre d’une zone de prĂ©emption, il faut fournir Ă  la Mairie, une DĂ©claration d’Intention d’AliĂ©ner Formulaire 10072*02, plus communĂ©ment appelĂ©e DIA » . DĂšs rĂ©ception, la Mairie, titulaire de ce droit, dispose du dĂ©lai de 2 mois pour informer si elle compte prĂ©empter ou non, l’absence de rĂ©ponse au-delĂ  de ce dĂ©lai vaut renonciation. L’omission de la DIA peut entraĂźner la nullitĂ© de la vente et ce pendant 5 ans Ă  compter de la signature. Comment savoir si votre bien se situe dans un pĂ©rimĂštre de droit de prĂ©emption ? Pour le savoir, vous pouvez vous rapprocher du service urbanisme de la Ville de Dieppe. SchĂ©ma descriptif du processus de mise en Ɠuvre lors de l’application d’un Droit de prĂ©emption urbain Cliquer pour agrandir Plan Le DPU Droit de PrĂ©emption Urbain est renforcĂ© sur toute la ville sauf pour les zones N & A. Cliquer pour agrandir TĂ©lĂ©charger le plan pdf > droit de PrĂ©emption sur les commerces et artisanats Qu’est-ce que le droit de prĂ©emption commercial / artisanal ? Ce droit de prĂ©emption commercial a Ă©tĂ© mis en place par dĂ©libĂ©ration du Conseil Municipal du 26 mai 2011, validant Ă©galement le pĂ©rimĂštre de sauvegarde du commerce et de l'artisanat de proximitĂ© et le plan de pĂ©rimĂštre dans lequel il s'applique. Le seul titulaire est la commune. Ce droit de prĂ©emption spĂ©cifique a pour objectifs dĂ©terminants d'Ă©viter la dĂ©sertification commerciale, notamment en conservant ou/et en crĂ©ant une offre commerciale de proximitĂ©; la nĂ©cessitĂ© de maĂźtriser le dĂ©veloppement commercial, et la nature des commerces, notamment en entrĂ©e de ville; le besoin de redonner un attrait Ă  un quartier Ă  l'identitĂ© trĂšs marquĂ©e, en crĂ©ant une dynamique de quartier; le besoin d'apporter une offre alternative aux centres commerciaux; la rĂ©ponse aux besoins gĂ©nĂ©rĂ©s par l'arrivĂ©e d'une nouvelle population liĂ©e aux constructions de logements; la rĂ©ponse aux demandes de cases commerciales plus importantes pour Ă©viter la vacance commerciale et la prĂ©fĂ©rence Ă  apporter aux commerces peu standardisĂ©s. Quels sont les biens prĂ©emptables ? Les fonds artisanaux, les fonds de commerce, les baux commerciaux et les terrains portant des commerces ou destinĂ©s Ă  porter des commerces dans un dĂ©lai de 5 ans Ă  compter de leur aliĂ©nation, dĂšs lors que ces commerces sont des magasins de vente de dĂ©tail ou des centres commerciaux au sens de l'article du code de commerce, ayant une surface de vente comprise entre 300mÂČ et 1000mÂČ. Quelles sont les zones concernĂ©es ? Le pĂ©rimĂštre de sauvegarde a Ă©tĂ© dĂ©limitĂ© par le Conseil Municipal en 5 zones du territoire communal l'hyper centre de Dieppe, les centres de Janval, le Val Druel, le Vieux Neuville et Neuville Nord, la Zac Dieppe Sud, selon le plan ci-dessous. Quelle est la procĂ©dure ? Avant de vendre un fonds artisanal, un fonds de commerce ou de cĂ©der un bail commercial situĂ© dans le pĂ©rimĂštre de sauvegarde des commerces de proximitĂ© dĂ©limitĂ© en Conseil Municipal, le cĂ©dant doit dĂ©clarer au maire le prix et les conditions de la cession envisagĂ©e. Le cĂ©dant adresse au maire le formulaire DĂ©claration de cession d'un fonds de commerce, d'un fonds artisanal ou d'un bail commercial, soumis au droit de prĂ©emption Formulaire 13644*02 en 4 exemplaires, soit par pli recommandĂ© avec demande d'avis de rĂ©ception, soit par dĂ©pĂŽt en mairie contre rĂ©cĂ©pissĂ©. La dĂ©claration prĂ©alable est obligatoire sous peine de nullitĂ© de la vente prescrite au bout de 5 ans aprĂšs la cession. Le maire dispose d'un dĂ©lai de 2 mois pour exercer Ă©ventuellement le droit de prĂ©emption au profit de la commune ou y renoncer. Le silence du maire Ă©quivaut Ă  renonciation d'acheter le commerce. Le cĂ©dant peut alors rĂ©aliser la vente aux prix et conditions figurant dans sa dĂ©claration. La rĂ©trocession du commerce Le maire qui a mis en Ɠuvre son droit de prĂ©emption doit, dans un dĂ©lai de 2 ans, effectuer la rĂ©trocession du fonds de commerce, du fonds artisanal, du bail commercial ou du terrain, au profit d'un commerçant ou d'un artisan exerçant une activitĂ© prĂ©servant la diversitĂ© ou le dĂ©veloppement des activitĂ©s dans le pĂ©rimĂštre concernĂ©. Pendant ce dĂ©lai de revente, la commune peut mettre le fonds artisanal ou de commerce en location-gĂ©rance afin de le maintenir en activitĂ©. Avant toute dĂ©cision de rĂ©trocession, le maire doit afficher en mairie pendant 15 jours, un avis de rĂ©trocession appel Ă  candidatures, description du fonds, du bail ou du terrain, prix proposĂ© et cahier des charges. Le bailleur peut s'opposer au projet de rĂ©trocession en saisissant en rĂ©fĂ©rĂ© le prĂ©sident du tribunal de grande instance. Si la rĂ©trocession n'a pas Ă©tĂ© faite au bout des 2 annĂ©es, l'acquĂ©reur Ă©vincĂ© dispose d'un droit de prioritĂ© pour l'acquisition du fonds, du bail ou du terrain. Plan Le DPU Droit de PrĂ©emption Urbain est renforcĂ© sur toute la ville sauf pour les zones N & A. Cliquer pour agrandir TĂ©lĂ©charger le plan pdf > schĂ©ma de gestion des eaux pluviales ParallĂšlement Ă  l'Ă©laboration de son Plan Local d'Urbanisme, la Ville de Dieppe a engagĂ© l'Ă©laboration d'un SchĂ©ma de gestion des eaux pluviales. Ce document est un outil de planification et d’aide Ă  la dĂ©cision en matiĂšre de gestion quantitative et qualitative des eaux de pluie. Son objectif est de permettre l'amĂ©nagement et le dĂ©veloppement du territoire sans aggraver, ni les risques d’inondation, ni la pollution du milieu gĂ©nĂ©rĂ©e par les zones urbanisĂ©es. ApprouvĂ© le 1er octobre 2015, le zonage d'assainissement pluvial dĂ©limite les zones oĂč des mesures doivent ĂȘtre prises pour limiter l'impermĂ©abilisation des sols et pour assurer la maĂźtrise du dĂ©bit et de l'Ă©coulement des eaux pluviales et du ruissellement. La cartographie du zonage pluvial prĂ©sente sept zones correspondant Ă  un rĂšglement spĂ©cifique fixant un dĂ©bit de rejet maximal des eaux pluviales vers le rĂ©seau public ou l'exutoire aval. Ainsi, toute nouvelle construction faisant l'objet d'une demande d'autorisation d'urbanisme devra ĂȘtre conforme aux prescriptions de ce zonage opposable aux tiers. Attention, tout ce qui concerne l'assainissement / les eaux pluviales, usĂ©es... sont de la compĂ©tence de l'agglomĂ©ration Dieppe-Maritime / PĂŽle Cycle de l'Eau. Cliquer pour agrandir > documents Plan local d’urbanisme PLU DĂ©cretn° 2012-489 du 13/04/12 pris pour l'application des articles L. 142-4, L. 213-2 et L. 214-1 du code de l'urbanisme et relatif Ă  la dĂ©matĂ©rialisation de la dĂ©claration d'intention d'aliĂ©ner (JO n° 90 du 15 avril 2012) NOR : LOGL1206419D . Publics concernĂ©s: notaires, collectivitĂ©s locales. Objet : dĂ©matĂ©rialisation de la dĂ©claration d'intention d'aliĂ©ner. EntrĂ©e en vigueur
Par un jugement du 16 dĂ©cembre 2021, le tribunal administratif de Poitiers a annulĂ© un arrĂȘtĂ© par lequel un maire avait mis en demeure un administrĂ© de dĂ©monter un ouvrage rĂ©alisĂ© sur une terrasse sans autorisation, sur le fondement des dispositions de l’article L. 481-1 du code de l’urbanisme. Introduit par la loi du 27 dĂ©cembre 2019, cet article permet au maire de mettre en demeure un intĂ©ressĂ© ayant exĂ©cutĂ© des travaux en mĂ©connaissance des obligations imposĂ©es par le code de l’urbanisme, de mettre en conformitĂ© la construction ou de dĂ©poser une demande visant Ă  sa rĂ©gularisation. Cette disposition, aux termes larges, fait ici l’objet d’une des premiĂšres interprĂ©tations jurisprudentielles. Il ressort de la dĂ©cision qu’en prononçant une mise en demeure de dĂ©monter la construction, alors mĂȘme que le maire n’avait pas commis d’erreur de fait en considĂ©rant que la construction Ă©tait irrĂ©guliĂšre et ne pouvait ĂȘtre rĂ©gularisĂ©e, l’auteur de l’acte a commis une erreur de droit Il rĂ©sulte de ces dispositions, Ă©clairĂ©es par les travaux parlementaires, que le lĂ©gislateur a entendu permettre au maire Ă  travers le prononcĂ© d’une assignation, de traiter les irrĂ©gularitĂ©s d’une moindre gravitĂ© ne requĂ©rant pas la saisine du juge pĂ©nal. De plus, le lĂ©gislateur n’est pas revenu, lors de l’adoption de cette loi, sur l’article L. 480- 14 du code de l’urbanisme qui implique qu’une commune ne peut obtenir la dĂ©molition d’un ouvrage installĂ© sans autorisation qu’en saisissant le juge judiciaire afin que ce dernier ordonne une telle mesure. Ainsi, les mesures permises par l’article L. 481-1 ne peuvent comprendre la dĂ©molition d’un ouvrage, laquelle ne peut ĂȘtre ordonnĂ©e, sauf dispositions lĂ©gislatives contraires, que par une dĂ©cision du juge judiciaire. Par suite, la mise en demeure a Ă©tĂ© annulĂ©e et par voie de consĂ©quence bien qu’en outre entachĂ©s de vices propres, l’ont Ă©galement Ă©tĂ© la dĂ©cision d’astreinte prise sur son fondement, ainsi que l’avis des sommes Ă  payer pris en application de la dĂ©cision d’astreinte. TA Poitiers, 16 dĂ©cembre 2021, n° 2001547, 2002067, 2002665 À propos Articles rĂ©cents Avocat, intervient en droit de l'urbanisme
ArticleL213-4-1 du Code de l'urbanisme : consulter gratuitement tous les Articles du Code de l'urbanisme. Le Code de l'urbanisme regroupe les lois relatives au droit de l'urbanisme français. Gratuit : Retrouvez l'intégralité du Code de l'urbanisme ci-dessous : Article L213-4-1. Entrée en vigueur 2010-05-01. Lorsque la juridiction compétente en matiÚre d'expropriation a été saisie
Lorsque la réalisation d'une opération d'aménagement le justifie, le titulaire du droit de préemption peut décider d'exercer son droit pour acquérir la fraction d'une unité fonciÚre comprise à l'intérieur d'une partie de commune soumise à un des droits de préemption institué en application du présent titre. Dans ce cas, le propriétaire peut exiger que le titulaire du droit de préemption se porte acquéreur de l'ensemble de l'unité fonciÚre.
a les immeubles construits par les sociétés coopératives d'habitations à loyer modéré de location-attribution ainsi que les immeubles ayant fait l'objet d'une décision d'agrément du représentant de l'etat dans le département en vue de la construction ou de l'acquisition de logements neufs faisant l'objet d'un contrat de location-accession régi
Actions sur le document Article L213-1 Sont soumis au droit de prĂ©emption instituĂ© par l'un ou l'autre des deux prĂ©cĂ©dents chapitres tout immeuble ou ensemble de droits sociaux donnant vocation Ă  l'attribution en propriĂ©tĂ© ou en jouissance d'un immeuble ou d'une partie d'immeuble, bĂąti ou non bĂąti, lorsqu'ils sont aliĂ©nĂ©s, Ă  titre onĂ©reux, sous quelque forme que ce soit, Ă  l'exception de ceux qui sont compris dans un plan de cession arrĂȘtĂ© en application de l'article L. 631-22 ou des articles L. 642-1L. 642-1 et suivants du code de commerce. Sont Ă©galement soumises Ă  ce droit de prĂ©emption les cessions de droits indivis portant sur un immeuble ou une partie d'immeuble, bĂąti ou non bĂąti, sauf lorsqu'elles sont consenties Ă  l'un des coindivisaires, ainsi que les cessions de tantiĂšmes contre remise de locaux Ă  construire. En cas d'adjudication, lorsque cette procĂ©dure est rendue obligatoire par une disposition lĂ©gislative ou rĂ©glementaire, l'acquisition par le titulaire du droit de prĂ©emption a lieu au prix de la derniĂšre enchĂšre, par substitution Ă  l'adjudicataire. Cette disposition n'est toutefois pas applicable Ă  la vente mettant fin Ă  une indivision créée volontairement, Ă  moins que celle-ci rĂ©sulte d'une donation-partage. En cas de contrat de location-accession rĂ©gi par les dispositions de la loi n° 84-595 du 12 juillet 1984 dĂ©finissant la location-accession Ă  la propriĂ©tĂ© immobiliĂšre, le droit de prĂ©emption s'exerce avant la signature de ce contrat et non au moment de la levĂ©e de l'option par l'accĂ©dant. Le dĂ©lai de dix ans mentionnĂ© au a et au c de l'article L. 211-4 s'apprĂ©cie Ă  la date de la signature du contrat. Ne sont pas soumis au droit de prĂ©emption a Les immeubles construits ou acquis par les organismes visĂ©s Ă  l'article L. 411-2 du code de la construction et de l'habitation et qui sont leur propriĂ©tĂ©, ainsi que les immeubles construits par les sociĂ©tĂ©s coopĂ©ratives d'habitations Ă  loyer modĂ©rĂ© de location-attribution ; b Les immeubles qui font l'objet d'un contrat de vente d'immeuble Ă  construire dans les conditions prĂ©vues par les articles 1601-1 et suivants du code civil, sauf lorsque ces dispositions sont appliquĂ©es Ă  des bĂątiments existants ; c Les parts ou actions de sociĂ©tĂ©s d'attribution visĂ©es aux titres II et III de la loi n° 71-579 du 16 juillet 1971 relative Ă  diverses opĂ©rations de construction, qui font l'objet d'une cession avant l'achĂšvement de l'immeuble ou pendant une pĂ©riode de dix ans Ă  compter de son achĂšvement ; d Les immeubles cĂ©dĂ©s au locataire en exĂ©cution de la promesse de vente insĂ©rĂ©e dans un contrat de crĂ©dit-bail immobilier conclu en application du 2° de l'article premier de la loi n° 66-455 du 2 juillet 1966 relative aux entreprises pratiquant le crĂ©dit-bail, modifiĂ©e par l'ordonnance n° 67-837 du 28 septembre 1967 relative aux opĂ©rations de crĂ©dit-bail et aux sociĂ©tĂ©s immobiliĂšres pour le commerce et l'industrie, avec l'une des entreprises visĂ©es Ă  l'article 2 de la mĂȘme loi ; e Les immeubles qui font l'objet d'une mise en demeure d'acquĂ©rir en application des articles L. 111-10, L. 123-2, L123-17 ou L. 311-2 du prĂ©sent code ou de l'article L. 11-7 du code de l'expropriation pour cause d'utilitĂ© publique ; f abrogĂ© ; g L'aliĂ©nation par l'Etat, ses Ă©tablissements publics ou des sociĂ©tĂ©s dont il dĂ©tient la majoritĂ© du capital de terrains, bĂątis ou non bĂątis, en vue de la rĂ©alisation des logements situĂ©s dans les pĂ©rimĂštres mentionnĂ©s au deuxiĂšme alinĂ©a du I de l'article 1er de la loi n° 2006-872 du 13 juillet 2006 portant engagement national pour le logement, tant que les dĂ©crets prĂ©vus au mĂȘme alinĂ©a ne sont pas caducs ou en vue de la rĂ©alisation des opĂ©rations d'intĂ©rĂȘt national mentionnĂ©es au premier alinĂ©a de l'article L. 121-2 ; h Les transferts en pleine propriĂ©tĂ© des immeubles appartenant Ă  l'Etat ou Ă  ses Ă©tablissements publics, rĂ©alisĂ©s conformĂ©ment Ă  l'article 141 de la loi n° 2006-1771 du 30 dĂ©cembre 2006 de finances rectificative pour 2006 ; i Les biens acquis par un organisme visĂ© aux articles L. 321-4 et L. 324-1 lorsqu'il agit Ă  la demande expresse de la collectivitĂ© titulaire du droit de prĂ©emption urbain. DerniĂšre mise Ă  jour 4/02/2012
AUdu PLU Vu le code de l'urbanisme et notamment ses articles L211-1 Ă  L211-7, L'article L211-1 du code de l'urbanisme offre la possibilitĂ©: aux communes dotĂ©es d'un PLU approuvĂ©, d'instituer un droit de prĂ©emption urbain, sur tout ou partie des zones urbaines et des zones d'urbanisation future dĂ©limitĂ©es par ce plan. Question que signifie la notion d’unitĂ© fonciĂšre visĂ©e Ă  l’article L. 213-1 du code de l’urbanisme pour l’application du droit de prĂ©emption urbain DPU en cas de cession du contrĂŽle d’une sociĂ©tĂ© civile ? â–ș Vous souhaitez ĂȘtre assistĂ© dans votre opĂ©ration de cession de parts sociales de sociĂ©tĂ© civile immobiliĂšre, voir notre offre sur InstrumentumRĂ©ponse on sait qu’aux termes de l’article L. 213-1 du code de l’urbanisme “Sont soumis au droit de prĂ©emption instituĂ© par l'un ou l'autre des deux prĂ©cĂ©dents chapitres [
] 3° Les cessions de la majoritĂ© des parts d'une sociĂ©tĂ© civile immobiliĂšre ou les cessions conduisant un acquĂ©reur Ă  dĂ©tenir la majoritĂ© des parts de ladite sociĂ©tĂ©, lorsque le patrimoine de cette sociĂ©tĂ© est constituĂ© par une unitĂ© fonciĂšre, bĂątie ou non, dont la cession serait soumise au droit de prĂ©emption. Le prĂ©sent 3° ne s'applique pas aux sociĂ©tĂ©s civiles immobiliĂšres constituĂ©es exclusivement entre parents et alliĂ©s jusqu'au quatriĂšme degrĂ© inclus”. A noter on pouvait s’interroger sur la nĂ©cessitĂ© du 3° de l’article L. 213-1 alors que le 1° du mĂȘme article vise les “droits sociaux donnant vocation Ă  l’attribution en propriĂ©tĂ© ou en jouissance d’un immeuble ou d’une partie d’immeuble” ces termes ont Ă©tĂ© introduits par la loi n° 75-1328 Ă  l’article L. 211-2 du code de l’urbanisme . En effet, les parts de sociĂ©tĂ© civile sont des droits sociaux. En rĂ©alitĂ©, les droits sociaux visĂ©s au 1° sont ceux des sociĂ©tĂ©s d’attribution visĂ©es au titre II ou au titre III de la loi n° 71-579 du 16 juillet 1971 codifiĂ©e aux articles L. 212-1 et suivants du code de la construction et de l’habitation. Il existe donc bien un rĂ©gime spĂ©cifique pour les sociĂ©tĂ©s civiles immobiliĂšres. Cela signifie donc que le droit de prĂ©emption ne s’applique que lorsque les sociĂ©tĂ©s civiles dĂ©tiennent des unitĂ©s fonciĂšres et non lorsqu’elles dĂ©tiennent un immeuble ou une partie d'immeuble certes une unitĂ© fonciĂšre est un immeuble mais tout immeuble n’est pas une unitĂ© fonciĂšre, bĂąti ou non bĂąti par exemple un lot de copropriĂ©tĂ©. A noter les dispositions de l’article L. 213-1 sont la reprise des anciennes dispositions de l’article L. 211-4 du code de l’urbanisme lesquelles avaient Ă©tĂ© modifiĂ©es par la loi n° 2009-323 auparavant, les cessions visĂ©es concernaient la totalitĂ© des parts sociales. La notion d’unitĂ© fonciĂšre ou de “tĂšnement unique” est dĂ©finie par l’article 4 du dĂ©cret n° 55-471 du 30 avril 1955 relatif Ă  la rĂ©novation et Ă  la conservation du cadastre en ces termes “L'Ăźlot de propriĂ©tĂ© est constituĂ© par l'ensemble des parcelles contiguĂ«s appartenant Ă  un mĂȘme propriĂ©taire ou Ă  une mĂȘme indivision dans un mĂȘme lieudit et formant une unitĂ© fonciĂšre indĂ©pendante selon l'agencement donnĂ© Ă  la propriĂ©tĂ©â€. Des auteurs ont Ă©galement donnĂ© des dĂ©finitions comme “l’ensemble des parcelles appartenant Ă  un mĂȘme propriĂ©taire ou Ă  une mĂȘme indivision” S. PĂ©rignon, DĂ©tachements et lotissements, Ă©ditions du Cridon, 1993, “un terrain ou un ensemble de terrains appartenant Ă  un mĂȘme propriĂ©taire” H. Charles, L'unitĂ© fonciĂšre dans le droit de l'urbanisme, RFDA, 1996, “parcelles contiguĂ«s appartenant Ă  un seul propriĂ©taire ou Ă  un ensemble solidaire de propriĂ©taires et rĂ©ellement disponibles pour le bĂ©nĂ©ficiaire du permis de construire” Driard, UnitĂ© fonciĂšre et dĂ©termination des droits Ă  construire, JCP N, 1998. Le Conseil d’Etat pour sa part l’a dĂ©fini comme “un Ăźlot de propriĂ©tĂ© d'un seul tenant, composĂ© d'une parcelle ou d'un ensemble de parcelles appartenant Ă  un mĂȘme propriĂ©taire ou Ă  la mĂȘme indivision” Conseil d’Etat, 27 juin 2005, Commune de ChambĂ©ry. A noter en cas d’hypothĂšses multiples parcelles contiguĂ«s en pleine propriĂ©tĂ© et en indivision, route traversant les parcelles, parcelles appartenant auparavant Ă  deux propriĂ©taires distincts, etc. voir l’article de notre excellent confrĂšre Franck Azoulay. A noter que si le prĂ©empteur ne peut prĂ©empter l’ensemble de l’unitĂ© fonciĂšre qui serait Ă  cheval sur une zone couverte par le droit de prĂ©emption urbain et une zone qui ne le serait pas Conseil d’Etat, 23 juin 1995, Commune de BouxiĂšres-aux-Dames en revanche il peut prĂ©empter la partie de l’unitĂ© fonciĂšre qui serait sur la seule zone de prĂ©emption urbain L. 213-2-1 du code de l’urbanisme, le cĂ©dant ayant bien entendu facultĂ© de renoncer alors Ă  la cession.â–ș Vous souhaitez ĂȘtre assistĂ© dans votre opĂ©ration de cession de parts sociales de sociĂ©tĂ© civile immobiliĂšre, voir notre offre sur InstrumentumMatthieu VincentAvocat au barreau de Paris
ArticleL213-2 du Code de l'urbanisme - Toute aliĂ©nation visĂ©e Ă  l'article L. 213-1 est subordonnĂ©e, Ă  peine de nullitĂ©, Ă  une dĂ©claration prĂ©alable faite par le propriĂ©taire Ă  la mairie de la commune oĂč se trouve situĂ© le bien. Cette dĂ©claration comporte obligatoirement l'indication du prix et des conditions de
Le Code de l'urbanisme regroupe les lois relatives au droit de l'urbanisme Gratuit Retrouvez l'intégralité du Code de l'urbanisme ci-dessous Sont également soumis au droit de préemption les immeubles ou ensembles de droits sociaux mentionnés au 1° de l'article L. 213-1 lorsqu'ils font l'objet d'une donation entre vifs, sauf si celle-ci est effectuée 1° Entre ascendants et descendants ; 2° Entre collatéraux jusqu'au sixiÚme degré ; 3°... Lire la suite Le Code de l'urbanisme regroupe les lois relatives au droit de l'urbanisme Gratuit Retrouvez l'intégralité du Code de l'urbanisme ci-dessous Sont également soumis au droit de préemption les immeubles ou ensembles de droits sociaux mentionnés au 1° de l'article L. 213-1 lorsqu'ils font l'objet d'une donation entre vifs, sauf si celle-ci est effectuée 1° Entre ascendants et descendants ; 2° Entre collatéraux jusqu'au sixiÚme degré ; 3° Entre époux ou partenaires d'un pacte civil de solidarité ; 4° Entre une personne et les descendants de son conjoint ou de son partenaire de pacte civil de solidarité, ou entre ces descendants. Le présent chapitre est applicable aux aliénations mentionnées au premier alinéa. Toutefois, par dérogation au premier alinéa de l'article L. 213-2, la déclaration adressée à la mairie ne mentionne pas le prix. La décision du titulaire du droit de préemption d'acquérir le bien indique l'estimation de celui-ci par les services fiscaux.
LbVFA. 7 229 494 305 228 18 25 214 204

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