Grâceà l’amitié d’un oiseau au bec jaune et à l’amour de sa maman Olive; un jeune trisomique va réaliser ses rêves et faire du chromosome supplémentaire un vrai « plus » et non l’inverse. Un spectacle comme un hommage poétique émouvant et drôle aux personnes en situations de handicap. www.pascalerocard.com. Voir le teaser :
Qu'elles courent jusqu'à la fin du mois d'avril ou ne se jouent plus que quelques jours, une sélection de pièces à ne pas manquer."Snow Thérapie" au Théâtre du Rond-PointLa scène est immaculée. Au centre de celle-ci, un assemblage blanc qui se transformera, suivant l'action, en canapé, roche, piste, terrasse de bar… En fond, une chaîne de montagnes. Thomas Alex Lutz, épatant en faux cool prétentieux rigolard entre le premier dans l'arène. Il pose à sa femme, Eva - Julie Depardieu, toute rongée d'une envahissante angoisse, douce et délicate -, cette question apparemment sans conséquence Ça va ? » Elle répond, évasive Je vais bien, les enfants vont bien. » On sent que dans ce bien », il y a quelque chose qui ne va pas fort. Voici maintenant l'intrigue qui tient sur une tête d'aiguille et qui est tout bêtement géniale un après-midi de ski, Thomas, Eva et leurs enfants alors qu'ils étaient au restaurant furent témoins d'une avalanche qui s'arrêta net à leur pied. Cet événement sera interprété de deux façons différentes, celle de Thomas et celle d'Eva. Thomas aurait-il fui devant le danger laissant femme et enfants derrière lui ? Eva vivrait-elle avec un lâche ? Pire un mâle qui refuserait d'accepter les faits. Peu à peu cette avalanche, comme une dent douloureuse, va crevasser leur ménage. Subtilement mis en scène par Salomé Lelouch et adapté du film du Suédois Ruben Östlund par Jeanne Le Guillou et Bruno Dega - regrettons tout de même une fin trop abrupte -, Snow Thérapie slalome sans ménagement entre les vérités et les mensonges d'un couple qui se consume comme de la glace.Snow Thérapie», du 19 au 24 avril, au Théâtre du Rond-Point, 2 bis, avenue Franklin D. Roosevelt 8e, VOTRE PLACE AVEC LE FIGARO"Kids" au Studio HébertotDans les ruines encore fumantes de Sarajevo, huit orphelins tentent de survivre. Réunis par l'énergie du désespoir, le souffle vital, ces punks de l'asphalte se sont constitués en une petite milice autour de leur leader, Cid. Leurs jeux d'enfants sont pétris de réalités trop tôt acquises le sexe, la violence et la mort. Dans une langue tant empruntée à la rue qu'à Molière, agrémentée de comptines, ils tentent d'appréhender des préoccupations de leur âge l'amour, les apparences et l'avenir. Plus de parents, plus de fratrie, plus de religion, plus d'espoir mais la vie. Une vie dans laquelle il est possible de prendre une balle perdue en allant à la chorale, ou d'être enfoui sous les décombres provoqués par un obus en allant faire ses courses. S'il faut un village pour élever un enfant, ces bambins-là ne sont plus la préoccupation d'aucune bourgade et le saut dans le monde des adultes est sans filet. Et malgré leur fascination pour elle, l'Occident détourne allègrement le regard de ces jeunes adultes paumés. Rivka brûle d'avoir un lipstick » pour séduire les garçons du centre, quand Nada rêve de prendre sa retraite de pickpocket. Admira et Bosco, amoureux juvéniles, même pas trente ans à eux deux lancent un dernier farewell » avant le grand saut dans l'inconnu. Au-delà du pont de Vrbanja ils aspirent à trouver une maison et surtout un frigo américain », ultime symbole du bonheur. “Kids”, jusqu'au 10 avril, Studio Hébertot, 78, bis Boulevard des Batignolles 17e, VOTRE PLACE AVEC LE FIGARO"The Normal Heart" au Théâtre La BruyèreQuand Larry Kramer écrit The Normal Heart en 1985, cela fait seulement deux ans que celui qu'on ne nomme pas encore SIDA, propage la mort parmi la communauté homosexuelle dans la presque indifférence des autorités de santé américaines. Aux premiers jours de cette mystérieuse épidémie, son personnage principal Ned Weeks joué par un Dimitri Storage un peu déclamatoire, auteur, scénariste, journaliste s'empare du sujet. Il s'active pour obtenir la reconnaissance due à un tel fléau dans un décor minimaliste où les quelques références à la Big Apple sont délicatement distillées. Il est aidé de ses acolytes le fantasque Tommy Brice Michelini, de Bruce le majestueux self-made-men Andy Gillet membres du Gay Men's Health Crisis et du Dr Emma Brookner, seule soignante à avoir conscience de la situation. Quand il lutte contre le désespoir et qu'il apprend chaque mois la contamination ou pire le décès de ses amis, la maladie continue son insidieuse progression. Entre la peur de tomber malade et celle de transmettre un virus dont on ne connaît pas le mode opératoire, se glissent doutes et obsessions sur l'urgence d'agir. Une piqûre de rappel, que nous ne vivons pas la première pandémie mondiale, mais qu'une autre a sévi pendant des décennies dans un désintérêt souvent désarmant. Un rappel aussi, que même si des progrès importants ont été faits, pour ralentir la propagation du SIDA à ce jour il n'existe toujours aucun vaccin. Une pièce nécessaire et quasiment autobiographique, un hommage aux victimes de cette maladie, à voir très rapidement car elle vit ses tout derniers jours sur scène. The Normal Heart », jusqu'au 7 avril, au Théâtre La Bruyère, 5 rue La Bruyère 9e, VOTRE PLACE AVEC LE FIGARO"Comme il vous plaira" à la Pépinière Théâtre Nous avons toute la vie pour nous amuser, nous avons toute la mort pour nous reposer », chante en chœur la troupe au Théâtre La Pépinière, à Paris. Donnant la note juste de cette comédie quasi musicale, tragicomique et romantique à souhait de Shakespeare. Écrite probablement vers 1599, en prose et en vers, elle prend toute sa saveur dans l'adaptation enlevée de Pierre-Alain Leleu, également bouffon, et la mise en scène énergique de Léna Bréban. L'histoire originale, plutôt longue et emberlificotée, a été simplifiée et coupée avec adresse dans cette traduction également signée Leleu. Elle commence et s'achève comme un conte. Un duc intransigeant bannit l'un de ses deux fils et sa nièce. Il y a des méchants et des gentils. On retrouve les grandes répliques comme La vie est un théâtre,/ Et tous, hommes et femmes, n'y sont que des acteurs ;/ Ils ont leurs sorties et leurs entrées,/ Et chacun dans sa vie a plusieurs rôles à jouer… » Tout Shakespeare est là dans le décor pastoral de Juliette Azzopardi, l'exaltation des grands sentiments, le goût des travestissements qui permettent de tester les personnages et la volonté de profiter de chaque seconde de la vie. Sans complexe, Léna Bréban envoie les comédiens jouer dans la salle et sur les balcons. Le public se retrouve ainsi au cœur de la mêlée. Troublé, amusé, touché, entraîné par la douce folie qui s'empare des protagonistes. Il fredonne en sortant. Comme il vous plaira », jusqu'au 30 avril, à La Pépinière Théâtre, 7 rue Louis le Grand 2e, VOTRE PLACE AVEC LE FIGAROBarbara Schulz et Ariane Mourier dans Comme il vous plaira à la Pépinière Théâtre. François Fonty"Le Montespan" au Théâtre de la HuchetteSi Louis-Henri de Pardaillan, marquis de Montespan, est d'abord flatté de l'intérêt que Louis XIV porte à sa femme, Françoise de Rochechouart de Mortemart, il en prend ensuite ombrage lorsqu'il la voit dans son lit. Et, même démuni financièrement, il refuse les privilèges que lui vaut cet honneur. Car ce Gascon est très amoureux de son épouse volage et met tout en œuvre pour la récupérer. Téméraire et impertinent, l' époux séparé quoique inséparable » brave le Roi-Soleil et crée un scandale en débarquant à la cour avec un carrosse noir surmonté de gigantesques cornes de cerf. Il paiera cher le prix de sa révolte. Salomé Villiers, qui joue la fameuse traîtresse, a transposé en connaisseuse le livre de Jean Teulé Éditions Julliard, 2008. Elle manie avec adresse un langage noble et un autre, roturier. Il est par ailleurs impossible de voir le temps filer dans la mise en scène d'Étienne Launay, assisté de Laura Christol, aussi trépidante qu'un tir de mitraillette. Les protagonistes volubiles interprétés par des comédiens prodigieux n'ont pas la langue qui fourche. Michaël Hirsch apporte énormément au spectacle. Vif comme l'éclair, il endosse les costumes d'une vingtaine de personnages avec une facilité étonnante. Simon Larvaron, compose à la fois un cocu magnifique mémorable et par ailleurs vulnérable. Cette version du Montespan réhabilite en majesté ce noble oublié par l'histoire. Un signe ne trompe pas le public fait la queue devant le théâtre. Le Montespan », jusqu'au 30 avril, au Théâtre de la Huchette, 23 rue de la Huchette 5e, puis à Avignon 84.RÉSERVEZ VOTRE PLACE AVEC LE FIGARO"Le Discours" au Théâtre MichelLe Discours de Fabrice Caro, plus connu sous son pseudo d'auteur de BD, FabCaro avait été porté à l'écran par Laurent Tirard. Mis en scène par Catherine Schaub, le voilà désormais sur les planches. C'est l'histoire d'une soirée, celle d'un quadra un peu sur les rotules. Cerise sur le gâteau, deux choses somme toute assez banales lui tombent dessus. La première Ludo, son futur beau-frère, lui demande d'écrire un discours pour son mariage avec Sophie, un discours simple qui sera, dit-il, merveilleux ». Ce merveilleux » rend nerveux Adrien ; cet adjectif lui met la pression. La seconde il n'a plus de nouvelles de sa fiancée, Sonia, avec qui il est en pause » depuis trois semaines. Il lui a envoyé un texto Coucou Sonia, j'espère que tu vas bien. Bisous ! » Pourquoi diable a-t-il mis un point d'exclamation après Bisous » ? La pause » de Sonia revient comme un mauvais refrain et puis il y a ce discours qui le tracasse. Il commence toujours par Bonsoir à tous… Je ne vais pas faire long, ne vous inquiétez pas… », mais l'araignée Sonia musarde sans relâche dans son cerveau de sentimental désabusé. Oui, cet Adrien a vraiment toute notre sympathie et Simon Astier dans la peau du névrosé mâchant et remâchant ses angoisses existentielles nous donne une fois de plus la preuve de son talent. Ce seul-en-scène d'une cocasserie réjouissante est taillé sur mesure pour lui. Notre acteur n'a pas besoin de personnel. Le Discours », jusqu'au 30 avril, au Théâtre Michel, 38 rue des Mathurins 8e, VOTRE PLACE AVEC LE FIGARO"Signé Dumas" au LucernaireDès la création, il est déjà question d'un duo, celui de Cyril Gély et Eric Rouquette. Les deux auteurs ont imaginé un duel théâtral ayant pour origine l'existence et le rôle d'Auguste Maquet, collaborateur de l'ombre du célèbre Alexandre Dumas. À l'époque où se passe la pièce, au milieu du XIXe siècle, ce dernier est au sommet de son art. Dans le cabinet cossu du château de Port-Marly, Auguste Maquet, s'active sur les pages d'un énième manuscrit signé Dumas. Le géant, le petit, l'indomptable et facétieux, le discret et travailleur. L'un est un grand chêne, l'autre un frêle roseau, la recette très usitée des meilleures comédies. Chacun se satisfait de ce que lui apporte l'autre en s'arrangeant avec sa conscience. Mais c'est sans compter sur un évènement historique, un prétexte à la rixe qui va mettre le feu aux poudres et déclencher l'ire du timide assistant qui vient poser les questions qui fâchent. Qui est dépendant de l'autre ? Qui nourrit l'autre ? Une indétricotable bataille pour la paternité d'une Œuvre portée par Xavier Lemaire qui tient un Alexandre Dumas tonitruant fidèle aux descriptions de l'auteur et Guillaume Sentou, un Maquet tout en contrastes. Au fil de la pièce, on en apprend plus sur le travail et simplement sur l'existence d'Auguste Maquet resté éternellement dans l'ombre de Dumas. Quelques longueurs n'empêchent pas la pièce de se dérouler à une cadence soutenue dans une mise en scène efficace que l'on doit à Tristan Petitgirard. Signé Dumas », jusqu'au 17 avril au Lucernaire, 53 rue Notre Dame des Champs 6e VOTRE PLACE AVEC LE FIGAROUne indétricotable bataille pour la paternité d'une Œuvre portée par Xavier Lemaire qui tient un Alexandre Dumas tonitruant fidèle aux descriptions de l'auteur et Guillaume Sentou, un Maquet tout en contrastes. Stéphane Audran
LeFestival de Ramatuelle a aujourd'hui 35 ans. Il y a le ciel, le soleil, la mer, et un théâtre accroché à la colline. Depuis 1985, Ramatuelle est bien plus qu'un village suspendu face à la Méditerranée : un festival est né dans un amphithéâtre bâti au milieu des oliviers, une scène ouverte sous les étoiles, qui s'éveille à la nuit tombée.Le théâtre du château d’Hardelot, le seul théâtre élisabéthain en France, a remporté le prix de la meilleure construction en bois dans le monde, près de deux ans après avoir été vandalisé par des militants d’extrême droite. Le théâtre élisabethain d’Hardelot, inauguré en 2016. Photo Guy DROLLET - VDN Publié 1 Mars 2018 à 13h59 Temps de lecture 2 min Situé à Condette, dans le Boulonnais, le bâtiment avait été qualifié à son inauguration en 2016 de chef-d’œuvre architectural. Rond, tout en bois, encerclé par une haute cage de bambou, le théâtre a raflé le prix décerné par le World architecture News mercredi soir. L’intérieur du théâtre est saisissant avec ses 388 places et une verrière en haut de l’édifice qui permet de bénéficier de la lumière naturelle. Le théâtre reprend plusieurs caractéristiques du théâtre élisabéthain, avec sa forme circulaire, un mur scénique mobile ou encore la scène qui surplombe le parterre. Le bâtiment avait été inauguré en 2016, année du 400e anniversaire de la mort de William Shakespeare 1564-1616 et, ironiquement, le même week-end que le référendum sur le Brexit. L’architecte britannique Andrew Todd, a depuis demandé la nationalité française. Peu avant son inauguration, le théâtre a été recouvert de graffitis dans une attaque imputée à des sympathisants d’extrême droite. Le théâtre a été construit près du Centre culturel de l’Entente cordiale » – en référence à l’alliance entre la France et la Grande-Bretagne en 1904 – et à côté du château d’Hardelot. Lire aussi Emmanuel Macron maintient Élisabeth Borne et la charge de former un gouvernement d’action » Wimbledon Novak Djokovic affirme avoir l’intention » de participer même sans points ATP Après des années d’attente, la capsule de Boeing en route vers la Station spatiale pour son vol test Poursuivez votre lecture sur ces sujets Architecture Boulogne-sur-Mer 62200, Pas-de-Calais William Shakespeare Ladaptation québécoise de la pièce «Le Prénom» par la troupe de théâtre La Patente a tenu ses promesses. Rires et émotions ont Publié le 18/06/2008 à 0919 Quand Fatiha, forte d'une expérience théâtrale de dix ans, a décidé en octobre d'animer un atelier théâtre avec le soutien du centre social Caf, René, Nicole et Sandrine ont répondu présent. Chantal est venue voir, et dès le premier cours, elle ne les a plus quittés. De là est née la compagnie théâtrale d'amateurs, le SNRC, avec Fatiha à la mise en scène. Quelques mois plus tard, ces anciens novices ont donné trois représentations. Et Fatiha de dire, j'ai vu l'évolution de chacun. Chantal m'a touchée, René s'est ouvert aux autres, Nicole ose tout, elle improvise, et Sandrine oublie sa timidité sur scène. J'aurais aimé que nos représentations se jouent hors du quartier, c'est dommage. Mais on y vit, on se bat et on arrive à faire de belles choses. » Autour de cinq scènes tirées d'œuvres variées comme Cyrano de Bergerac ou Un amour de théâtre, les cinq amis se sont démenés lors de représentations rassemblant plus de cent personnes, dont une première en l'honneur des Femmes de Caravanes, et une autre avec en première partie Bagamômes, en hommage à Sylvie, puéricultrice du centre social fauchée par une voiture. J'ai trouvé l'évasion en faisant du théâtre, je peux vivre autre chose que ma vie habituelle, et je veux montrer aux gens que même dans un quartier on peut rêver, changer un peu les choses et se relaxer. J'ai repris confiance en moi, et nos enfants en sont fiers », déclare Chantal. Ces représentations ont été de francs succès, et un silence religieux planait dans la salle face à la qualité des acteurs. Et Sandrine d'expliquer, les gens nous ont dit qu'on les avait scotchés ! J'ai trouvé ma vocation, on se sent léger et on a qu'une envie recommencer, avec une pièce l'an prochain et hors du quartier ! » Et selon Nicole, ça a changé ma vie, on a fait un long chemin, cela fait chaud au cœur et on en est fiers. » Touchantet bouleversant, plein d’espoir, de bonheur et de joie de vivre. Laisse-toi séduire par plus de 100 merveilleux artistes sur la plus grande scène de théâtre du monde. Des costumes extravagants, des décors à couper le souffle et des performances artistiques te surprendront et illumineront ton visage de bonheur. Si les blockbusters hollywoodiens prennent d'assaut le box-office US sitôt les chaleurs estivales de retour, en France, depuis pas mal de temps déjà, une autre catégorie de longs métrages fleurit de toutes parts et à toutes les saisons les films sur le célibat, la vie de couple et le mariage. Le Plus Beau Jour de ma vie est à peu de choses près un Mariages !, étiré sur plusieurs mois et non plus sur les vingt-quatre heures d'une noce. Bonheurs et désillusions d'une telle union amènent ainsi les deux parties à s'interroger continuellement sur le bien fondé de leur décision au contact de leur entourage, tout en permettant au film de tourner sans cesse autour de la question Se marieront ou se marieront pas ? » Mais là où la concentration temporelle une seule journée permettait au film de Valérie Guignabodet de disposer d'un dynamisme et d'une vivacité certes peut-être irritante à la longue, mais où l'ennui était ainsi proscrit, l'effet inverse la dilatation des mêmes interrogations sur plusieurs mois appesantit le rythme du Plus beau jour de ma vie. Parvenus à mi-chemin, Hélène de Fougerolles et Jonathan Zaccaï attachants dans le rôle du futur ex-couple n'ont donc plus d'autres choix que de ressasser encore et encore leurs propres inquiétudes jusqu'à la veille des noces et leurs enterrements de vie de célibataires respectifs, l'occasion d'un véritable petit défouloir collectif et d'une dernière remise en questions avant la cérémonie. Finalement, si l'intrigue était passée plus rapidement du veux-tu m'épouser ? » au bourrons-nous la gueule une dernière fois », sans repasser vingt fois par la case mais au fait, pourquoi est-ce qu'on se marie déjà ? », Le Plus Beau Jour de ma vie ne nous aurait pas laissé la gorge sèche aussi longtemps. Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large.
Leplus beau jour de ma vie ! Comédie Saint-Martin. 33 boulevard Saint-Martin. 75003. Paris. le dimanche 20 mars 2022 à 17h00 Revenir au calendrier du spectacle. Directement au. avant la représentation. Attribution des meilleures places.Service Unavailable Guru Meditation XID 977349517 Varnish cache server ET2Mj. 283 318 112 154 219 445 27 271 137